3 Billboards, Les Panneaux de la vengeance : Critique presse
3 Billboards, Les Panneaux de la vengeance
Note moyenne
3,9
35 titres de presse
Bande à part
Culturopoing.com
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Positif
Transfuge
Télé Loisirs
Télérama
Voici
aVoir-aLire.com
20 Minutes
CNews
CinemaTeaser
Ecran Large
Elle
Femme Actuelle
Filmsactu
L'Express
L'Obs
La Croix
Le Dauphiné Libéré
Le Point
Les Fiches du Cinéma
Paris Match
Première
Rolling Stone
Studio Ciné Live
Sud Ouest
Critikat.com
Le Monde
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
La Septième Obsession
Les Inrockuptibles
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Helen Faradji
Le film de Martin McDonagh est aussi original que formidable, aussi généreux qu’intelligent et profondément touchant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli
Véritable uppercut filmique qui sent bon l’Americana et la mauvaise conscience, "Three Billboards Outside Ebbing, Missouri" [...] est un drame sous influence «Coenienne» [...] d’une puissance et d’une densité rares.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans 3 Billboards, les panneaux de la vengeance, une seule femme bouscule la tranquillité d'une bourgade. Et secoue le cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les dialogues teintés d’humour noir apportent des respirations bienvenues face à l’envie forcenée de Frances McDormand, admirable, d’en découdre avec les bouseux d’une Amérique réac et raciste (Sam Rockwell et Woody Harrelson en tête). Surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Yann Tobin
McDonagh conjugue pour nous les plaisirs de la familiarité et de la surprise, de l'intelligence et de l'émotion, de l'humour et de la gravité, de la beauté plastique et de l'exigence du propos. Voilà un film novateur, audacieux et c'est déjà un classique.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Martin McDonagh plonge dans l'Amérique profonde. Et en remonte avec ce qui est d'ores et déjà un des grands films de l'année.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Tout cela est original, profond, étonnant, innovant.
Télérama
par Pierre Murat
Depuis ses débuts au cinéma (l’étonnant, sombre et cocasse Bons Baisers de Bruges (2008), où il jouait avec les rouages du film noir), Martin McDonagh semble constamment semer, derrière lui, des cailloux fantastiques, comme le Petit Poucet. Est-ce son amour pour le théâtre ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une violence et un humour noirs, des losers complexes, dont Sam Rockwell, excellent en flic du front, sur lesquels plane l'ombre des frères Coen, soulignés par la présence magnifique de Frances McDormand.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Martin McDonagh rentre dans la cour des grands en signant une fresque mélodramatique qui interroge sur les notions de justice et de pardon dans une Amérique rongée par la haine et la violence, et ce sans jamais se montrer moralisateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans un pays où la justice sommaire et l’autodéfense sont trop souvent louées, Martin McDonagh réussit à promouvoir la non-violence et le respect du droit. Chapeau !
CNews
par La rédaction
Porteuse d’un style où la violence est réaliste et gore, sa mise en scène – souvent comparée à celle de Tarantino – trouve ici des chemins moins frontaux, en faveur d’un scénario brillant tissé autour des alliances que le destin met sur la route de chacun.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
McDonagh filme les patelins américains parfois jusqu’à la caricature en laissant craindre une apologie de la justice sauvage. (...) Mais jamais, il ne laisse les bas instincts prendre le dessus et il rattrape toujours ses embardées populistes avec un humanisme habile et malicieux.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
"3 Billboards" est comme l'éblouissante Frances McDormand : terriblement drôle, profondément touchant, parfaitement humain. La preuve définitive, après notamment "Bons baisers de Bruges", que Martin McDonagh est un génie dans l'art de manier le rire et les larmes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film fort et audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Aussi drôle que violent, et pas manichéen pour un sou, ce film explosif, servi par des répliques qui fusent, nous surprend sans cesse. Une réussite.
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Noir, drôle, désinvolte et touchant, 3 Billboards est une incontestable réussite à l'image de la prestation bluffante de Frances McDormand qui trouve son meilleur rôle depuis Fargo.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Eric Libiot
(...) un formidable film noir à la manière des frères Coen (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
C'est tragiquement drôle, férocement humain, dialogué à l'acide et interprété par des cadors – Frances McDormand en dure à cuire (imaginez John Wayne dans le rôle d'une maman) et le toujours génial Sam Rockwell en policier white trash et soupe au lait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Entre mélodrame et comédie noire, le film corrosif du dramaturge anglais Martin McDonagh est un festival de drôlerie acide.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un thème et des personnages qui paraissent au départ convenus, un film subtilement inattendu qui, passant du noir du film de genre à la grisaille plus indécise d’une réalité plus complexe, fait vaciller les certitudes trop simplistes.
