AlloCiné
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Votre avis sur Ni Juge, Ni Soumise ?
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film à éviter absolument. Très décevant. La juge est particulièrement irrespectueuse à l'égard des personnes qui se retrouvent dans son cabinet (que ce soit les avocats ou les justiciables). Les passages choisis sont manifestement caricaturaux et remplis de clichés et de préjugés (notamment à l'égard des autres cultures). Je suis fort surprise que les personnes filmées aient donné leur consentement au vu de la manière dont on se moque d'elles. Le danger de ce film est de laisser croire qu'il s'agisse de la réalité .
J'ai adoré ce film et l'humour de cette juge d'instruction. on va croiser toute sorte de gens dans le bureau de la juge .quel caractère ! il en faut pour traiter toute cette misère. la fin du film arrive et on en redemande encore.
Si c'était un film ce serait de trés mauvais gout.
Mais c'est un documentaire alors c'est lamentable: une juge excentrique abuse de son pouvoir pour exhiber devant la caméra des délinquants, des simplets et des assassins.
Mais c'est un documentaire alors c'est lamentable: une juge excentrique abuse de son pouvoir pour exhiber devant la caméra des délinquants, des simplets et des assassins.
J'admire cette femme! Ce documentaire est méga drole mais à la fois tragique. A voir de toute urgence
On aimerait imaginer que tous les juges d'instruction sont comme elle, pertinents ,directs et compétents...Je lis quelques critiques ou des personnes se disent dérangés.....Dérangés par quoi???peut on imaginer qui elle reçoit dans son bureau??Ce qu'elle a vu....entendu ....tous les jours? des criminels, malfrats petits ou grands ...Elle sait maitriser ses émotions face à certains et c'est tout à son honneur....Le film nous embarque auprès d'elle et avec elle dans certaines situations qui font bien rire! Heureusement qu'on rigole quand le mec dit qu'il a adopte un chien pour remplacer sa femme......Et aussi parce que souvent elle a le mot juste face à des personnages qui eux ont triché!!!!...Bref Je recommande vivement ce documentaire qui tourné comme une fiction n'en est pas une .....
Enfin un long métrage Strip tease ! Comme toujours avec cette émission, on sourit, on rit, on frisonne, on est indigné, choqué par ce que l'on entend et voit en suivant cette juge. Anne Gruwez est un vrai personnage haut en couleur et son quotidien méritait un film ! Une pépite !
Cinéphiles 44
La phrase d’accroche de l’affiche n’a jamais été aussi vraie : Ce n’est pas du cinéma, c’est pire ! Oui ce documentaire va vous choquer, vous faire rire, parfois même vous angoisser. Pendant trois ans, les réalisateurs ont suivi Anne Gruwez, une juge belge. Si les accents et expressions des citoyens de ce pays ont de quoi nous faire sourire, c’est surtout ses enquêtes criminelles, ses auditions ou ses présences sur les scènes de crime qui nous donnent le sentiment d’être au théâtre. Il est certain que les réalisateurs ont eu le temps de capter les moments forts de ces rencontres souvent sans tabou. Et face à cette femme qui ne mâche pas ses mots et qui n’hésite pas à aller chercher le plus profond des aveux, le titre Ni juge, ni soumise prend tout son sens. Premier long-métrage de l’émission culte Strip Tease, voici un spectacle hilarant mais malheureusement réaliste.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Très bon documentaire, parfaitement dans le style strip tease, avec une juge effectivement pas très politiquement correcte, des accusés effectivement pas très blancs, des avocats inexistants, des photos chocs, des cadavres déterrés, et malgré tout des rires, des rires sur toute cette misère humaine, effectivement.
Bien sur avec trois ans de rushs les réalisateurs auraient peut être pu montrer un film totalement différent, mais ils ont choisi celui là et on ne saura pas pourquoi puisqu'il n'y a aucun commentaire. Est ce le strict résumé de ce qu'ils ont vécu pendant ces trois ans, ou ont-ils voulu orienter leur propos ?
Ou alors est ce qu'ils laissent tout loisir au public de choisir son camp, comme on peut voir dans les commentaires entre ceux qui sont offusqués et ceux qui ne remarquent rien.
Mais effectivement on ri, et on sort avec un malaise. Le pur style strip tease.
Bien sur avec trois ans de rushs les réalisateurs auraient peut être pu montrer un film totalement différent, mais ils ont choisi celui là et on ne saura pas pourquoi puisqu'il n'y a aucun commentaire. Est ce le strict résumé de ce qu'ils ont vécu pendant ces trois ans, ou ont-ils voulu orienter leur propos ?
Ou alors est ce qu'ils laissent tout loisir au public de choisir son camp, comme on peut voir dans les commentaires entre ceux qui sont offusqués et ceux qui ne remarquent rien.
