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    Ni Juge, Ni Soumise
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    140 critiques spectateurs

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    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2018
    On retrouve le ton de strip tease avec plaisir, surtout que les réalisateurs ont déniché un juge d'instruction avec un sacré tempérament. Bonne idée également de suivre en fil rouge une enquête, qui permet d'alterner avec les différentes auditions. Après on peut quand même s'interroger sur la diffusion de certaines images, assez choquantes, surtout pour les familles des défunts, on se demande d'ailleurs comment ils ont pu obtenir les autorisations. spoiler: Reste également le témoignage de cette femme qui vient d'assassiner son enfant, difficile de rester de marbre devant ce sinistre récit, qui nous met vraiment mal à l'aise.
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2018
    Strip-tease est une émission qui a marqué l’histoire de la télévision. Ni juge, ni soumise est une version long-métrage de cette émission se concentrant sur une juge qui avait déjà fait l’objet de deux épisodes de celle-ci. Le principe est toujours le même : immersion de cadreurs silencieux dans un environnement au point de se faire oublier et d’obtenir ainsi des propos que les personnes filmées n’oseraient tenir devant une caméra. On observe donc des situations hallucinantes donnant l’impression au début que notre juge est un personnage un peu excentrique à qui il est inquiétant de confier une affaire pour petit à petit se rendre compte que son franc-parler et ses réflexions humoristiques sont un moyen de compenser la consternation que l’on peut ressentir face à des situations parfois dramatiques parfois ahurissantes (par la bêtise des personnes concernées par elles) et qu’elle reste une personne ayant la tête sur les épaules et capable de compassion envers les individus qu’elle doit juger. Si on accepte les codes de l’émission (qui peuvent être contestables par certains points notamment sur la limite entre le témoignage et le sentiment de supériorité face aux personnes filmées), Ni juge, ni soumise est une version longue et passionnante à la fois très drôle et assez effrayante sur l’état des sociétés occidentales.
    papalou
    papalou

    15 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2018
    Whaou !
    Réjouissant ! Un cocktail de faits divers, d’enquêtes policières de drames humains avec des épices « deschiens » du piment « frères Cohen » avec du sel « Dardenne » !
    La réalité dépasse la fiction!
    Ce qui m’impressionne c’est cette caméra témoin de la face cachée de l’humanité. Pourtant elle est quasi invisible et capte le balai quotidien de cette part de l’humain si mystérieux. Centrée sur cette juge d’instruction belge la caméra nous montre un personnage pugnace, directe et très humain. Sous son allure familière et sa parole sans tabou cette juge instruit une justice quotidienne et populaire .
    Avec tout cela reste un doc, très bien monté et avec une intention scénariste visible, et un talent dans le cadrage.
    Es ce du cinema pour autant ou plutôt de la tv?
    Ben moi je pense que ce doc dépasse le témoignage, et il a sa place dans les salles obscures !
    SaintPauly
    SaintPauly

    19 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2018
    L'affiche pour «Ni juge, ni soumise» contient la phrase «Ce n'est pas du cinéma c'est pire». Cette petite phrase fait référence au fait que ce documentaire basé sur une juge d'un certain âge qui est aussi, n'est pas un vrai film, mais plutôt un regard intime, quasi-voyeuristique, sur cette dame pendant une brève période. On n'apprend rien sur rien, mais on rit beaucoup, avec malaise souvent. On est choqué par des photos des femmes battues à mort, des terroristes tenant les têtes décapitées, et un corps déterré, mais on est plus choqué par les remarques de ce juge et encore plus par ses jugements. Ce film est inqualifiable sauf pour dire, «Voyez-le!»
    Laurent C.
    Laurent C.

