Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Au-delà de sa force sensorielle, cette mosaïque d’images et de sons accentue la tension au cœur du film entre le quotidien du personnage et les bouleversements politiques qui font trembler au même moment son pays.
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Tamer El Saïd réalise un premier long métrage dense mais limpide au final bouleversant, sans doute l'un des films les plus riches et les plus intelligents de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De sorte que Le Caire de Tamer El Saïd est une pensée en mouvement, une surface où il est palpable qu’il y projette son âme, y dépose ses objets, y égrène ses souvenirs, y inscrit son intimité la plus chère. Il filme en un mot sa ville comme on écrit à l’aimée une lettre d’adieu, laquelle, comme chacun sait, est toujours la plus vive et poignante lettre d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jacques-Antoine Maisonobe
Illustration de la mise en abyme, le film réussit à toruver le juste équilibre entre fiction et documentaire, lyrisme et absurde réalité. Une œuvre au propos universel passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Quelle possibilité, donc, pour le cinéaste, quand sa ville est sur le point de s’embraser ? Celle de se lancer, caméra à la main, dans une dernière danse aux airs de corps à corps avec elle, de la célébrer envers et contre tout, dans sa laideur comme sa beauté, avant que n’éclate la tempête.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Filmer une seconde, pour la voir, pour la comprendre, cela peut prendre le temps d’une vie, comme arpenter un millimètre carré peut exiger la surface d’un monde entier : le cinéma est ce jeu d’échelles où Tamer El Said cherche les images fragmentaires de nos vies, s’en enivre et les fait danser devant nos yeux jusqu’au vertige.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Pudique et lyrique à la fois, le film exerce un indéniable pouvoir de fascination.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Documentaire en forme de requiem pour une jeunesse, doublé d’une autofiction dépressive. Les derniers jours d’une ville est le documentaire fascinant d’une Egypte au bord de l’embrasement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Beau film impressionniste, quoiqu’un peu long et volatil, sur l’identité des hommes et des pays arabes touchés par la guerre et l’intégrisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Une oeuvre conceptuelle, pertinente dans sa réflexion sur l'image mais austère pour le grand public.
Critikat.com
par Jérôme Provençal
Trop discursif et évasif, le film donne l’impression, fatalement rédhibitoire, de se disperser et de se diluer au fur et à mesure de la projection.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Malheureusement, ce long métrage sensible et sincère s'alourdit du caractère appuyé et répétitif de ses nombreuses considérations réflexives et métafilmiques qui, bien qu'intéressantes et nécessaires, finissent pas assécher la sève du sujet.
Cahiers du Cinéma
Au-delà de sa force sensorielle, cette mosaïque d’images et de sons accentue la tension au cœur du film entre le quotidien du personnage et les bouleversements politiques qui font trembler au même moment son pays.
Culturopoing.com
Tamer El Saïd réalise un premier long métrage dense mais limpide au final bouleversant, sans doute l'un des films les plus riches et les plus intelligents de l’année.
Le Monde
De sorte que Le Caire de Tamer El Saïd est une pensée en mouvement, une surface où il est palpable qu’il y projette son âme, y dépose ses objets, y égrène ses souvenirs, y inscrit son intimité la plus chère. Il filme en un mot sa ville comme on écrit à l’aimée une lettre d’adieu, laquelle, comme chacun sait, est toujours la plus vive et poignante lettre d’amour.
Les Fiches du Cinéma
Illustration de la mise en abyme, le film réussit à toruver le juste équilibre entre fiction et documentaire, lyrisme et absurde réalité. Une œuvre au propos universel passionnant.
Les Inrockuptibles
Quelle possibilité, donc, pour le cinéaste, quand sa ville est sur le point de s’embraser ? Celle de se lancer, caméra à la main, dans une dernière danse aux airs de corps à corps avec elle, de la célébrer envers et contre tout, dans sa laideur comme sa beauté, avant que n’éclate la tempête.
Libération
Filmer une seconde, pour la voir, pour la comprendre, cela peut prendre le temps d’une vie, comme arpenter un millimètre carré peut exiger la surface d’un monde entier : le cinéma est ce jeu d’échelles où Tamer El Said cherche les images fragmentaires de nos vies, s’en enivre et les fait danser devant nos yeux jusqu’au vertige.
Télérama
Pudique et lyrique à la fois, le film exerce un indéniable pouvoir de fascination.
aVoir-aLire.com
Documentaire en forme de requiem pour une jeunesse, doublé d’une autofiction dépressive. Les derniers jours d’une ville est le documentaire fascinant d’une Egypte au bord de l’embrasement.
L'Obs
Beau film impressionniste, quoiqu’un peu long et volatil, sur l’identité des hommes et des pays arabes touchés par la guerre et l’intégrisme.
Studio Ciné Live
Une oeuvre conceptuelle, pertinente dans sa réflexion sur l'image mais austère pour le grand public.
Critikat.com
Trop discursif et évasif, le film donne l’impression, fatalement rédhibitoire, de se disperser et de se diluer au fur et à mesure de la projection.
Positif
Malheureusement, ce long métrage sensible et sincère s'alourdit du caractère appuyé et répétitif de ses nombreuses considérations réflexives et métafilmiques qui, bien qu'intéressantes et nécessaires, finissent pas assécher la sève du sujet.