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Calé sur un rythme particulier donnant la part belle à la caractérisation des personnages et à un humour décalé, "Logan Lucky" aligne les répliques hilarantes et les situations gênantes pour éplucher les préjugés, déjouer les archétypes et parvenir au cœur de ses protagonistes. Grâce au plaisir immédiat suscité par le film, Soderbergh fait ainsi lentement infuser l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le réalisateur avait annoncé qu’il abandonnait le cinéma. C’est en forme que Steven Soderbergh revient sur grand écran avec "Logan Lucky", un polar qui porte sa patte.
Une comédie, "Logan Lucky" ? Oui, et ouvertement en plus. Mais une comédie aux jolis accents méta, puisque Soderbergh y revisite sa propre série des "Ocean", en version plouc, courses de voitures et concours de "mini-miss", tout en y citant aussi son "Magic Mike".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Si "Ocean's Eleven" était un tube pop et étincelant, "Logan Luck " s'apparente à une longue et touchante chanson folk, où le bon sens de la classe ouvrière triomphe de la bêtise de l'Amérique de Trump.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Soderbergh sait freiner lorsque l’intrigue l’exige, accélérer quand il le faut, négocier en douceur des virages délicats, glisser de la fantaisie débridée à la charge satirique, effleurer l’émotion, chauffer la bande-son. La classe !
Un film de braquage au scénario constamment inventif et surprenant, mené bon train par un casting haut de gamme, une réalisation virtuose et une distance ironique qui rend le tout particulièrement jouissif.
"Ocean's Eleven” prolo à la conduite irréprochable, “Logan Lucky” se fait aussi la chronique sensible de l'Amérique de Trump. Retour gagnant pour Soderbergh.
Il nous avait juré, droit dans les yeux, que le cinéma, du moins sur grand écran, c’était terminé pour lui (…) Quatre ans (une broutille) et deux cents projets plus tard (on exagère à peine), le plus actif, haut la main, des cinéastes actuels, revient. Avec un film de cinéma Un grand film pour le grand écran : "Logan Lucky".
Quelle différence entre la bêtise et le génie ? Et entre le grand art et le petit commerce ? Chez Soderbergh, plus que jamais, plus que chez d’autres, il n’y en a pas. Autant vous dire qu’il finit, comme ses héros, en allant à rebours des apparences, par rafler tout simplement la mise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le travail bien fait, voilà qui suscite toujours admiration et émotion. Et quand de surcroît, on rit… C’est le cas avec "Logan Lucky" de Steven Soderbergh qui effectue son retour au cinéma après quatre ans.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L’espièglerie éclairée de Soderbergh imprègne aussi le choix des acteurs. Daniel Craig amuse en prisonnier aux cheveux jaune canari, expert ramolli du braquage de coffres-forts. Mais deux personnages féminins témoignent plus encore, d’une science absolue du casting.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si l’organisation du casse avec ses préparatifs mystérieux ou périlleux (sortir de prison Joe Bang, interprété par Daniel Craig dans un registre aussi inédit qu’enthousiasmant), fournit une trame efficace, l’intérêt réside aussi dans l’arrière-plan du récit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Si cette comédie, sorte d'"Ocean's Eleven" chez les paysans, séduit par ses personnages truculents (...), il lui manque le rythme et l'humour auxquels nous a habitués Steven Soderbergh par le passé.
(...) D’où aussi, hélas, notre perplexité et notre relative déconfiture devant la toute petite chose qu’est cette comédie policière, pas désagréable mais totalement anecdotique.
Si on sent bien que Soderbergh veut rompre avec les clichés sur cette Amérique mal aimée, on peut aussi et surtout s’étonner de son propos un rien darwiniste.
Logan Lucky ne sait pas sur quel pied danser pour la simple et bonne raison que son écriture et sa mise en scène semblent tout du long en parfaite contradiction. Le résultat est inévitablement un film bancal, trop peu drôle pour être une bonne comédie et trop mal rythmé pour être un thriller percutant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Calé sur un rythme particulier donnant la part belle à la caractérisation des personnages et à un humour décalé, "Logan Lucky" aligne les répliques hilarantes et les situations gênantes pour éplucher les préjugés, déjouer les archétypes et parvenir au cœur de ses protagonistes. Grâce au plaisir immédiat suscité par le film, Soderbergh fait ainsi lentement infuser l’émotion.
20 Minutes
Le réalisateur avait annoncé qu’il abandonnait le cinéma. C’est en forme que Steven Soderbergh revient sur grand écran avec "Logan Lucky", un polar qui porte sa patte.
Bande à part
Une comédie, "Logan Lucky" ? Oui, et ouvertement en plus. Mais une comédie aux jolis accents méta, puisque Soderbergh y revisite sa propre série des "Ocean", en version plouc, courses de voitures et concours de "mini-miss", tout en y citant aussi son "Magic Mike".
Critikat.com
"Logan Lucky" s’emploie avec bonheur à redorer le blason de prolétaires lessivés que le rêve américain a effleurés avant de disparaître à jamais.
