Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
En racontant par le menu cette nuit de cauchemar, "Detroit" devient un film d’horreur, distillant les relents d’une implacable violence aveugle, d’une justice à deux vitesses, d’une suprématie insoutenable. C’est fort et juste, jamais complaisant, sans doute en dessous de la réalité. C’est prenant à hurler.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
Par-delà le propos engagé et sa contribution à l’Histoire, "Detroit" est un film monumental en ce qu’il aspire à atteindre,comme tout grand film à l’universel, à agir comme un catalyseur et comme une catharsis individuelle et collective.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Filmsactu
par La Rédaction
Après Démineurs et la traque de Ben Laden dans Zero Dark Thirty, Kathryn Bigelow signe un nouvel uppercut cinématographique. Détroit est aussi dur qu'il est essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Kathryn Bigelow respire son temps et le monde. Elle construit une fiction sur des faits historiques qui parlent du présent. Force dramatique, mise en images percutante, interprétation physique, rythme, participent d’un film bilan sur l’état du monde.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
(...) "Détroit" est moral et passionnant. Révoltant. Indispensable.
L'Obs
par François Forestier
Pour la première fois, Kathryn Bigelow aborde de front les résonances politiques de ces émeutes : inutile de dire qu'elles sont plus actuelles que jamais, aux Etats-Unis. Un très grand film – nécessaire. Mieux : essentiel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Michel Valentin
Un film coup de poing.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film capital sur l'Amérique d'hier et d'aujourd'hui.
Positif
par Grégory Valens
(...) la réalisatrice signe son meilleur film, une œuvre dans la tradition des films coup de poing de Richard Brooks ou Samuel Fuller.
Première
par Frederic Foubert
Bigelow reconstitue la nuit d’horreur avec une énergie et une colère terrassantes. Ahurissantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Bigelow s'engage avec ce film dont la brillante mise en scène nous oppresse, nous horrifie, nous dégoûte et nous bouleverse. Une fois encore, elle prouve qu'elle est une réalisatrice exceptionnelle, témoin critique et lucide de notre époque.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Maîtrise totale du récit, direction d’acteurs parfaite (John Boyega, Will Poulter, Algee Smith…)… La manière dont la réalisatrice de "Démineurs" et "Zero Dark Thirty" restitue cette tragédie, prend véritablement aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Jacques Morice
Manipulation, chantage, torture, tout ce qui se joue dans ce théâtre en huis clos est un concentré de tension explosive. Où la réalisatrice dépasse le simple constat de l’injustice pour explorer les ressorts du racisme, de la haine, du sadisme, mais aussi de la survie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Will Poulter, en policier haineux, et John Boyega, en agent de sécurité dépassé, emportent ce film choral intense et brillamment réalisé.
CNews
par La Rédaction
Film primordial pour le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, "Détroit" ne laissera aucun spectateur indemne, notamment grâce à l'intensité de sa mise en scène.
Ecran Large
par Simon Riaux
Réquisitoire implacable et d'une terrassante maîtrise formelle, "Detroit" est une des oeuvres les plus fortes de Kathryn Bigelow, jusqu'à une conclusion qui tire un peu à la ligne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Khadija Moussou
Filmé comme si la caméra était portée à l’épaule, le film de Kathryn Bigelow montre son souci du réalisme, à une époque où (presque) rien n’a changé, comme l’ont prouvé les émeutes à Ferguson et plus récemment à Charleston. Et rien que pour cela, on la remercie d’avoir voulu raconter cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Kathryn Bigelow, fidèle à sa manière, va gratter là où ça fait mal, non sans une certaine complaisance dans son insistance à montrer la violence jusqu’à l’insoutenable, avec toute l’ambiguïté que présente tout traitement de choc…
Le Figaro
par Eric Neuhoff
La tension augmente, poisseuse. On a rarement ressenti aussi physiquement ce que ça doit être d'être pris en otage, menacé du pire, d'avoir une arme brandie sur la tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) un tableau pétrifiant où la fiction oscille sans complexe entre brutalité et subtilité pour faire oeuvre documentaire. On sort renseigné mais surtout sonné, très impressionné par le vérisme de la réalisation et des acteurs, exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Detroit" embrasse à la fois un système, ses inévitables déviations et son incapacité à se réformer. Un système qui est censé régir la vie de tous, quelle que soit la communauté à laquelle on appartient.