Mais effectivement on ri, et on sort avec un malaise. Le pur style strip tease.
Surréalisme...ce film n'aurait sûrement pu être réalisé que dans un nombre très restreint de pays de par le monde ! Ainsi, le spectateur est à la fois voyeur, observateur et même réalisateur , le scénario étant laissé à son imagination...
On est plongé sans ménagement dans la réalité de tous les jours d'une juge et de ses enquêteurs et, si l'on rit, c'est d'un rire nerveux.
La juge-vedette n'a pas non-plus été épargnée par la vie, ce qui ne l'empêche pas de l'envisager finalement avec philosophie. Sa "garde-robe" quasi infinie de boucles d'oreille semble apporter une petite touche de dérision parfois bien nécessaire, sans parler de son ombrelle rose qui l'abrite pendant une exhumation ou encore de son rat domestique. Quand elle est en voiture, elle semble aussi goûter au doux plaisir de la transgression des règles en ne bouclant jamais sa ceinture et en utilisant le gyrophare bleu à tout propos.
Les "clients" de la justice inspirent le plus souvent la compassion, si ce n'est l' effarement dans la séquence finale!
Je suis fier d'être citoyen du pays du surréalisme, en dépit du capharnaum qui règne dans les archives du palais de justice. C'est cela aussi le surréalisme à la belge !
On est plongé sans ménagement dans la réalité de tous les jours d'une juge et de ses enquêteurs et, si l'on rit, c'est d'un rire nerveux.
La juge-vedette n'a pas non-plus été épargnée par la vie, ce qui ne l'empêche pas de l'envisager finalement avec philosophie. Sa "garde-robe" quasi infinie de boucles d'oreille semble apporter une petite touche de dérision parfois bien nécessaire, sans parler de son ombrelle rose qui l'abrite pendant une exhumation ou encore de son rat domestique. Quand elle est en voiture, elle semble aussi goûter au doux plaisir de la transgression des règles en ne bouclant jamais sa ceinture et en utilisant le gyrophare bleu à tout propos.
Les "clients" de la justice inspirent le plus souvent la compassion, si ce n'est l' effarement dans la séquence finale!
Je suis fier d'être citoyen du pays du surréalisme, en dépit du capharnaum qui règne dans les archives du palais de justice. C'est cela aussi le surréalisme à la belge !
bravo !
magnifique film
je navais pas envie que ca finisse
madame Anne Gruwez vous êtes formidable
et j'adore votre deudeuche 😊🚗
magnifique film
je navais pas envie que ca finisse
madame Anne Gruwez vous êtes formidable
et j'adore votre deudeuche 😊🚗
C’est un film pitoyable qui marque encore une fois toute l’ambiguïté et la dangerosité de la « méthode » Striptease, qui voudrait nous faire croire que ce film nous délivre une parole brute, celle du « réel » brut, surtout pas mise en scène, etc... Alors que les réalisateurs ont filmé cette juge pendant trois ans, ont accumulé des heures et des heures de rushes... Et que tous les extrais ont été choisi choisis, montés, assumés parmi des dizaines d’autres... Aucune soi-disant objectivité là-dedans, mais une subjectivité assumée et bien problématique.
Quelle éthique dans ce film, quel rapport filmants-filmés dans le « contrat moral » qui n’a malheureusement pas été passé avec ceux qu’on filme comme des animaux de foire ? Quelle facilité de provoquer ainsi le rire des spectateurs devant cette détresse humaine, devant ces personnes pris au piège de la caméra. Tout ça vire à l’indécence quand cette misère et ce dénuement deviennent, aux dépens de ceux qui en sont les premières victimes, la matière d’un spectacle comique. Tellement facile de se payer la tête de ces pauvres bougres dont on se demande comment et pourquoi ils ont acceptés d’être filmés. Filmer la misère ne donne pas tous les droits et surtout pas celui d’instrumentaliser des personnes clairement en situation de non maîtrise de leur image. C’est une faille éthique de premier ordre.
A quoi sert ce film, à part mettre en scène le show et les bons mots de cette juge qui finissent par tourner très vite à vide ? Impression de grand malaise et d’énervement devant ses scènes de profanation gratuites, mais aussi et surtout devant ces accusés – tous sauf exception d’origine magrébine ou turque. Que veut-on nous dire, nous montrer ainsi, sans savoir l’air de ne pas y toucher ? La deuxième faille est ainsi de pointe ad nauseum la figure de l’étranger comme LA figure majeure du délinquant belge, sans aucune analyse sociétale ou contextuelle... Quel intérêt d’exhumer ici une parole complètement sortie de son contexte (social, sociétal, etc) ? Le Front national ne s’y prendrait pas mieux... Au secours !
