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    Detroit
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    4,1
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    364 critiques spectateurs

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    virnoni
    virnoni

    102 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2017
    Déception. On a connu la réalisatrice plus pugnace et engagée. Le thème est porteur et aurait nécessité un traitement moins manichéen et classique presque. Pas de caméra brute comme dans ses précédents films (malgré le mode "caméra à l'épaule", RAS pour moi). Bcp de scènes d'introduction à rallonge, même si cette première partie "historique" est à utiliser pour mettre en place le contexte sociétal et politique. Les personnages s'éparpillent et ils dégagent peu d'empathie. Quand la 2ème partie narrant les faits dans l'hôtel arrive, on est déjà peu passionné. Cette dernière s'étire là aussi pour démontrer toute la violence subie. A quoi bon ? La troisième est pour moi la meilleure. On souffle à moitié mais le cadre juridique ne laisse pour autant pas le spectateur en paix et démontre, autrement, toute l'absurdité et hypocrisie du système (pourri) américain.
    Le plus dramatique c'est que le film est tout à fait transposable de nos jours. Les USA ne sont décidément pas un pays qui s'est libéré de son passé esclavagiste. Pathétique.
    Il demeure malgré tout des moments grandioses avec un souffle dramatique poignant. Trop rare au final. La scène d'animation départ qui explique l'évolution du contacte racial dans le pays, est quant à elle une jolie trouvaille. Le casting est très bon. Comme toujours, la direction d'acteurs/ices de Kathryn Bigelow est forte. Comment aller au bout de certaines scènes pour les acteurs qu'elle entraîne loin encore une fois ?
    Je reste donc septique quand à sa maîtrise du sujet et son choix de traitement, sans apport nuancé. Son message semble si évident : les méchants blancs et les gentils noirs dans un pays sans justice. Simpliste à mon sens.
    On en sort assez violenté, un peu amer, mais plus par une impression assez moyenne de l'ensemble que par le sujet (fort! Inadmissible ! Odieux!) qui ne propose pas une lecture adéquate et à sa hauteur.
    Reste une femme qui a du cran, du courage et de la volonté et rien que pour cela, tous ses films méritent d'être vus.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Le cinéma, périodiquement, nous donne des claques. Comme seul lui peut nous donner.
    Detroit en est une, une des pires et des meilleures claques qu'il m'ait été permis de recevoir.
    Et même si nombre de mes ami.e.s cinéphiles me diront que les films de ce genre utilisent tous les mêmes ressorts, qui fonctionnent très bien ; j'en ressors sonné.
    Detroit nous laisse seul.e.s face à nos idées préconçues, nos petites blagues sans conséquences, nos sentiments de ne jamais être du mauvais côté de l'histoire. Comme d'autres chefs d'oeuvre l'ont fait avant lui, avec un goût similaire à celui que La Liste de Schindler nous laissait, celui d'aigreur et de colère.
    Tous les spectateurs de ma rangée, blancs, sont sortis avec la même envie que moi : celle de demander pardon.
    Une réalisation implacable, des acteurs qui sonnent justes et un scénario tristement bien reconstitué sont les recettes d'une filme historiquement vrai, qui tombe à pic dans un monde troublé.
    Une horreur. Qu'il faut voir. Pour ne pas répéter l'histoire, triste.
    Il y a des claques qui valent la peine de tendre l'autre joue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Un film poignant, déchirant qui vous prend aux tripes si vous avez du coeur. Il explique pas beaucoup les causes de cette événement que l'on devine certes à cette époque mais il relate les faits avec une émotion forte surtout sur la scène dans l'hôtel. J'en suis ressorti tout remonté comme d'habitude sur ce type de film basé sur des faits réels. Le jeu des acteurs est bon en passant par John boyega qui a joué majestueusement et du policier blanc que j'ai détesté durant tout le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 octobre 2017
    Les méchants blancs qui tapent sur les gentils noirs. Attention public sensible: ils sont très méchants. A part ca vous apprendrez rien.
    Christoblog
    Christoblog

    840 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Detroit n'est pas un film agréable à regarder. Je suppose que certains seront même profondément dérangés par la tonalité quasi sadique qui colore le film.

    Nous sommes en 1967, et des émeutes raciales éclatent à Detroit. Quelques jeunes Noirs vont vivre l'enfer le temps d'une nuit, piégés par trois policiers cruels.

    Le film commence par une mise en place d'une redoutable efficacité. Mêlant images d'archives et prises de vue façon caméra à l'épaule, la réalisatrice nous immerge très efficacement dans le chaos d'une véritable révolution. Le point fort de cette introduction, c'est d'introduire les personnages principaux de l'intrigue à venir sans qu'on les remarque vraiment.