Ouest France
par La Rédaction
Entre reportage de guerre et horreur, un film politique, violent.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un film sous haute tension. Une reconstitution saisissante.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Tranche sanglante de l'histoire des Etats-Unis, "Detroit" est politique, polémique et clinique. Un nouveau grand film de Kathryn Bigelow.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un nouveau grand film de Kathryn Bigelow.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
La réalisatrice signe une fois de plus un film puissant et dérangeant. Elle investit là, en virtuose, tous les genres : le film de guerre, le huis clos horrifique, la bio musicale, le film de procès… Pas de discours sur la ségrégation raciale et le poison de la haine, les images suffisent. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Voici
par Jérôme Saunier
Un brûlot incendiaire sur le racisme systémique en Amérique.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Sans surprise, Detroit a suscité une levée de boucliers aux Etats-Unis, preuve que leur ségrégationnisme latent reste un sujet sensible. Dommage, le film de Kathryn Bigelow est une claque... au meilleur sens du terme !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
(...) le film n'interroge pas une seconde la vie politiqie des Afro-Américains. La caméra est au service exclusif de la torture infligée à des jeunes gens (...). Et c'est douloureux. Et c'est terrifiant.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
La première chose dont souffre le film, c’est d’avoir voulu tempérer l’ambiguïté programmée de son dispositif en le nappant, de part et d’autre, d’un beurre de fiction de gauche qui s’accommode plutôt mal avec sa recette.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Kathryn Bigelow fait régner la terreur à Detroit mais rate la mise en perspective sociale et politique de son film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
[...] S’il choisit de plonger d’abord le spectateur dans la frénésie des émeutes, [...] le récit épouse ensuite une logique de rétrécissement – un zoom au microscope, dans un sens, qui réduit néanmoins davantage le champ des enjeux qu’il ne densifie le fil directeur du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Cécile Rousseau
Si la réussite formelle est indéniable, cette volonté d’exhaustivité et cet excès de didactisme reflètent un manque d’âme. Reste un coup de poing politique, un retour nécessaire sur une amnésie collective en ces temps troublés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Avec ce récit très éprouvant d’une bavure policière commise à Détroit lors des émeutes raciales de 1967, Kathryn Bigelow cherche à bousculer les consciences, sans toujours s’embarrasser de nuances.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Damien Bonelli
C’est, contre toute attente, sur un terreau purement fantasmatique, où les peurs de l’Amérique conservatrice poussent comme des herbes folles, que Bigelow et Boal se montrent les plus convaincants, en faisant rejaillir sur les tortionnaires la composante sexuelle du racisme.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La démonstration est certes salutaire mais interminable. Trop convenue est la narration. Kathryn Bigelow a beau enfoncer des portes ouvertes, mieux vaut tout de même assister à ce genre d’exposé qu’aux divagations bellicistes de papy Eastwood.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Discutable dans sa façon de montrer l’oppression, un film dont le propos - dénoncer les violences policières racistes - est plus que jamais pertinent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Devant un tel dispositif sadique, on en vient à se demander où réside le véritable intérêt de Bigelow : pour les victimes apeurées ou pour le numéro de la jeune ordure survoltée et vaguement luciférienne, où se lit sa fascination ambivalente pour les uniformes policiers.
Libération
par Luc Chessel
(...) le réalisme abstrait de "Detroit" se prend à son propre piège en oubliant que le cinéma, dans ces conditions, devait aller jusqu’au bout en acceptant d’être lui-même un moyen plutôt qu’une fin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
En racontant par le menu cette nuit de cauchemar, "Detroit" devient un film d’horreur, distillant les relents d’une implacable violence aveugle, d’une justice à deux vitesses, d’une suprématie insoutenable. C’est fort et juste, jamais complaisant, sans doute en dessous de la réalité. C’est prenant à hurler.
