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Padami N.
61 abonnés
514 critiques
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3,0
Publiée le 2 octobre 2017
très bonne interprétation des différents acteurs dont le trio père -fille -mari qui donne vie aux émotions .des la première scène de la nuit de noce j ai senti le drame...mais les autres histoires cassent le rythme sans être captivantes ou intéressantes.et les transitions sont hasardeuses...
Agréablement surprise ! Alice qui joue Joséphine était incroyable et émouvante, j'ai aussi été touchée par les personnages d'Antony et sa maman. J'ai moyennement apprécié la fin du film que j'ai trouvé précipité...c'est dommage car le film est assez bouleversant.
Un film qui ne vous donnera pas la pêche voire qui plombera l'ambiance tant le sujet abordé est glauque et pourtant réel. PLV : un film qui dénonce la condition des femmes battues
Quelle belle puissance, durant quinze minutes tout se passe dans une chambre, un jeune couple vient de se marier. D’après l’oeuvre de Richard Bausch, Gilles Bourdos va entrelacer trois familles qui n’auraient peut-être jamais dû se rencontrer. La force du film passe bien sûr par sa distribution tout simplement incroyable. Mention spéciale a la surprenante interprétation d’Alice Izzaz qui décroche ici incontestablement son plus beau rôle, impossible de ne pas évoquer Vincent Rottiers, Grégory Gadebois qui sont comme à leur habitude au top. Tout n’est pas que noir, non une lumière transperce bien aidé par un bon taillage. Je veux parler du travail somptueux de Mark Lee Ping Bin directeur de la photographie d’envergure pour Wong Kar-Wai avec « In The Mood For Love », ou encore « Millennium Mambo », » Le Voyage du Ballon Rouge » ou plus récemment « The Assassin » de Hsia-Hsien Hou. Rien n’est oublié, même la musique d’Alexandre Desplat est une merveille d’élégance en totale symbiose avec une mise en scène qui sert magnifiquement le propos. Laisser l’espèce humaine être menacées. Passé sous silence et ne pas contempler que la lumière et la mise en scène est d’une sublime beauté Boulevardducinema.com
J'ai vu ce film le 30 septembre 2017 avec mon épouse et nous avons beaucoup apprécié Jeu d'acteurs remarquable qui met en valeur la fragilité des personnages
Un peu décevant. Le film tourne principalement autour de l histoire de Joséphine et Thomaz. Les diverses histoires ne sont pas équilibrées.
Sauf erreur, on ne voit Mélanie qu au tout début lorsqu elle téléphone à son père et à le fin lorsqu il vient la voir. Le synopsis allocine est erroné, la seconde histoire est celle de ce père qui découvre qu il ne comprend pas sa fille lorsqu elle lui parle de son futur gendre. Cette histoire est globalement inexistante alors que supposée égale.
Pour moi espèces menacées manque de cohérence. J en veux pour preuve un petit détail : au début du film on a un carton qui nous prévient qu'on est 1 an après le mariage. A la fin du film, la visite de Vincent à Mélanie a probablement mieux à peu près un an après les événements précédents, mais il n y a pas de carton pour le signaler, pour dater.
Il y a quelques scènes très intéressantes qui fonctionnent bien, mais malheureusement beaucoup de moyennes.
J ai l impression que le film n a pas su choisir entre l implicite et l explicite. Le dosage n a pas été trouvé. C est probablement la cause de ces scènes moyennes ou de l implicite a essayé d être suggéré. Les acteurs ont été embêtés à essayer de faire vivre du non dit imprécis et le résultat est moyen.
Une très belle affiche mais les acteurs n ont pas toujours la possibilité de bien exprimer leur talent.