    256 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2018
    Voilà un film qui pose de grandes questions s'agissant du genre cinématographique, a fortiori du documentaire. Un documentaire raconte-t-il une histoire ? Ou bien n'est-il pas que la volonté vaine de montrer la réalité crue, de la déshabiller devant un écran ? Sans doute les deux. Et pourtant ce "Ni Juge ni soumise" pose un véritable problème de point de vue. Si le film veut montrer une magistrate expérimentée, originale pour sûr, très drôle sinon cynique, les réalisateurs ne peuvent pas s'empêcher de prendre parti sur ce qui se passe. Quand on voit cette magistrate chanter dans sa voiture, les réalisateurs disent quelque chose du caractère de cette femme. Surtout quand ils filment les auteurs d'infractions pénales, parfois très graves, les entretiens étant coupés, voire même surtout nourris par les pérégrinations curieuses de la juge, ils disent à la fois quelque chose de la magistrate, de sa posture souvent partiale, mais aussi des auteurs, et naturellement de la société belge, traversée par une certaine anomie. "Ni Juge ni Soumise" est un film réducteur. On est très étonné par l'adhésion des auteurs à se faire mettre en scène, aux côtés de leurs avocats, de cette façon si ironique et grossière. On est étonné par ces avocats silencieux, ou ces greffiers estomaqués par les originalités de la juge. On se pose alors en permanence la question de savoir si ces scènes ont été jouées, ou tout simplement, arrachées au quotidien d'une magistrate, de manière anarchique. D'ailleurs le générique final étale l'identité des personnes qui, jouent leur propre rôle, comme si c'était utile de le rappeler. Cela ne fait que relancer l'ambiguïté du propos. En bref, "Ni Juge ni Soumise" nous aura fait passer un agréable moment mais aura ouvert d'autres problèmes, à la limite de l'éthique.
    Philippe Z.
    Philippe Z.

    5 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 février 2018
    Non pas que le film soit mauvais, l'esprit de Strip-tease est respecté et la juge fait bien son travail. Mais je reproche qu'il ne soit question que de délinquants maghrébins et africains., pas un seul Belge de souche. Seraient-ils donc tous si parfaits, les petits blancs que nous sommes. Certes, certaines thématiques sont très bien vues, comme ce jeune homme né en Belgique qui se targue d'être d'une autre culture et qui est parfaitement remis à sa place par la magistrate. Mais trop de profils similaires confère à une véritable stigmatisation d'une certaine population et cela en devient gênant.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2018
    Un streap-tease format long !?, Ça passe très bien et on ne s'ennuie jamais !
    Ce documentaire où nous suivons des procédures de jugement peut évoquer "12 jours" de Raymond Depardon, sorti quelques mois plus tôt. De la même façon, la caméra filme objectivement des audiences, mais le vrai plus de "ni juge, ni soumise" est de suivre un personnage au caractère très marqué, une femme en dehors des codes et curieuse, dont les propos semblent toujours en décalage avec les situations. De plus, pour éviter le côté "enchaînement de petits sketchs", les réalisateurs ont eu l'intelligence de suivre une affaire d'homicides tout au long du film. Un bon moyen de nous maintenir attentif et de suivre Madame la juge dans ses déplacements !
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2018
    Anne Gruwez est juge d'instruction à Bruxelles. Pendant trois ans, l'équipe de "Striptease" l'a filmée. Dans son bureau où elle auditionne des inculpés et décide leur mise en accusation. Sur les lieux des crimes où elle se déplace dans une 2CV chevrotante. À la police judiciaire où elle décide de rouvrir une vieille affaire restée irrésolue.

    Jetez un œil à la bande annonce pour découvrir Anne Gruwez. Elle ne vous laissera pas indifférente.

    La première réaction sera bien sûr le franc éclat de rire devant la drôlerie de ses réparties. On n'oubliera pas de sitôt l'audience d'une maîtresse SM qui enseigne par le menu à la juge fascinée - et à son greffier vaguement gêné - les secrets d'un massage prostatique réussi ou celle d'une famille consanguine abrutie. Bien sûr l'équipe de "Striptease" résume en cent minutes des heures de rush et des années d'audition qui n'étaient forcément pas toutes si hilarants. Mais le best of qu'ils ont amassé est franchement poilant. La salle ne s'y trompe pas qui, quasi-pleine et étonnamment âgée, s'esclaffe bruyamment - j'ai bien cru que mon voisin allait s'étouffer de rire.

    Mais derrière cette réaction primaire s'en cache une seconde plus malaisante. C'est d'ailleurs celle qu'inspire les enquêtes de "Striptease". Un sentiment d'incrédulité, de gêne, d'impudeur. Incrédulité devant les énormités que prononce cette magistrate qui lui vaudrait, en France, une convocation immédiate devant le CSM par exemple lorsqu'elle tient des propos racistes sur un Albanais accusé de violence conjugale ou devant cette avocate qui, bafouant les droits de la défense, enfonce son client, abruti d'alcool et de médicaments. Gêne devant des accusés qui, quels que soient leurs torts, ont dû signer une décharge autorisant "Striptease" à les filmer sans réaliser le ridicule dans lequel ils sont tournés. Impudeur d'un cadavre qu'on déterre par un beau jour d'été pour lui prélever de l'ADN sans que soit observée à l'égard de sa dépouille l'élémentaire décence que le respect des morts exige.