Culturopoing.com
Par-delà le propos engagé et sa contribution à l’Histoire, "Detroit" est un film monumental en ce qu’il aspire à atteindre,comme tout grand film à l’universel, à agir comme un catalyseur et comme une catharsis individuelle et collective.
Filmsactu
Après Démineurs et la traque de Ben Laden dans Zero Dark Thirty, Kathryn Bigelow signe un nouvel uppercut cinématographique. Détroit est aussi dur qu'il est essentiel.
Franceinfo Culture
Kathryn Bigelow respire son temps et le monde. Elle construit une fiction sur des faits historiques qui parlent du présent. Force dramatique, mise en images percutante, interprétation physique, rythme, participent d’un film bilan sur l’état du monde.
L'Express
(...) "Détroit" est moral et passionnant. Révoltant. Indispensable.
L'Obs
Pour la première fois, Kathryn Bigelow aborde de front les résonances politiques de ces émeutes : inutile de dire qu'elles sont plus actuelles que jamais, aux Etats-Unis. Un très grand film – nécessaire. Mieux : essentiel.
Le Parisien
Un film coup de poing.
Marianne
Un film capital sur l'Amérique d'hier et d'aujourd'hui.
Positif
(...) la réalisatrice signe son meilleur film, une œuvre dans la tradition des films coup de poing de Richard Brooks ou Samuel Fuller.
Première
Bigelow reconstitue la nuit d’horreur avec une énergie et une colère terrassantes. Ahurissantes.
Rolling Stone
Bigelow s'engage avec ce film dont la brillante mise en scène nous oppresse, nous horrifie, nous dégoûte et nous bouleverse. Une fois encore, elle prouve qu'elle est une réalisatrice exceptionnelle, témoin critique et lucide de notre époque.
Télé Loisirs
Maîtrise totale du récit, direction d’acteurs parfaite (John Boyega, Will Poulter, Algee Smith…)… La manière dont la réalisatrice de "Démineurs" et "Zero Dark Thirty" restitue cette tragédie, prend véritablement aux tripes.
Télérama
Manipulation, chantage, torture, tout ce qui se joue dans ce théâtre en huis clos est un concentré de tension explosive. Où la réalisatrice dépasse le simple constat de l’injustice pour explorer les ressorts du racisme, de la haine, du sadisme, mais aussi de la survie.
20 Minutes
Will Poulter, en policier haineux, et John Boyega, en agent de sécurité dépassé, emportent ce film choral intense et brillamment réalisé.
CNews
Film primordial pour le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis, "Détroit" ne laissera aucun spectateur indemne, notamment grâce à l'intensité de sa mise en scène.
Ecran Large
Réquisitoire implacable et d'une terrassante maîtrise formelle, "Detroit" est une des oeuvres les plus fortes de Kathryn Bigelow, jusqu'à une conclusion qui tire un peu à la ligne.
Elle
Filmé comme si la caméra était portée à l’épaule, le film de Kathryn Bigelow montre son souci du réalisme, à une époque où (presque) rien n’a changé, comme l’ont prouvé les émeutes à Ferguson et plus récemment à Charleston. Et rien que pour cela, on la remercie d’avoir voulu raconter cette histoire.
Le Dauphiné Libéré
Kathryn Bigelow, fidèle à sa manière, va gratter là où ça fait mal, non sans une certaine complaisance dans son insistance à montrer la violence jusqu’à l’insoutenable, avec toute l’ambiguïté que présente tout traitement de choc…
Le Figaro
La tension augmente, poisseuse. On a rarement ressenti aussi physiquement ce que ça doit être d'être pris en otage, menacé du pire, d'avoir une arme brandie sur la tête.
Le Journal du Dimanche
(...) un tableau pétrifiant où la fiction oscille sans complexe entre brutalité et subtilité pour faire oeuvre documentaire. On sort renseigné mais surtout sonné, très impressionné par le vérisme de la réalisation et des acteurs, exceptionnels.