Familles, je vous hais, se plairait à répéter André Gide en contemplant ce drôle d'objet cinématographique "Espèces menacées". Car les familles ici ne font pas dans le bonheur et la norme, malgré le décor idyllique de Nice et sa côte où elles vivent. Il y a la jeune-fille qui se marie avec la pire des brutes, la mère folle à lier qui met en feu la voiture de son mari, l'autre jeune-fille qui annonce à son père en cours de divorce qu'elle va épouser un homme de la soixantaine etc. Bref, Gilles Bourdos dont on connaît l'indéniable talent, nous sert, une galerie de personnages totalement déjantés, sans nuance aucune, à l'exacte inverse de la mise en scène romanesque et lyrique de son dernier film, "Renoir". Le pire sans doute, c'est que le film respire les moyens financiers à n'en plus finir. Le réalisateur abuse sans vergogne des grues, des travellings, il recourt à des décors somptueux, au plus près de la mer, il ne lésine pas sur le nombre d'acteurs, multipliant les histoires de vie jusque l'écœurement. Il n'a pas peur des dialogues excessifs, ou de pousser ses actrices surtout, à l'énervement et la débâcle des larmes. Pourtant, seul sujet passionnant, il raconte avec profondeur la manière dont les victimes de violence conjugale s'adonnent parfois à l'addiction des coups de leur conjoint. Cette dépendance au mari violent est filmée avec brio. A elle seule, cette description aurait pu faire un formidable film si le réalisateur n'avait pas choisi d'enliser son regard dans ces drôles de monstruosités.
Bourdos filme la souffrance des êtres. Physique ou non. La difficulté d’être ensemble ou de se comprendre. L’histoire de la jeune fille est quand même la plus poignante avec le père qui fait tout pour la sauver jusqu’à la fin terrible. On est un peu déçu que les destins ne se croisent pas mais ce n’est pas très grave par rapport à la force émotionnelle du film.
un scénario tortueux, un film sombre et sans lumière des histoires qui commencent et qui ne finissent pas. et une fin raté. dans tout ce chaos seul les acteurs brillent.
Beau, dur mais tellement réaliste. On peut s'identifier, se dire que ces paumés, ces déviants, ce sont nous. Réalité brute. Acteurs performants avec mentions spéciales pour Alice Isaaz, Vincent Rottiers et Grégory Gadebois impressionnants et déroutants de justesse. A surveiller pour les prochains César.
Gros plans et dialogues surjoués, on insiste, ou se rebiffe mais on s'aime, pour le pire ou pour le meilleur. Mais surtout on ne s'attarde sur rien, hormis des tenues en fausse peau de bêtes, vulgarité potache de notre temps. Rien n'est système, tout est caste et repli familial. La France d'aujourd'hui qui adapte un roman forcément américain finit par se violenter avec une arme. Le gros papa tout doux pointera-t-il son arme ?
Haletant, prenant, étouffant, virtuose. Pour moi l'un des meilleurs films de l'année. Des acteurs magnifiques, des histoires entrelacées, et une violence psychique et physique ressentie jusqu'au bout des ongles. A voir sans hésitation.
Des personnages forts et de très bons acteurs, mais un film inégal qui étrangement n'a pas un grand impact malgré les thèmes importants qui sont abordés ou les quelques scènes marquantes qui sont montrées. Ce film choral sur la brutalité des relations familiales s'intéresse à trois familles dont les histoires s'entrelacent. L'histoire sur Alice Isaaz et Vincent Rottiers est la meilleure sur le papier, celle où il y a le plus de matière seulement elle est un peu gâchée par les autres qui ne sont finalement jamais développées et qui sont présentes juste pour introduire certains personnages dans cette histoire de couple. La scène d'ouverture, où comment passer du rêve au cauchemar en quelques minutes, est superbe seulement par la suite, le film ne trouve jamais réellement son rythme ni son équilibre entre toutes ces histoires. Les acteurs sont bons, mais l'histoire ou plutôt le déroulement est un peu décevant et m'a vraiment laissé sur ma faim.
Un bon drame.................bien emmené.............sans surprises, mais bien ficelé..................je conseille.................3 étoiles....!!!!!!