Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un documentaire choc sur l’état du crime et de la justice.
L'Express
par Antoine Le Fur
(...) un film follement original et émouvant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Folie douce à tous les étages dans ce film rentre-dedans où la figure extravertie de la magistrate s’avère être de la trempe de certains comédiens belges comme Benoît Poelvoorde ou Yolande Moreau. Rien ni personne ne sort indemne de ce jeu de massacre documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ni juge, ni soumise fait défiler un échantillon d’humanité qui échoue dans le bureau de cette juge, elle-même hors norme. Toutes les occasions où elle apparaît sont cocasses, nature et, par moments, inquiétantes sur l’administration de la justice belge.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Nathalie Simon
Au fil des séquences - l'exhumation d'un cadavre est l'une des plus surréalistes -, on rit beaucoup et pourtant les dossiers de la juge sont terribles (vols à l'arraché, viols, meurtres…). Les images de Ni juge ni soumise montrent que la réalité est souvent beaucoup plus forte que la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Gaël Golhen
Dès le début, on sait où on met les pieds : Ni Juge ni soumise est un épisode de Striptease étendu sur la durée d’un film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
A chaque instant, le sordide côtoie la misère humaine la plus noire… « C’est souvent dans l’histoire d’un crime qu’on peut voir à la loupe la société dans laquelle on patauge », tel est le credo des réalisateurs de cette variante belge et surréaliste du Délits flagrants de Raymond Depardon.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Quand une justice décomplexée déshabille sans tabou nos sociétés, on s’enivre d’un vent de liberté que l’on croyait à jamais disparu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La majorité des prévenus sont d’origine maghrébine ; c’est malheureux. Comédie du réel ou fausseté de la représentation ? Drôlerie ou indécence ? La méthode "Strip-tease" n’a rien perdu de son ambiguïté. Entre la sidération et la gêne, notre cœur de spectateur balance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Pendant trois ans, les réalisateurs de Strip-Tease, l’émission culte de la télé belge, ont suivi cette femme au caractère affirmé au cours de ses enquêtes, auditions, visites de scènes de crime, ou relâchant la pression au volant de sa 2CV bleue. Son franc-parler réjouissant permet une bonne dose d’humour très noir.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film est (...) un peu trash en raison de ses excès et de sa propension à envisager la justice sous son angle le plus trivial (...) C’est indéniablement drôle et vivant mais quelle est la place du réel dans tout cela ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Corentin Destefanis
(...) l'exercice documentaire "Strip-Tease" atteint ici ses limites. La faute à une protagoniste et à une mise en scène du réel outrancières, comme en recherche constante d'un sensationnel inopportun.
Transfuge
par Léocadie Handke
Le plus intéressant sont les auditions quotidiennes avec différents accusés, scènes d’une gravité surprenante parfois et qui ancrent le film dans le réel.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Adoptant les mêmes principes que ceux qui présidaient pour le petit écran (pas de voix off, pas de commentaire, pas d’interview), les réalisateurs nous plongent dans son quotidien, entre son bureau, où elle se confronte aux prévenus, et son domicile, où elle cultive son jardin en compagnie d’un rat domestique.
Libération
par Didier Péron
Le goût de la provocation des réalisateurs et de leur personnage nous conduit à plusieurs profanations [...]. Cela témoigne en réalité du seul désir un peu anar, un peu charogne de ne se tenir borduré par aucun tabou, aucune limite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
On nous fait gentiment croire qu'on est au clown alors qu'en fait, il n'y a pas de quoi rire.
CNews
Un documentaire choc sur l’état du crime et de la justice.
L'Express
(...) un film follement original et émouvant.
L'Humanité
Folie douce à tous les étages dans ce film rentre-dedans où la figure extravertie de la magistrate s’avère être de la trempe de certains comédiens belges comme Benoît Poelvoorde ou Yolande Moreau. Rien ni personne ne sort indemne de ce jeu de massacre documentaire.
La Croix
Ni juge, ni soumise fait défiler un échantillon d’humanité qui échoue dans le bureau de cette juge, elle-même hors norme. Toutes les occasions où elle apparaît sont cocasses, nature et, par moments, inquiétantes sur l’administration de la justice belge.
Le Figaro
Au fil des séquences - l'exhumation d'un cadavre est l'une des plus surréalistes -, on rit beaucoup et pourtant les dossiers de la juge sont terribles (vols à l'arraché, viols, meurtres…). Les images de Ni juge ni soumise montrent que la réalité est souvent beaucoup plus forte que la fiction.
Première
Dès le début, on sait où on met les pieds : Ni Juge ni soumise est un épisode de Striptease étendu sur la durée d’un film.
Télérama
A chaque instant, le sordide côtoie la misère humaine la plus noire… « C’est souvent dans l’histoire d’un crime qu’on peut voir à la loupe la société dans laquelle on patauge », tel est le credo des réalisateurs de cette variante belge et surréaliste du Délits flagrants de Raymond Depardon.
aVoir-aLire.com
Quand une justice décomplexée déshabille sans tabou nos sociétés, on s’enivre d’un vent de liberté que l’on croyait à jamais disparu.
L'Obs
La majorité des prévenus sont d’origine maghrébine ; c’est malheureux. Comédie du réel ou fausseté de la représentation ? Drôlerie ou indécence ? La méthode "Strip-tease" n’a rien perdu de son ambiguïté. Entre la sidération et la gêne, notre cœur de spectateur balance.
Le Journal du Dimanche
Pendant trois ans, les réalisateurs de Strip-Tease, l’émission culte de la télé belge, ont suivi cette femme au caractère affirmé au cours de ses enquêtes, auditions, visites de scènes de crime, ou relâchant la pression au volant de sa 2CV bleue. Son franc-parler réjouissant permet une bonne dose d’humour très noir.
Les Inrockuptibles
Le film est (...) un peu trash en raison de ses excès et de sa propension à envisager la justice sous son angle le plus trivial (...) C’est indéniablement drôle et vivant mais quelle est la place du réel dans tout cela ?
Studio Ciné Live
(...) l'exercice documentaire "Strip-Tease" atteint ici ses limites. La faute à une protagoniste et à une mise en scène du réel outrancières, comme en recherche constante d'un sensationnel inopportun.
Transfuge
Le plus intéressant sont les auditions quotidiennes avec différents accusés, scènes d’une gravité surprenante parfois et qui ancrent le film dans le réel.
Le Monde
Adoptant les mêmes principes que ceux qui présidaient pour le petit écran (pas de voix off, pas de commentaire, pas d’interview), les réalisateurs nous plongent dans son quotidien, entre son bureau, où elle se confronte aux prévenus, et son domicile, où elle cultive son jardin en compagnie d’un rat domestique.
Libération
Le goût de la provocation des réalisateurs et de leur personnage nous conduit à plusieurs profanations [...]. Cela témoigne en réalité du seul désir un peu anar, un peu charogne de ne se tenir borduré par aucun tabou, aucune limite.
Positif
On nous fait gentiment croire qu'on est au clown alors qu'en fait, il n'y a pas de quoi rire.