    Bien sûr, en écrivant ce qui précède, j'ai conscience d'être un cul-serré, un Français scrogneugneu que ne font pas rire quelques bonnes blagues belges , un conseiller d’État péremptoire qui sacralise les principes déontologiques pour critiquer la réalité quotidienne de la vie d'un juge d'instruction qui se coltine avec la réalité. Peut-être... Mais quand même...
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2018
    Ni juge ni soumise" est le premier long-métrage issu de Strip tease, émission de télévision documentaire belge, devenue culte, créée sur la RTBF en 1985, puis belgo-française depuis octobre 1992 et sa diffusion sur France 3 . Pendant trois ans les réalisateurs, Jean Libon et Yves Hinant, ont suivi à Bruxelles la juge Anne Gruwez au cours d’enquêtes criminelles, d’auditions, de visites de scènes de crime. Leur écriture comme ils le précisent, « c'est une comédie à sa manière, grâce à des séquences mêlant l’humour noir, l’absurde, l’amertume des situations, parfois un peu de vulgarité, de la poésie, du désespoir, le tout ancré dans notre époque ». Ni juge ni soumise a pour fil rouge une enquête criminelle. Un cold case, ou dossier froid, l’assassinat il y a une vingtaine d’années et à quelque temps d’intervalle de deux prostituées et que la juge veut rouvrir car ces meurtres non élucidés lui ont laissé un souvenir amer…elle missionne donc trois policiers de la criminelle de reprendre l’enquête. En même temps, nous la suivons dans le quotidien de ses auditions de petits malfrats, d’affaires familiales et même de meurtre, autant de prétextes à décrire les turpitudes de l’âme humaine, à la fois noire, drôle, grinçante ou cruelle…Notre juge est très rock n’ roll, à l’anticonformisme réjouissant , dotée d’un physique de bande dessinée et d’un phrasé à l’incomparable pointe d’accent belge, .arpentant Bruxelles dans sa 2cv Citroën , montrant au passage divers lieux de ses enquêtes les plus marquantes…Le film est précédé d’un avertissement , certaines scènes , propos ou images pouvant heurter la sensibilité des spectateurs. Et effectivement les spectateurs sont servis, madame la juge a un langage pour le moins direct sinon cru pour s’adresser à ce qu’elle appelle ses « clients »…prenant le temps de se faire décrire les « spécialités » de cette prostituée reconvertie en maitresse sadomasochiste, nous invitant à suivre une exhumation de cadavre présentée avec surréalisme où elle débarque en haut talons bleu pailletés et sous un parapluie rose en guise d’ombrelle, offrant d’abriter du soleil le médecin légiste un peu pâlichon ( pour un légiste, cela se comprend !!) …on rit beaucoup, mais au fil du temps on s’aperçoit que c’est un rire jaune…ou un rire forcé pour masquer notre gêne…Où est le secret de l’instruction ? Est-ce un documentaire ou une fiction ? Comme les personnages jouent leur propre rôle et s’expriment à visage découvert, et que tout écrit préalable est exclu, c’est un documentaire…un documentaire sur l’état du crime et de la justice…mais pourquoi cet échantillon d’humanité qui échoue dans le bureau de cette juge hors norme, est-il biaisé ? La quasi-totalité des prévenus sont d’origine maghrébine et quand ils ne le sont pas, turcs ou des Balkans…Pas le moindre belge bon teint parmi sa « clientèle »…C’est regrettable…Est-ce vraiment la comédie du réel ou la fausseté de la représentation …Strip-tease était souvent marquée d’ambigüité…Tout ceci est un peu trash…et le goût de la provocation des réalisateurs les conduit à des profanations et à terminer le film par la confession impressionnante d’une infanticide guidée par la voix de Satan…son visage est marqué par la folie, et là on a plus du tout envie de rire…c’est la gêne qui nous saisit...
    momo M.
    momo M.

    40 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2018
    Dans la suite des émissions streap tease, on suit une juge belge dans ses déplacements ses auditions ses visites de scènes de crime. On rit et on a aussi parfois la nausée tant les situations sont glauques. Cette juge suit un dossier vieux de plus de 20 ans sur l'assassinat de prostituées. Choses impossible en France puisque les juges sont obligatoirement mutés tous les 10 ans pour échapper à la routine. La manière de travailler de cette juge est assez particulière, elle fait certainement des entorses aux règlements, fait la morale, mais reste toujours très humaine
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 février 2018
    Je me suis dit après avoir vu la bande annonce: vite je cours le voir ce documentaire! ça a l'air drôle et surement instructif sur le métier de juge...
    Passé les premières 20mn, j'ai commencé à me faire la réflexion suivante: si j'avais su je n'aurai jamais payé une place pour voir et entendre tant de violence ! streap tease a dépassé les limites de la ligne rouge!
    Ce documentaire devrait être interdit au - 16ans car il y a des scènes très choquantes et certains dialogues sont extrêmement violent de mon point de vue. âmes sensibles s'abstenir...évitez d'y allez pas avec vos ados et encore moins vos enfants!
    Isabelle E.C.
    Isabelle E.C.