Le Point
par Philippe Guedj
3 Billboards nous rappelle à quel point le cinéma est beau quand il prend tous ces risques et que ceux-ci s'avèrent payants au centuple. Laissez-vous tomber dans ces trois panneaux, vous ne le regretterez pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Martin McDonagh revient avec un drame sur une femme endeuillée et réclamant justice. Si le film, par son mélange habile entre noirceur et absurde, évoque les frères Coen, il se distingue surtout par la complexité de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Martin McDonagh mélange satire vacharde et drame intime sur une trame de polar stylé. Il se pose en digne successeur des frères Coen. Rien de moins.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
On n’identifiait pas très bien Martin McDonagh avant ce film. Mais on ne ratera le prochain pour rien au monde.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Three Billboards jongle entre désir de vengeance, humour désabusé, racisme toujours prêt à rejaillir, colportage de rumeurs et jeu trouble des médias.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Construit comme un western moderne, "Three Billboards" révèle peu à peu les couches d'un mille-feuille bien plus complexe, où l'humour noir le dispute au romanesque.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste britannique Martin McDonagh filme l’Amérique profonde avec une tendresse goguenarde mais sans surplomb. Son regard fait tout le prix de ce « 3 billeboards » aussi rude qu’un western, drôle comme une farce et cependant sensible jusque dans son humour le plus sombre.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Benoît Smith
"3 Billboards..." reconduit, avec plus d'assurance et moins de scories, l'artisanat un brin roublard déjà mis en œuvre par le même auteur Martin McDonagh dans "Bons baisers de Bruges".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film de Martin McDonagh approche le formalisme et l’ironie mordante des frères Coen, mais fait aussi preuve d’une certaine désinvolture.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Une main tendue pour les claques (la satire), l’autre pour les caresses (l’empathie), McDonagh laisse tout son petit monde dans l’impasse dans un mélange ambigu de tendresse et de cruauté censé contenter tout le monde.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si ce mélo peu aimable où tout est outré et grinçant – les dialogues comme les caractères (en particulier la mère enragée) – intrigue un peu au départ, il a raison de notre patience.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le film égare son thème central dans un labyrinthe jouissif mais systématique de rebondissements et brusques changements de tonalité.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce n’est plus du cinéma mais un long film à sketches où Mildred a toujours raison parce qu’elle a toujours raison et réponse à tout. C’est dommage. Parce que la littérature américaine a une histoire : celle des petites gens des campagnes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Bien que multiprimé, le film de Martin McDonagh, narrant le conflit d’une femme avec la police locale après le meurtre de sa fille, n’échappe pas au lissage de la bonne conscience.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Le film de Martin McDonagh est aussi original que formidable, aussi généreux qu’intelligent et profondément touchant.
Culturopoing.com
Véritable uppercut filmique qui sent bon l’Americana et la mauvaise conscience, "Three Billboards Outside Ebbing, Missouri" [...] est un drame sous influence «Coenienne» [...] d’une puissance et d’une densité rares.
Le Figaro
Dans 3 Billboards, les panneaux de la vengeance, une seule femme bouscule la tranquillité d'une bourgade. Et secoue le cinéma américain.
Le Journal du Dimanche
Les dialogues teintés d’humour noir apportent des respirations bienvenues face à l’envie forcenée de Frances McDormand, admirable, d’en découdre avec les bouseux d’une Amérique réac et raciste (Sam Rockwell et Woody Harrelson en tête). Surprenant.
Positif
McDonagh conjugue pour nous les plaisirs de la familiarité et de la surprise, de l'intelligence et de l'émotion, de l'humour et de la gravité, de la beauté plastique et de l'exigence du propos. Voilà un film novateur, audacieux et c'est déjà un classique.
Transfuge
Martin McDonagh plonge dans l'Amérique profonde. Et en remonte avec ce qui est d'ores et déjà un des grands films de l'année.
Télé Loisirs
Tout cela est original, profond, étonnant, innovant.
Télérama
Depuis ses débuts au cinéma (l’étonnant, sombre et cocasse Bons Baisers de Bruges (2008), où il jouait avec les rouages du film noir), Martin McDonagh semble constamment semer, derrière lui, des cailloux fantastiques, comme le Petit Poucet. Est-ce son amour pour le théâtre ?
Voici
Une violence et un humour noirs, des losers complexes, dont Sam Rockwell, excellent en flic du front, sur lesquels plane l'ombre des frères Coen, soulignés par la présence magnifique de Frances McDormand.
aVoir-aLire.com
Martin McDonagh rentre dans la cour des grands en signant une fresque mélodramatique qui interroge sur les notions de justice et de pardon dans une Amérique rongée par la haine et la violence, et ce sans jamais se montrer moralisateur.
20 Minutes
Dans un pays où la justice sommaire et l’autodéfense sont trop souvent louées, Martin McDonagh réussit à promouvoir la non-violence et le respect du droit. Chapeau !
