Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Derrière ce résumé qui laisse présager une comédie d'action bon enfant (puisque Kev Adams y joue) se dissimule une gourmandise assez inattendue dans le cinéma français.
Ouest France
par Gaël Golhen
C'est hilarant si l'on accepte la vulgarité : âmes sensibles s'abstenir.
Le Parisien
par Catherine Balle
Cette comédie survoltée et souvent très drôle mêle répliques potaches et scènes d'action gorgées de plomb.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) au menu, humour trash, vannes potaches et situations rocambolesques en mode "Very Bad Trip". L'ensemble accuse quelques baisses de régime, heureusement compensées par un casting de choc.
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré le talent bien réel de Romain Lévy, "Gangsterdam" se mue rapidement en un Kev Adams show dont le sexisme et l'homophobie sidèrent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Suite des aventures du gentil Kev Adams dans la jungle de l’âge postado : ça vole bas…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Tout est cousu de fil blanc, certains gags tombent à plat et on aurait aimé plus de rigueur dans l’écriture. Mais le film parvient à divertir, notamment grâce à Côme Levin, dans le rôle du meilleur pote délirant, qui vole (presque) la vedette à Kev.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Un temps moins nul que l’ordinaire de la comédie française, “Gangsterdam” souffre hélas de la prestation de Kev Adams. Si l’excellent Côme Levin sauve la suite du naufrage, le film révèle sa ringardise à la faveur d’une séquence flirtant avec l’homophobie.
Voici
par La Rédaction
Mauvais plan pour le réalisateur du très bon "Radiostars", dont la plus vilaine boulette (outre les vannes limite) est le choix de Kev Adams.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du bon esprit de "Radiostars" restent quelques seconds rôles (Patrick Timsit en papa poule fier des 37 vues engrangées par son dernier "tuto" de chimie sur YouTube) et une scène de règlement de comptes détournée par une menace de pet. C’est dire le niveau !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Trois amis se retrouvent embarqués, à Amsterdam, dans un vilain trafic de drogue. La médiocrité et la bêtise dispensées dans ce déplaisant navet culminent lors d’une scène à haute teneur scatologique. Lamentable. Nauséabond.
Le Figaro
par La Rédaction
Kev Adams veut faire croire qu'il a grandi devant la caméra de Romain Levy ("Radiostars"). Le gag du copain qui pète semble beaucoup l'amuser.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Isabelle Regnier
Romain Levy met en scène Kev Adams dans une comédie à l’humour épais, à grand renfort de clichés et de stéréotypes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Gangsterdam" (..) ressemble sinon en tous points au pire du rire frenchie période 2000 ("La Beuze" et consorts) en cachant son manque d’inspiration derrière une avalanche de blagues de prout et de clins d’œil flirtant dangereusement avec l’homophobie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le mauvais esprit loufoque de tout un pan du divertissement américain devient ici l’occasion de railler les communautés avec une outrance qui flanque la nausée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
Derrière ce résumé qui laisse présager une comédie d'action bon enfant (puisque Kev Adams y joue) se dissimule une gourmandise assez inattendue dans le cinéma français.
Ouest France
C'est hilarant si l'on accepte la vulgarité : âmes sensibles s'abstenir.
Le Parisien
Cette comédie survoltée et souvent très drôle mêle répliques potaches et scènes d'action gorgées de plomb.
Télé 7 Jours
(...) au menu, humour trash, vannes potaches et situations rocambolesques en mode "Very Bad Trip". L'ensemble accuse quelques baisses de régime, heureusement compensées par un casting de choc.
Ecran Large
Malgré le talent bien réel de Romain Lévy, "Gangsterdam" se mue rapidement en un Kev Adams show dont le sexisme et l'homophobie sidèrent.
Le Dauphiné Libéré
Suite des aventures du gentil Kev Adams dans la jungle de l’âge postado : ça vole bas…
Le Journal du Dimanche
Tout est cousu de fil blanc, certains gags tombent à plat et on aurait aimé plus de rigueur dans l’écriture. Mais le film parvient à divertir, notamment grâce à Côme Levin, dans le rôle du meilleur pote délirant, qui vole (presque) la vedette à Kev.
Les Fiches du Cinéma
Un temps moins nul que l’ordinaire de la comédie française, “Gangsterdam” souffre hélas de la prestation de Kev Adams. Si l’excellent Côme Levin sauve la suite du naufrage, le film révèle sa ringardise à la faveur d’une séquence flirtant avec l’homophobie.
Voici
Mauvais plan pour le réalisateur du très bon "Radiostars", dont la plus vilaine boulette (outre les vannes limite) est le choix de Kev Adams.
L'Obs
Du bon esprit de "Radiostars" restent quelques seconds rôles (Patrick Timsit en papa poule fier des 37 vues engrangées par son dernier "tuto" de chimie sur YouTube) et une scène de règlement de comptes détournée par une menace de pet. C’est dire le niveau !
La Voix du Nord
Trois amis se retrouvent embarqués, à Amsterdam, dans un vilain trafic de drogue. La médiocrité et la bêtise dispensées dans ce déplaisant navet culminent lors d’une scène à haute teneur scatologique. Lamentable. Nauséabond.
Le Figaro
Kev Adams veut faire croire qu'il a grandi devant la caméra de Romain Levy ("Radiostars"). Le gag du copain qui pète semble beaucoup l'amuser.
Le Monde
Romain Levy met en scène Kev Adams dans une comédie à l’humour épais, à grand renfort de clichés et de stéréotypes.
Les Inrockuptibles
"Gangsterdam" (..) ressemble sinon en tous points au pire du rire frenchie période 2000 ("La Beuze" et consorts) en cachant son manque d’inspiration derrière une avalanche de blagues de prout et de clins d’œil flirtant dangereusement avec l’homophobie.
aVoir-aLire.com
Le mauvais esprit loufoque de tout un pan du divertissement américain devient ici l’occasion de railler les communautés avec une outrance qui flanque la nausée.