Quelle éthique dans ce film, quel rapport filmants-filmés dans le « contrat moral » qui n’a malheureusement pas été passé avec ceux qu’on filme comme des animaux de foire ? Quelle facilité de provoquer ainsi le rire des spectateurs devant cette détresse humaine, devant ces personnes pris au piège de la caméra. Tout ça vire à l’indécence quand cette misère et ce dénuement deviennent, aux dépens de ceux qui en sont les premières victimes, la matière d’un spectacle comique. Tellement facile de se payer la tête de ces pauvres bougres dont on se demande comment et pourquoi ils ont acceptés d’être filmés. Filmer la misère ne donne pas tous les droits et surtout pas celui d’instrumentaliser des personnes clairement en situation de non maîtrise de leur image. C’est une faille éthique de premier ordre.
A quoi sert ce film, à part mettre en scène le show et les bons mots de cette juge qui finissent par tourner très vite à vide ? Impression de grand malaise et d’énervement devant ses scènes de profanation gratuites, mais aussi et surtout devant ces accusés – tous sauf exception d’origine magrébine ou turque. Que veut-on nous dire, nous montrer ainsi, sans savoir l’air de ne pas y toucher ? La deuxième faille est ainsi de pointe ad nauseum la figure de l’étranger comme LA figure majeure du délinquant belge, sans aucune analyse sociétale ou contextuelle... Quel intérêt d’exhumer ici une parole complètement sortie de son contexte (social, sociétal, etc) ? Le Front national ne s’y prendrait pas mieux... Au secours !
Un documentaire fait par une équipe de techniciens talentueux et expérimentés sur un personnage haut en couleurs qui travaille dans une institution qui voit passer dans son sein toute la misère du monde donne un film de qualité.
À voir absolument...
domi...
À voir absolument...
domi...
La sincérité de la juge ne fait aucun doute, elle nous charme par son approche humaniste teintée de bon sens, sa 2CV et son ironie bienveillante. Le film prend cependant le spectateur en otage en le captivant dans une espèce de chorégraphie courue d’avance, colorée de scènes où les familles « Groseille », les agresseurs de vieux et les mères infanticides nous font sourire et parfois rire jaune. Le sujet aurait mérité une approche plus introspective sur ses interrogations et ses hésitations et du coup, beaucoup moins drôle.
La transcription de la série Capitaine Marleau à une juge d’instruction belge. Cela pourrait prêter à sourire si ce n’était pas la réalité...
J'aime beaucoup Strip tease mais je dois dire que j'ai été déçu par le film.
On ne s'ennuie pas, ça se laisse voir, j'ai même rit parfois même si la plupart du temps j'étais gêné pour les personnes qui riaient devant des situations aussi tristes.
J'ai trouvé la juge énervante et condescendante envers les personnes déférées. Si il y a une chose que je ne supporte pas c'est le sentiment de supériorité des classes supérieures et surtout qu'elles le fassent ressentir aux personnes issues de milieux modestes.
spoiler: J'ai été choqué que l'on nous montre le cadavre de la personne exhumée (celui ci n'avait pas donné les droits aux auteurs pour utiliser son image...). [spoiler]Je me suis senti vraiment mal à l'aise lors de la déposition de la dame en délire psychiatrique, étant donné qu'elle n'était pas dans son état normal, comment pouvait elle décider d'accepter ou non d'être filmée.
Cette situation était tellement dramatique (je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler) que j'ai trouvé que ça avait un coté voyeur et vraiment très triste. En plus c'est à la fin du documentaire, en sortant je me suis senti mal à l'aise.
On ne s'ennuie pas, ça se laisse voir, j'ai même rit parfois même si la plupart du temps j'étais gêné pour les personnes qui riaient devant des situations aussi tristes.
J'ai trouvé la juge énervante et condescendante envers les personnes déférées. Si il y a une chose que je ne supporte pas c'est le sentiment de supériorité des classes supérieures et surtout qu'elles le fassent ressentir aux personnes issues de milieux modestes.
spoiler: J'ai été choqué que l'on nous montre le cadavre de la personne exhumée (celui ci n'avait pas donné les droits aux auteurs pour utiliser son image...). [spoiler]Je me suis senti vraiment mal à l'aise lors de la déposition de la dame en délire psychiatrique, étant donné qu'elle n'était pas dans son état normal, comment pouvait elle décider d'accepter ou non d'être filmée.
Cette situation était tellement dramatique (je n'en dirai pas plus pour ne pas spoiler) que j'ai trouvé que ça avait un coté voyeur et vraiment très triste. En plus c'est à la fin du documentaire, en sortant je me suis senti mal à l'aise.
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