Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Julien Marsa
C’est toute la subtilité d’"Entre les frontières", de ne pas présenter cet atelier et les événements qui s’y produisent comme un inconditionnel bain de joie égalitaire et créatif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Avi Mograbi filme un atelier de théâtre où citoyens israéliens et réfugiés érythréens et soudanais parqués dans le désert, à Holot, échangent les rôles. Édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le dispositif que propose le théâtre de l’opprimé – la dimension de jeu qu’il recèle, l’échange de paroles et les reconfigurations qu’il induit… – prend alors tout son sens. Et la beauté douloureuse de ce film se révèle, qui n’est autre que celle de l’acte politique dans sa dimension la plus humble, la plus humaine, et de la croyance dont il est porteur : dans la possibilité de la rencontre, et dans les possibles qu’elle recèle.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec des moyens réduits et sous des apparences très modestes, Mograbi réussit un film puissamment politique, où il donne à des opprimés l'outil de leur propre conquête émancipatrice.
Libération
par Luc Chessel
Il enregistre le conflit entre une réalité simple (les scènes filmées, les gens, le travail, les rires) et des fictions complexes (leur violence : celle du théâtre, celle de l’Etat ici et là-bas, celle du droit, celle des rapports sociaux, économiques). Autrement dit, le théâtre comme tentative de libération et le cinéma comme pratique de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Sidy Sakho
Cette renconre, chaleureuse, confère à ce beau documentaire une louable dimension humaniste.
Télérama
par Samuel Douhaire
"Entre les frontières" est bien plus qu'un reportage de plus sur la situation des réfugiés. Il raconte, surtout, le projet du documentariste avec le metteur en scène Chen Alon : organiser des ateliers de théâtre au cours desquels les migrants revivent leur propre expérience, leurs propres traumatismes...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Le film de Avi Mograbi n’évoque pas uniquement Israël et les dérives de son gouvernement, mais aussi une idéologie identitaire et nationaliste qui se répand de plus en plus dans les différents pays du monde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Dans une attente beckettienne, les réfugiés passent le temps dans ces geôles à ciel ouvert, obligés de répondre présent à un triple appel quotidien, sous peine d’être jetés en prison.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une traversée malaisée, pas franchement réjouissante mais à laquelle la magie du théâtre apporte ce qu’il faut de vie et de lumière.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Avi Mograbi et Chen Alon initient, dans un camps abritant des demandeurs d’asile érythréens et soudanis, un atelier de théâtre. Le film qui en résulte met finement en lumière les contradictions de l’État israélien.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un doc passionnant sur l'exil au coeur d'une terre de réfugiés, mais trop banal formellement pour le grand écran.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Paradoxalement menacé par l’entre-soi, le film n’échappe pas au spectacle d’une petite bergerie citoyenne où le contentement mutuel évacue trop vite la violence du racisme d’État et la rage de ses victimes. Il est sans doute temps que Mograbi s’adresse à nouveau à ses ennemis.
Critikat.com
C’est toute la subtilité d’"Entre les frontières", de ne pas présenter cet atelier et les événements qui s’y produisent comme un inconditionnel bain de joie égalitaire et créatif.
Le Figaro
Avi Mograbi filme un atelier de théâtre où citoyens israéliens et réfugiés érythréens et soudanais parqués dans le désert, à Holot, échangent les rôles. Édifiant.
Le Monde
Le dispositif que propose le théâtre de l’opprimé – la dimension de jeu qu’il recèle, l’échange de paroles et les reconfigurations qu’il induit… – prend alors tout son sens. Et la beauté douloureuse de ce film se révèle, qui n’est autre que celle de l’acte politique dans sa dimension la plus humble, la plus humaine, et de la croyance dont il est porteur : dans la possibilité de la rencontre, et dans les possibles qu’elle recèle.
Les Inrockuptibles
Avec des moyens réduits et sous des apparences très modestes, Mograbi réussit un film puissamment politique, où il donne à des opprimés l'outil de leur propre conquête émancipatrice.
Libération
Il enregistre le conflit entre une réalité simple (les scènes filmées, les gens, le travail, les rires) et des fictions complexes (leur violence : celle du théâtre, celle de l’Etat ici et là-bas, celle du droit, celle des rapports sociaux, économiques). Autrement dit, le théâtre comme tentative de libération et le cinéma comme pratique de liberté.
Transfuge
Cette renconre, chaleureuse, confère à ce beau documentaire une louable dimension humaniste.
Télérama
"Entre les frontières" est bien plus qu'un reportage de plus sur la situation des réfugiés. Il raconte, surtout, le projet du documentariste avec le metteur en scène Chen Alon : organiser des ateliers de théâtre au cours desquels les migrants revivent leur propre expérience, leurs propres traumatismes...
Culturopoing.com
Le film de Avi Mograbi n’évoque pas uniquement Israël et les dérives de son gouvernement, mais aussi une idéologie identitaire et nationaliste qui se répand de plus en plus dans les différents pays du monde.
La Septième Obsession
Dans une attente beckettienne, les réfugiés passent le temps dans ces geôles à ciel ouvert, obligés de répondre présent à un triple appel quotidien, sous peine d’être jetés en prison.
Le Journal du Dimanche
Une traversée malaisée, pas franchement réjouissante mais à laquelle la magie du théâtre apporte ce qu’il faut de vie et de lumière.
Les Fiches du Cinéma
Avi Mograbi et Chen Alon initient, dans un camps abritant des demandeurs d’asile érythréens et soudanis, un atelier de théâtre. Le film qui en résulte met finement en lumière les contradictions de l’État israélien.
Studio Ciné Live
Un doc passionnant sur l'exil au coeur d'une terre de réfugiés, mais trop banal formellement pour le grand écran.
Cahiers du Cinéma
Paradoxalement menacé par l’entre-soi, le film n’échappe pas au spectacle d’une petite bergerie citoyenne où le contentement mutuel évacue trop vite la violence du racisme d’État et la rage de ses victimes. Il est sans doute temps que Mograbi s’adresse à nouveau à ses ennemis.