    Le coeur du film est ensuite un interminable huis-clos (mais s'il est interminable pour nous, imaginons ce qu'il fut pour les victimes !) éprouvant et dérangeant. La caméra réalise des prodiges durant cette partie, et élève Detroit au rang de meilleur film réalisé par Bigelow, à mon sens. On est absolument et tristement dedans.

    Dans une sorte de symétrie bienvenue, Detroit se termine comme il a commencé : la suite des évènements est esquissée à grand coups de subtiles ellipses.

    L'ensemble constitue un film coup de poing, et pour une fois, l'expression n'est pas galvaudée tellement la mise en scène nous frappe plusieurs fois au plexus. Le film plaira à ceux qui sont sensible à un type de cinéma maîtrisé, d'apparence rude et pas forcément toujours subtil. C'est mon cas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Un film coup de poing sur les relents de la ségrégation dans une ville du nord des USA, DETROIT, en 1967,avec des policiers racistes qui sont lavés 2 années plus tard la justice des crimes qu'ils avaient commis pendant les émeutes de la population afro américaines, contre des représentants de cette communauté ! A voir !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 368 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Eh bah ça m’a plu ce « Detroit »… Pourtant le début m’avait laissé plus que sceptique. Parce que oui, par quoi commence ce film ? Il commence par un long carton d’introduction. Or ça, moi, c’est l’annonciateur de la pire des paresses. Quand tu décides de raconter par du texte ce que tu pourrais faire avec du cinéma, ça n’augure rien de bon. Et quand en plus j’ai constaté que ce carton n’avait que pour seul et unique but de me faire une longue leçon de morale visant à justifier dès le départ les actions des uns et à condamner les actions des autres, là j’ai commencé à avoir très peur. Par tous les dieux du septième art ! Katheryn Bigelow allait-elle donc tomber aussi bas ? Allait-elle simplement se contenter de zapper tout l’aspect discursif de son sujet pour simplement l’illustrer avec des images choc ? Franchement, au début j’y ai cru. Et si le rendu visuel des premières scènes d’émeutes se révèle très percutant, tournées caméra au poing en mode « reporter sur le front », le risque de voir le film s’enliser dans la démonstration et la dénonciation faciles était malgré tout bien palpable. Heureusement, Katheryn Bigelow n’est pas née de la dernière pluie, et pour le coup ça se sent assez rapidement dans la manière dont l’intrigue se met à évoluer. En bonne taulière du cinéma d’action américain, l’amie Katheryn joue très vite avec les modulations de rythme pour faire « respirer » son film. Parce que non, une bonne tension au cinéma n’est pas une tension qu’on tient tout du long. Une tension trop maintenue sur le temps long finit toujours par atteindre une phase de plateau ; moment où généralement le spectateur finit par décrocher. Dans le cas de « Detroit », les premières scènes d’émeutes sont vite contrebalancées par des scènes s’intéressant à des parcours individuels apaisés et déconnectés de l’émeute. Pour moi, c’est d’ailleurs là que j’ai commencé à rentrer dans le film. Cette bascule m’a permis de m’impliquer dans des individus et non dans une masse ; elle m’a permis de ressortir d’un discours social prémâché au profit d’enjeux plus personnels et nuancés, et surtout elle m’a permis de saisir différemment toute la violence de ces émeutes. Parce que oui, quand on passe d’une scène où un groupe d’amis à la voix d’or s’apprêtent à exaucer leur rêve en montant sur scène, et que soudainement les émeutes viennent percuter leur destin, en termes d’expérience sensorielle, il se passe quelque-chose. Car c’est aussi ça le talent de Katheryn Bigelow dans « Detroit » : elle sait très vite poser ses atmosphères ce qui donne du coup encore plus d’impact à ses ruptures et ses transitions. Pour le coup, les contrastes instaurés entre ces moments conviviaux et ces moments violents parviennent vraiment à générer cette respiration indispensable au bon fonctionnement du spectacle. Et là, franchement, malgré les 2h20 de spectacle, je trouve que tout cela coulisse à merveille. La tension est merveilleusement entretenue, tout cela au service d’un univers très prenant et très signifiant. Pour le coup, le matraquage discursif de l’introduction se révèle bien superflu au regard de ce que Dame Bigelow est capable de nous faire ressentir grâce à la maîtrise de ses codes formels. En l’occurrence, l’usage des codes du cinéma de guerre pour parler d’une émeute urbaine est très riche de sens. L’association des deux univers génère d’étranges sensations, comme cette impression d’assister à une ville prise d’assaut par une armée ennemie ou bien encore cette impression de voir une population subir les crimes de guerre menés par un occupant. Franchement, rien de mieux pour nous mettre à la place des noirs de Detroit ; pas besoin de carton manichéen pour cela. D’ailleurs, si je devais trouver quelques limites à ce film (parce que je lui en trouve), je les trouverais sûrement dans ces quelques réminiscences de l’esprit du carton d’introduction que l’on retrouve un peu partout le long de l’intrigue. Par exemple, le parti que prend le film de présenter dès l’intro les policiers zélés me paraissait clairement dispensable. Même si j’entends bien que dans les années 1960, des policiers de ce genre devaient être foison, leur présentation contribue clairement à construire l’intrigue de manière binaire et manichéenne entre d’un côté les gentils vraiment gentils et les méchants vraiment méchants. Même si le film nuance souvent cette position en révélant quelques mécaniques systémiques dans cette oppression étatique, se retrouver avec ces personnages vraiment caricaturaux – et cela dès le départ – nous enferme un peu dans un schéma de pensée et de perception de la situation qui est assez pauvre parce que justement binaire. spoiler: Pour le coup, je trouve que ça aurait été tellement plus intéressant de ne commencer à dessiner la personnalité de ces policiers qu’au moment de la « prise d’otage » dans l’Algiers. D’une part, ça aurait permis de vivre l’assaut comme étant celui d’un ennemi invisible, non personnifié, et donc encore plus effrayant. Ensuite, la singularisation progressive des ennemis aurait pu ouvrir sur cet effroi qu’aurait pu susciter certaines personnalités ; effroi d’autant plus fort que ces gens se seraient révélés au fond que de simples flics assez ordinaires et au fond assez humain. L’autre avantage de choix, c’est qu’il aurait alors été une transition parfaite vers le troisième temps du film qu’est le procès. Pour le coup, dans de telles conditions, j’aurais trouvé le déroulement de l’intrigue absolument parfait.
    Mais bon, on ne refera pas le film hein… De toute façon, l’un dans l’autre, et malgré ces petites scories qui restreignent parfois notre analyse de l’événement, « Detroit » n’en reste pas moins un film que je trouve diablement efficace dans sa mise en scène et dans son cheminement. Et même si le final se révèle être assez conventionnel, je dois bien avouer qu’il a su conclure un spectacle qui m’a remué émotionnellement parlant, ce qui est pour moi le synonyme d’un pari remporté. Donc oui, « Detroit » est pour moi un film efficace et malin. Alors rien que pour cela : « merci Katheryn Bigelow »
    floflo2204
    floflo2204