    53 abonnés 298 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2018
    Très étrange, dérangeant, pas politiquement correct (du tout) c’est un documentaire « Strip Tease » comme j’aimais les voir le soir très tard à la télé.
    Curieuse de « ce que vivent les gens » j’ai été bousculée, je me suis sentie plongée dans un univers glauque mais très humain, j’ai ri et j’ai souvent été étonnée de ce que voyais.
    Cette femme juge, est totalement incroyable, elle garde une grande part de secret malgré tout et ne semble pas vraiment perturbée par l’atmosphère de Bruxelles et de ses alentours, évoquant la possibilité d’attentats, ni par les menaces des petits malfrats.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2018
    " Ni juge ni soumise " premier long métrage de l'émission culte strip stease est une pépite. En effet nous y suivons les instructions pénale d'une juge pas comme les autres où l'horreur côtoie le comique dans des enquêtes passionnante et instructive sur l'état de notre société.
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 février 2018
    "Non de diable !" profère-t-elle. Un juron tout à l'image de cette magistrate singulière et engagée. On retrouve bien l'esprit de "Strip tease, l'émission qui vous déshabille". Mais du coup, j'ai ressenti le même malaise, que j'éprouvais en tant que spectateur devant le téléviseur, lorsque j'étais amené à rire. Sauf qu'en salle, ce malaise est amplifié par le caractère collectif des rires. De quoi rit-on ? De qui rit-on ? C'est un peu comme les perles des élèves, des patients. De qui se moque-t-on ? Sur le dos de qui s'opère le ressort du rire ? Ce qui se dit, se donne à voir est parfois énorme, mais si c'est le ridicule des gens qui constitue le ressort comique, alors cela ne m'intéresse pas. La brièveté des reportages du magazine brouillait cette question, dans le film, impossible d'y échapper. J'ai envie de croire à l'éthique du spectateur et ici, je la sens mise à mal.
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2018
    L'émission belge de télévision ayant pour nom "Strip Tease", vous connaissez ? Elle a commencé sur la RTBF en 1985, elle est arrivée sur France 3 en 1992 et elle s'est terminée en 2012, après avoir très fortement contribué à modifier la façon de faire des documentaires pour la télévision (et même ailleurs ! et même la façon de réaliser des fictions !). Le principe n°1 : pas de commentaires sur ce qu'on voit, seuls les protagonistes s'expriment. En 1992, était sorti un film qui parodiait cette émission : "C'est arrivé près de chez vous", vite devenu culte.

    "Ni juge, ni soumise" est un documentaire de 1 h 39 réalisé dans le style d'un docu de Strip-tease par Jean Libon, fondateur de l'émission, et Yves Hinant, un réalisateur de l'émission. Pendant 3 ans, ils ont suivi une juge, Anne Gruwez, dans son travail et même en dehors. Cette juge avait déjà été l'objet de deux épisodes de l'émission télé et les réalisateurs savaient qu'avec elle, avec son franc-parler, avec son art de la répartie, il y aurait forcément matière à intéresser le spectateur et matière à le faire rire.

    C'est à peu près ce qui se passe, sauf que, finalement 1 h 39 sur elle et celles et ceux qu'elle appelle ses clients, cela devient un peu répétitif. On remarquera que, en général, elle montre beaucoup de sympathie aux femmes convoquées dans son bureau, qu'elles soient prostituées ou "maîtresse" dans des relations sado-maso mais que, par contre, lorsque ce sont des hommes qui sont en face d'elle, pointent de temps en temps des petites remarques qu'il n'est pas interdit de qualifier de racistes

    Ce film, c'est la bande-annonce qui m'avait donné au départ l'envie de le voir : bande-annonce qui reprend à peu près tous les meilleurs moments et qui m'avait fait croire que "Ni juge, ni soumise" était une fiction. Et c'est vrai que lorsqu'on compare "Ni juge, ni soumise" aux premières minutes de "Jusqu'à la garde", lesquelles se passent aussi dans le cabinet d'un juge, on peut vraiment se demander quel film est un documentaire et lequel est une fiction !
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