Le Monde
"Detroit" embrasse à la fois un système, ses inévitables déviations et son incapacité à se réformer. Un système qui est censé régir la vie de tous, quelle que soit la communauté à laquelle on appartient.
Ouest France
Entre reportage de guerre et horreur, un film politique, violent.
Studio Ciné Live
Un film sous haute tension. Une reconstitution saisissante.
Transfuge
Tranche sanglante de l'histoire des Etats-Unis, "Detroit" est politique, polémique et clinique. Un nouveau grand film de Kathryn Bigelow.
Transfuge
Un nouveau grand film de Kathryn Bigelow.
Télé 7 Jours
La réalisatrice signe une fois de plus un film puissant et dérangeant. Elle investit là, en virtuose, tous les genres : le film de guerre, le huis clos horrifique, la bio musicale, le film de procès… Pas de discours sur la ségrégation raciale et le poison de la haine, les images suffisent. Du grand art.
Voici
Un brûlot incendiaire sur le racisme systémique en Amérique.
aVoir-aLire.com
Sans surprise, Detroit a suscité une levée de boucliers aux Etats-Unis, preuve que leur ségrégationnisme latent reste un sujet sensible. Dommage, le film de Kathryn Bigelow est une claque... au meilleur sens du terme !
Charlie Hebdo
(...) le film n'interroge pas une seconde la vie politiqie des Afro-Américains. La caméra est au service exclusif de la torture infligée à des jeunes gens (...). Et c'est douloureux. Et c'est terrifiant.
Chronic'art.com
La première chose dont souffre le film, c’est d’avoir voulu tempérer l’ambiguïté programmée de son dispositif en le nappant, de part et d’autre, d’un beurre de fiction de gauche qui s’accommode plutôt mal avec sa recette.
CinemaTeaser
Kathryn Bigelow fait régner la terreur à Detroit mais rate la mise en perspective sociale et politique de son film.
Critikat.com
[...] S’il choisit de plonger d’abord le spectateur dans la frénésie des émeutes, [...] le récit épouse ensuite une logique de rétrécissement – un zoom au microscope, dans un sens, qui réduit néanmoins davantage le champ des enjeux qu’il ne densifie le fil directeur du film.
L'Humanité
Si la réussite formelle est indéniable, cette volonté d’exhaustivité et cet excès de didactisme reflètent un manque d’âme. Reste un coup de poing politique, un retour nécessaire sur une amnésie collective en ces temps troublés.
La Croix
Avec ce récit très éprouvant d’une bavure policière commise à Détroit lors des émeutes raciales de 1967, Kathryn Bigelow cherche à bousculer les consciences, sans toujours s’embarrasser de nuances.
La Septième Obsession
C’est, contre toute attente, sur un terreau purement fantasmatique, où les peurs de l’Amérique conservatrice poussent comme des herbes folles, que Bigelow et Boal se montrent les plus convaincants, en faisant rejaillir sur les tortionnaires la composante sexuelle du racisme.
La Voix du Nord
La démonstration est certes salutaire mais interminable. Trop convenue est la narration. Kathryn Bigelow a beau enfoncer des portes ouvertes, mieux vaut tout de même assister à ce genre d’exposé qu’aux divagations bellicistes de papy Eastwood.
Les Inrockuptibles
Discutable dans sa façon de montrer l’oppression, un film dont le propos - dénoncer les violences policières racistes - est plus que jamais pertinent.
Cahiers du Cinéma
Devant un tel dispositif sadique, on en vient à se demander où réside le véritable intérêt de Bigelow : pour les victimes apeurées ou pour le numéro de la jeune ordure survoltée et vaguement luciférienne, où se lit sa fascination ambivalente pour les uniformes policiers.
Libération
(...) le réalisme abstrait de "Detroit" se prend à son propre piège en oubliant que le cinéma, dans ces conditions, devait aller jusqu’au bout en acceptant d’être lui-même un moyen plutôt qu’une fin.