    86 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Kathryn Bigelow est de retour sur le devant de la scène avec un film qui se veut terriblement actuel malgré l'ancienneté des faits racontés. La réalisatrice/investigatrice nous emmène dans la ville de Détroit découvrir ce qu'il s'est passé pendant les terribles émeutes de 1967 avec une force indiscutable. Elle reprend son rythme de caméra un peu saccadé qu'on avait pu découvrir dans Démineurs et qui s'accorde encore une fois parfaitement à l'histoire mais surtout à la puissance qu'elle cherche à y insuffler. En racontant une histoire violente et relativement ancienne, Bigelow s'attaque également de manière subtile à tous les problèmes raciaux qui parcourent les Etats-Unis actuellement. En effet, elle ne le fait jamais directement, elle ne dérive jamais de son récit et reste toujours attachée au scénario brillamment écrit par Mark Boal. Un scénario qui nous entraîne sans aucuns temps morts à travers le récit de ce film. On n'imagine pas qu'une seule seconde de ce film aurait pu être coupée au montage tant chaque instant en est essentiel. Le fait d'avoir ajouter des images d'archives est aussi une très bonne idée qui contribue à renforcer le réalisme du film. Cet ajout ne se fait jamais en coupant rapidement le récit mais toujours à des points stratégiques. Le long-métrage est accompagné d'un casting de haut-vol terriblement impressionnant. On retrouve quelques têtes bien connues comme John Boyega, Anthony Mackie, Hannah Murray ou encore Jack Reynor qui livrent tous des performances excellentes et complètement différentes de leurs rôles habituels. Néanmoins, Will Poulter tient sans aucun doute le haut du panier avec un rôle glaçant qu'il a su s'approprier sans aucunes difficultés pour nous faire vivre toute l'horreur de la situation. La musique joue un grand rôle dans le long-métrage, il est intéressant de voir toutes les formes qu'elle peut prendre dans celui-ci. On est d'ailleurs bien souvent tentés de danser quant on entend les premières notes d'un morceau qui se révèlent toujours étrangement efficace. Kathryn Bigelow c'est une nouvelle fois attaquée à une histoire vraie mais qui a cette fois une résonance toute particulière dans l'Histoire actuelle. Cependant, comme à son habitude, la réalisatrice le fait avec un talent incroyable et sans aucune langue de bois pour nous livrer un long-métrage actuel et nécessaire. Finalement Détroit pourrait se résumer à ça : 2h20 d'apnée face à un des plus grands films de l'année.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2017
    Un film bouleversant par sa vérité et qui surtout nous rappelle que pas grand chose n'a réellement changé en 50 ans aux US quand un jeune policier blanc raciste mais avant-tout arrogant, lâche, maladroit et dépassé par les événements agit dans un système notamment judiciaire qui accorde à la Police un degré d'impunité pas toujours mérité. Et ce n'est pas Donald qui va arranger ça...
    Padami N.
    Padami N.

