Derniers Avis : Life - Origine Inconnue - Page 22

Qu'est ce que ça peut me saouler tous les coms à la cahier du cinéma à chaque fois sur ce site. Bref quand je lis des comparaisons avec Gravity et "ses plongées camera"...(g envie de dire en même temps heureusement kil ya 2/3 retournement de caméra à faire gerber, ya rien d'autre dans cette belle arnaque marketing.. ) après quand je voies le dernier Alien (au secours, remettez J.Cameron sur le prochain !!), Life est un très bon pti film, a WTF B-Movie ! Bref un vrai bon moment que les MadMovistes devraient apprécier !!

Une idée classique avec des moments qui le sont beaucoup moins .
L'histoire est un peu longues au débuts (les 15 - 20 premières minutes )mais après de nombreuses surprises et de rebondissements avec de l'angoisse .
Le scénario est pas mal .
Une fin surprenante mais très bien .
Les acteurs sont talentueux avec aussi Reynolds.

Ca fesait longtemp que javai pas vu un aussi bon film suspence et frisson garanti jai hate de voir une suite

Film très décevant, sans aucun intérêt du début à la fin.
Mauvais remake d'Alien, cousu de fils blanc.
Film à banir !

Un bon divertissement, ponctué par quelques incohérences et lenteurs. Cependant, les acteurs et surtout la réalisation ainsi que les effets spéciaux donnent une véritable intensité au film. La musique, sans être phénoménale, reste rythmée et pose un ambiance tendue. Ce film de SF lorgne souvent du côté de l'horreur, en perdant en cohérence et en réalisme (d'un point de vue scénaristique). On passe un bon moment, en ce disant que les défauts de ce film sont facilement pardonnables. 13/20.

Alors que Thomas Pesquet nous a donné une vision plutôt sympathique de la station spatiale internationale, "Life", affublé de son lourd "Origine inconnue" réussit un petit tour de force en se réappropriant très justement la petite phrase d'accroche d'Alien : "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier".
Le film démarre sous les meilleurs hospices avec une introduction toute en absence de pesanteur où les mouvements de caméra s'affranchissent des repères dans l'espace. On suit cette équipe, directement dans le bain pour la récupération d'un objet en provenance directe de Mars avec à son bord une cellule.
C'est avec l'étude de cette nouvelle "espèce" que l'on prendra un peu de temps pour découvrir les personnages sans grande épaisseur et que certains enjeux (sans effets) visant à émouvoir un peu le public se mettent en place: LE scientifique indispensable, le jeune papa, le couple inavoué, les supers copains. Tout ce relief que l'on tente de donner à ces personnalités apparaît bien vite inutile et se voit reléguer au second plan dès l'instant où notre petite cellule à la croissance exponentielle passera de fascinante à terrifiante dans une scène au sein du laboratoire qui verra la tension prendre la courbe ascendante pour ne jamais retomber. D'une victime à l'autre, on ne connait aucun temps-mort. L'apparence et les méthodes du monstre rajoutent à ses oppressantes apparitions et j'avoue avoir un peu mordu mon oreiller lors de la superbe scène de contre la montre à l'extérieur de la station.
"Life" est donc un huit-clos simple qui rappelle les belles heures de la science-fiction en mode survival. Le récit d'une efficacité redoutable occulte presque toutes les possibilités d'analyses. On ne cherche pas à se dire si la photo est belle, si la musique s'accorde parfaitement, si les réactions des personnages tiennent la route. On se contente de suivre avec les yeux rivés à l'écran et les dents qui grincent. Un huit-clos simple mais terriblement efficace qui me replonge presque des années en arrière, dans l'état ou j'avais pu être lorsque je regardais "Alien, le 8ème passager".
spoiler: Seul bémol, le final. Pourtant adepte des fins sombres au profit des happy-end dans ce genre de production, la suggestion aurait à mon sens largement suffit même si le twist a son petit effet.

On a regardé ce film sans avoir vu la bande annonce ni connaître le synopsis. On comprends assez vite où on veut en venir mais jeu d'acteur visuel bande son fait qu'on s'ennui pas une minute... Très bon film !!