Ecran Large
Coloré, rythmé, faisant la part belle à des acteurs au top de leur forme, Steven Soderbergh accouche d'une œuvre à l'efficacité redoutable.
Femme Actuelle
Une comédie réjouissante et déjantée, portée par une sacrée distribution.
L'Express
C'est "L'Ultime Razzia" et "Ocean's Eleven" en mode série B, avec arrière-fond social sur l'Amérique des perdants.
L'Obs
Si "Ocean's Eleven" était un tube pop et étincelant, "Logan Luck " s'apparente à une longue et touchante chanson folk, où le bon sens de la classe ouvrière triomphe de la bêtise de l'Amérique de Trump.
La Voix du Nord
Soderbergh sait freiner lorsque l’intrigue l’exige, accélérer quand il le faut, négocier en douceur des virages délicats, glisser de la fantaisie débridée à la charge satirique, effleurer l’émotion, chauffer la bande-son. La classe !
Le Dauphiné Libéré
Un film de braquage au scénario constamment inventif et surprenant, mené bon train par un casting haut de gamme, une réalisation virtuose et une distance ironique qui rend le tout particulièrement jouissif.
Le Figaro
Steven Soderbergh revisite avec bonheur le film de braquage.
Le Figaroscope
Steven Soderbergh n’est pas un bleu. Il ne foire jamais ses films de casse. Les braqueurs, il connaît.
Le Monde
Après quatre années de semi-retraite, le cinéaste américain retrouve avec jubilation les codes du film de casse.
Les Fiches du Cinéma
"Ocean's Eleven” prolo à la conduite irréprochable, “Logan Lucky” se fait aussi la chronique sensible de l'Amérique de Trump. Retour gagnant pour Soderbergh.
Les Inrockuptibles
Il nous avait juré, droit dans les yeux, que le cinéma, du moins sur grand écran, c’était terminé pour lui (…) Quatre ans (une broutille) et deux cents projets plus tard (on exagère à peine), le plus actif, haut la main, des cinéastes actuels, revient. Avec un film de cinéma Un grand film pour le grand écran : "Logan Lucky".
Libération
Quelle différence entre la bêtise et le génie ? Et entre le grand art et le petit commerce ? Chez Soderbergh, plus que jamais, plus que chez d’autres, il n’y en a pas. Autant vous dire qu’il finit, comme ses héros, en allant à rebours des apparences, par rafler tout simplement la mise.
Marianne
Une des découvertes les plus singulières offertes récemment par le cinéma américain.
Rolling Stone
Un scénario effréné, une réalisation réjouissante et un casting au poil.
Studio Ciné Live
L'ombre des frères Coen et leur génie comique à dépeindre les bras cassés planent sur "Logan Lucky".
Sud Ouest
Le travail bien fait, voilà qui suscite toujours admiration et émotion. Et quand de surcroît, on rit… C’est le cas avec "Logan Lucky" de Steven Soderbergh qui effectue son retour au cinéma après quatre ans.
Télé 7 Jours
(...) le cinéaste mitonne un épatant film de casse : un Ocean’s Eleven chez les ploucs, 100 % jubilatoire.
Télérama
L’espièglerie éclairée de Soderbergh imprègne aussi le choix des acteurs. Daniel Craig amuse en prisonnier aux cheveux jaune canari, expert ramolli du braquage de coffres-forts. Mais deux personnages féminins témoignent plus encore, d’une science absolue du casting.
Voici
En complice demeuré, Daniel Craig prend plaisir à démonter son image de 007.
La Croix
Si l’organisation du casse avec ses préparatifs mystérieux ou périlleux (sortir de prison Joe Bang, interprété par Daniel Craig dans un registre aussi inédit qu’enthousiasmant), fournit une trame efficace, l’intérêt réside aussi dans l’arrière-plan du récit.
Le Journal du Dimanche
(...) Steven Soderbergh (...) prend un malin plaisir à pratiquer l’autodérision avec cet ersatz d’"Ocean’s Eleven" plus délirant et engagé.
Première
Malgré le sentiment de déjà vu, Soderbergh filme ici certaines scènes avec l’énergie d’un affamé.
Télé Loisirs
Si cette comédie, sorte d'"Ocean's Eleven" chez les paysans, séduit par ses personnages truculents (...), il lui manque le rythme et l'humour auxquels nous a habitués Steven Soderbergh par le passé.
VSD
(...) D’où aussi, hélas, notre perplexité et notre relative déconfiture devant la toute petite chose qu’est cette comédie policière, pas désagréable mais totalement anecdotique.
Cahiers du Cinéma
Si on sent bien que Soderbergh veut rompre avec les clichés sur cette Amérique mal aimée, on peut aussi et surtout s’étonner de son propos un rien darwiniste.
aVoir-aLire.com
Logan Lucky ne sait pas sur quel pied danser pour la simple et bonne raison que son écriture et sa mise en scène semblent tout du long en parfaite contradiction. Le résultat est inévitablement un film bancal, trop peu drôle pour être une bonne comédie et trop mal rythmé pour être un thriller percutant.