    62 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2017
    scènes très dures à la limite du supportable qui amène facilement à la haine au mépris....et autres émotions négatives.....les scènes de motel après la descente font penser à un huis-clos sous tension et malsain..une vision des évènements et surtout sceux du motel et sans explication.les rôles du méchant flic et du vigile noir un trop conciliant sont bien écrit et superbement interprètės
    circusstar
    circusstar

    141 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2017
    La reconstitution d’un épisode atroce qui s’est passé lors des émeutes à Detroit en juillet en 1967.
    C’est tout à fait bien fait et passionnant mais certaines scènes sont insoutenables. S’il y a bien un film à voir : c’est celui-ci.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    175 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2017
    Tout était fait pour que j'apprécie un tel film (antiraciste, bien mis en scène, bien joué). Mais c'était sans compter sur les absurdités d'un scénario qui le rendent oripilant. La cinéaste passe 20 bonnes minutes à décrire une population noire qui vole, saccage et détruit ses propres quartiers. Tout cela concourt à créer un contexte de guerre urbaine totale où les policiers blancs ont tous peur de se faire tirer dessus sans raison. C'est dans ce climat qu'a lieu un imbroglio particulièrement stupide. Dans un hôtel, un homme noir tire avec un pistolet factice sur la police. Tout le monde sait qu'il a cette arme et qu'elle est fausse. La police fait une descente, tue l'homme en question et commence un interrogatoire pour savoir d'où venaient les coups de feu. Toute cette histoire pourrait être réglée en deux minutes chrono mais là ça prend deux heures vingt... Il suffirait que l'un des suspects disent tout simplement la vérité. Mais au lieu de ça, toute la place est laissée au nazion de service, sorte de résumé de la bêtise, de la violence et de la bassesse humaines. spoiler: S'ensuit une purge de plus de deux heures où évidemment c'est le méchant qui gagne.
    Certes, l'histoire est vraie. Mais il faudrait simplement la mettre en forme pour rendre cela supportable. Je respecte ceux qui ont adoré ce film. Pour moi, ce ne fut qu'une inutile épreuve.
    PLR
    PLR

    474 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2017
    Le récit d'événements marquants et de tensions de l'histoire contemporaine des Etats-Unis. Ségrégation (ce qui est différent du racisme mais y mène ou en fait le terreau institutionnel), violences policières : les ingrédients pour les émeutes urbaines relatées. Avec ici un focus sur un "fait divers" : une bavure, plus qu'une bavure, des abus de droit et d'autorité de la police. Mais le scénario ne se veut pas pour autant totalement manichéen : les victimes (afro américaines) aux prises avec les méchants policiers (nécessairement blancs) .Non, il y a des policiers, des gradés, des militaires et autres forces d'intervention en renfort et en appui à la police locale dépassée qui, dans cette reconstitution, n'approuvent pas trop et font ce qu'ils peuvent, même si ce n'est finalement pas grand chose. Le dessin d'une violence d'Etat, sans discernement, comme quelque chose d'inéluctable, de soumission à l'autorité. Le film est long (2 heures et 23 minutes). C'est sans doute voulu pour donner le temps à la pression de monter et au spectateur de s'interroger et de juger par lui-même. Mais c'est long.
    Roman G.
    Roman G.

    19 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2017
    Un film, une œuvre, un témoignage exceptionnel. Ce film retrace avec justesse la violence de ces événements où toutes les haines sont cristallisées ... Kathryn Bigelow film en immersion et toujours en mouvement, elle dresse, ici, un état consternant d'une société fracturée et encore bien rongée par le racisme ...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2017
    Film cliché basé sur des approximations. Caméra subjective pas toujours bien utilisée.
    Aucune émotion, ni négative, ni positive malgré un vif intérêt pour le sujet.
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