CNews
Porteuse d’un style où la violence est réaliste et gore, sa mise en scène – souvent comparée à celle de Tarantino – trouve ici des chemins moins frontaux, en faveur d’un scénario brillant tissé autour des alliances que le destin met sur la route de chacun.
CinemaTeaser
McDonagh filme les patelins américains parfois jusqu’à la caricature en laissant craindre une apologie de la justice sauvage. (...) Mais jamais, il ne laisse les bas instincts prendre le dessus et il rattrape toujours ses embardées populistes avec un humanisme habile et malicieux.
Ecran Large
"3 Billboards" est comme l'éblouissante Frances McDormand : terriblement drôle, profondément touchant, parfaitement humain. La preuve définitive, après notamment "Bons baisers de Bruges", que Martin McDonagh est un génie dans l'art de manier le rire et les larmes.
Elle
Un film fort et audacieux.
Femme Actuelle
Aussi drôle que violent, et pas manichéen pour un sou, ce film explosif, servi par des répliques qui fusent, nous surprend sans cesse. Une réussite.
Filmsactu
Noir, drôle, désinvolte et touchant, 3 Billboards est une incontestable réussite à l'image de la prestation bluffante de Frances McDormand qui trouve son meilleur rôle depuis Fargo.
L'Express
(...) un formidable film noir à la manière des frères Coen (...).
L'Obs
C'est tragiquement drôle, férocement humain, dialogué à l'acide et interprété par des cadors – Frances McDormand en dure à cuire (imaginez John Wayne dans le rôle d'une maman) et le toujours génial Sam Rockwell en policier white trash et soupe au lait.
La Croix
Entre mélodrame et comédie noire, le film corrosif du dramaturge anglais Martin McDonagh est un festival de drôlerie acide.
Le Dauphiné Libéré
Sur un thème et des personnages qui paraissent au départ convenus, un film subtilement inattendu qui, passant du noir du film de genre à la grisaille plus indécise d’une réalité plus complexe, fait vaciller les certitudes trop simplistes.
Le Point
3 Billboards nous rappelle à quel point le cinéma est beau quand il prend tous ces risques et que ceux-ci s'avèrent payants au centuple. Laissez-vous tomber dans ces trois panneaux, vous ne le regretterez pas.
Les Fiches du Cinéma
Martin McDonagh revient avec un drame sur une femme endeuillée et réclamant justice. Si le film, par son mélange habile entre noirceur et absurde, évoque les frères Coen, il se distingue surtout par la complexité de ses protagonistes.
Paris Match
Martin McDonagh mélange satire vacharde et drame intime sur une trame de polar stylé. Il se pose en digne successeur des frères Coen. Rien de moins.
Première
On n’identifiait pas très bien Martin McDonagh avant ce film. Mais on ne ratera le prochain pour rien au monde.
Rolling Stone
Three Billboards jongle entre désir de vengeance, humour désabusé, racisme toujours prêt à rejaillir, colportage de rumeurs et jeu trouble des médias.
Studio Ciné Live
Construit comme un western moderne, "Three Billboards" révèle peu à peu les couches d'un mille-feuille bien plus complexe, où l'humour noir le dispute au romanesque.
Sud Ouest
Le cinéaste britannique Martin McDonagh filme l’Amérique profonde avec une tendresse goguenarde mais sans surplomb. Son regard fait tout le prix de ce « 3 billeboards » aussi rude qu’un western, drôle comme une farce et cependant sensible jusque dans son humour le plus sombre.
Critikat.com
"3 Billboards..." reconduit, avec plus d'assurance et moins de scories, l'artisanat un brin roublard déjà mis en œuvre par le même auteur Martin McDonagh dans "Bons baisers de Bruges".
Le Monde
Le film de Martin McDonagh approche le formalisme et l’ironie mordante des frères Coen, mais fait aussi preuve d’une certaine désinvolture.
Cahiers du Cinéma
Une main tendue pour les claques (la satire), l’autre pour les caresses (l’empathie), McDonagh laisse tout son petit monde dans l’impasse dans un mélange ambigu de tendresse et de cruauté censé contenter tout le monde.
L'Humanité
Si ce mélo peu aimable où tout est outré et grinçant – les dialogues comme les caractères (en particulier la mère enragée) – intrigue un peu au départ, il a raison de notre patience.
La Septième Obsession
Le film égare son thème central dans un labyrinthe jouissif mais systématique de rebondissements et brusques changements de tonalité.
Les Inrockuptibles
Ce n’est plus du cinéma mais un long film à sketches où Mildred a toujours raison parce qu’elle a toujours raison et réponse à tout. C’est dommage. Parce que la littérature américaine a une histoire : celle des petites gens des campagnes.
Libération
Bien que multiprimé, le film de Martin McDonagh, narrant le conflit d’une femme avec la police locale après le meurtre de sa fille, n’échappe pas au lissage de la bonne conscience.