Avec « Life, origine inconnue », le réalisateur Daliel Espinosa (« Enfant 44 », « Sécurité rapprochée ») tente une incursion réussie dans la Science-fiction. Certes son scénario rappelle fortement celui de la saga « Alien » mais le suspense et la tension sont si bien entretenus que l'impression de déjà vu est bien vite pardonnée. Les premières minutes passées dans la « station spatiale internationale » donnent une fausse impression de calme et de sérénité qui se détériore rapidement avec l'apparition de l'inévitable créature. Les coursives étroites se transforment alors en autant de pièges sans issues qui font tout l’intérêt de cette intrigue claustrophobique. On a beau savoir comment tout cela va finir, on n'en reste pas moins scotché à son fauteuil jusqu'à la réjouissante scène finale, qui finit d'emporter l'adhésion... Côté interprétation, une jolie brochette d'acteurs fait tout ce qui est en son pouvoir pour tenter de nous faire peur et y parvient d'ailleurs fort bien. Les décors réalistes et la qualité des effets spéciaux font le reste et ajoutent la touche finale à cette série B qui a visiblement bénéficié d'un budget à la hauteur de ses ambitions. Entre fantastique, SF et peur primale, ce film rempli parfaitement ses objectifs et c'est un vrai régal que je ne saurais trop vous conseiller de déguster sans modération.

Je poste mon avis, j'ai trouvé le film long à démarrer, voir chiant mais une fois lancé, il a absorbé mon regard dû à une certaine dose d'étonnement, d'action et de suspense... Il y'a un bon équilibre. Ce n'est pas le film du siècle mais ça se regarde un soir en rentrant du travail.

Je l'ai trouver excellent! Prenant très rapidement avec spoiler: la mort d'un acteur connu dés le début
et il a rien laché par la suite! Franchement J'ai adoré!!

Quel daube. Déception totale. Vide de dialogues, vide de tout. Vide intersidéral, du vu et Re vu 200 fois.

Life est un film de qualité,dont le schéma est un peu similaire à Alien.Le film est magnifique d'un point de vue visuel (c'est du même acabit que Gravity) et la tension est pesante du début à la fin,surtout après l'élément déclencheur.En plus,le film est très bien conclu,une très bonne surprise

attention spoilers: un poulpe en cgi va manger 6 ou 7 astronautes interchangeables. Après chaque repas, il se transforme en... un plus gros poulpe.

un véritable navet qui manque de cohérence...On a l'impression en permanence d'être à côté de la plaque.
Les effets spéciaux sont en dessous de tout et la fin est tellement attendue qu'on pourrait se croire scénariste à Hollywood....

Fils illégitime et (à tentacules) de Alien (1979) et Gravity (2013), cette virée à bord de l'ISS avait pourtant quelques arguments pour nous faire planer un tant soit peu. Mais c'était avant de s’abîmer les ailes dans le champ de débris de la facilité et du déjà-vu.

D'emblée, on se laisse allègrement flotter, entraîné docilement par le sentiment familier de se retrouver dans un énième huit clos à bord d'une ISS fidèle au cinéma. Maigre excitation quand on a suivi les aventures d'un Thomas Pesquet, bien réel, pendant ces derniers mois. À cet instant, un voyant rouge se met à clignoter sur notre tableau de bord fait de caractères cyrilliques. Un message y est inscrit : c'est Alfonso Cuaron depuis la Terre. Il se dit "flatter de l'hommage" mais demande "et ensuite on en fait quoi ?".

À peine a-t-on le temps d'attraper le manuel d'instruction que Ridley Scott nous glisse d'une voix suave dans le scaphandre : "Il nous faudrait aussi un équipage sympathique et représentatif de l'Humanité spoiler: qui va subir de lourdes pertes
".

"Bien reçu, on vous envoie ça, ISS", annonce Houston. On se s’appesantira pas sur les habituelles scènes destinées à créer un sentiment spoiler: inutile
de sympathie du spectateur envers cette équipe de boy-scotts, plutôt lisse. On ne peut se le permettre car notre trajectoire nous a déjà fait dévier à la vitesse lumière vers la scène du "premier contact". Une scène relativement bien pilotée et qui est, à mon sens, la plus réussie du film sans offrir la même intensité mystique que celle du "Premier Contact" de D. Villeneuve.

"Mark Watney pour l'ISS : il s'agirait de conclure, j'ai des patates sur le feu". J'y viens. Quoi dire à part que cette fin était suffisamment prévisible pour avoir été aperçue depuis les confins de l'univers avant de nous parvenir ? Là où "Gravity" nous gâtait d'un plan finale d'une rare puissance métaphorique (c'est plusieurs fois le cas) après 1 h 30 sans turbulences, "Life - Origine Inconnue" se contente d'ouvrir poussivement le parachute et nous laisser lourdement heurter le sol.