Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Très beau film sur le monde du travail; sur les monstres qu'il crée dès lors qu'il est dédié au seul profit, à la froideur du chiffre. Il se regarde comme un thriller.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique plus terrifiante que bien des films d’horreur débouche sur un message d’espoir en laissant entendre qu’on peut quand même changer dans le bon sens.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
L'atmosphère de pression est savamment montrée, les regards en coin, les mises au placard, l'hypocrisie des uns et des autres pour sauver leur poste... Tout est là.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Abordant un sujet grave de la société actuelle, Nicolas Silhol le traite avec acuité et la dramaturgie nécessaire pour le partager, sans jamais relâcher l’intérêt du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Emile Breton
La « désintégration » programmée d’un être humain, et toujours sans qu’un mot d’ordre « d’en haut » ne soit donné, est le sujet même du film. Là est sa force, là peut-être aussi sa limite, car tout se passe sur le plan de la psychologie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce premier long métrage pointe avec force les stratégies froides et délétères qui dévoient la gestion des ressources humaines sans considération pour l’être humain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une vision sans concession des nouvelles techniques de management, fondées sur le harcèlement, plus convaincante dans la froideur cynique de la fiction que dans le côté un peu démonstratif du film à thèse.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Nicolas Silhol aborde le harcèlement en entreprise sans concession. Un thriller magistral.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Un thriller efficace sur le harcèlement en entreprise. Nicolas Silhol se penche sur la justice sociale sans se poser en juge. Il offre à Céline Sallette un rôle inédit. L’actrice, que l’on verra dans le prochain Téchiné, est prodigieuse en chef des ressources humaines impitoyable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Céline Sallette remplissait toutes les conditions pour enfiler le strict tailleur de la fonction. Son regard électrique, sa sauvage puissance de jeu crèvent l'écran. Mais ce serait une faute professionnelle de ne pas faire l'éloge d'une inconnue, Violaine Fumeau, dans le rôle de l'inspectrice du travail.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par David Nathanson
Un polar social bien écrit et bien joué, et qui ne confond pas éthique et morale. Un premier long métrage très réussi.
Ouest France
par Laurent Beauvallet
Au rythme d'un thriller, Nicolas Silhol filme les relations glaçantes au sein d'une entreprise. Le casting est juste parfait.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une responsable des Ressources humaines fait corps avec son entreprise. Trop ? Bien vu, bien fait, bien joué.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
(...) "Corporate" est un film important. Marquant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Nicolas Silhol montre avec brio les manoeuvres perverses des grands patrons pour pousser leurs employés à la démission.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La description sans concession d’une vie en entreprise hautement déshumanisée. Un beau coup de tonnerre sociétal !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une plongée glaçante dans le monde déshumanisé de l'entreprise, où seul compte le résultat. Céline Sallette est parfaite dans ce thriller juridique et social.
L'Express
par Eric Libiot
Le réalisateur Nicolas Silhol livre une bonne copie qui reste quand même en deçà du romanesque que l'intrigue pouvait susciter.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La mise en scène atteste de l’attention portée aux cadrages et aux compositions lumineuses. Un montage plus serré et quelques coups de serpe dans la musique en boucle n’eussent sans doute pas nui au climat de tension induit par les partis pris esthétiques. Céline Sallette trouve ici l’occasion de tester son potentiel d’intériorité.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Nicolas Silhol s’empare d’un sujet d’actualité, le harcèlement moral en entreprise, et dénonce son mécanisme impitoyable dans un thriller réaliste à la narration classique, mais à la mise en scène aussi glaçante que ses personnages.
Paris Match
par Yannick Vely
Pour son premier long-métrage, Nicolas Silhol n'invente pas une forme radicale (...). Il s'est beaucoup documenté pour ne pas sombrer dans la caricature et cela se ressent dans l'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Impossible de sortir indemne de ce film, tant Silhol parvient à créer une atmosphère étouffante renforcée par la composition saisissante de Céline Sallette en dame de fer aux pieds d'argile. Mais contraint à des raccourcis pour faire tenir en 1h35 une situation d'une telle complexité, son scénario convainc moins.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dans la veine sociale de "La Loi du marché", ce drame radiographie parfaitement cette réalité.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film fait froid dans le dos. Mais il lui manque une vigueur dans le propos, une précision dans la mise en scène, et un envoi qui porte plus loin qu’un dénouement cousu dans le fil blanc du col roulé d’un cadre supérieur.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Céline Sallette se dépatouille comme elle peut avec un personnage mal dessiné, Lambert Wilson porte le col roulé et les fines lunettes du boss sans scrupules, et on y croit de moins en moins. Ce suspense sur le monde du travail aurait mérité davantage de boulot.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La difficulté que rencontre Céline Sallette à tracer la trajectoire de ce cadre supérieur chargé de dégraisser un service sans licencier qui que ce soit, tient aussi à la faiblesse du scénario de Corporate, le premier long-métrage de Nicolas Silhol.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
C’est tendu, assez bien mené (…). Et pourtant le film reste assez théorique. Aucune idée de la fonction de cette boîte, pas plus que du travail effectif des employés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
La mise en scène est d’une paresse presque insultante pour le spectateur : champs-contre-champs à la truelle, cadrages rafistolés au zoom, lumière trop jaune ou trop bleue selon l’ambiance. Beau et subtil comme le 127e épisode de Julie Lescaut.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Charlie Hebdo
Très beau film sur le monde du travail; sur les monstres qu'il crée dès lors qu'il est dédié au seul profit, à la froideur du chiffre. Il se regarde comme un thriller.
20 Minutes
Cette chronique plus terrifiante que bien des films d’horreur débouche sur un message d’espoir en laissant entendre qu’on peut quand même changer dans le bon sens.
Elle
L'atmosphère de pression est savamment montrée, les regards en coin, les mises au placard, l'hypocrisie des uns et des autres pour sauver leur poste... Tout est là.
Franceinfo Culture
Abordant un sujet grave de la société actuelle, Nicolas Silhol le traite avec acuité et la dramaturgie nécessaire pour le partager, sans jamais relâcher l’intérêt du spectateur.
L'Humanité
La « désintégration » programmée d’un être humain, et toujours sans qu’un mot d’ordre « d’en haut » ne soit donné, est le sujet même du film. Là est sa force, là peut-être aussi sa limite, car tout se passe sur le plan de la psychologie.
La Croix
Ce premier long métrage pointe avec force les stratégies froides et délétères qui dévoient la gestion des ressources humaines sans considération pour l’être humain.
Le Dauphiné Libéré
Une vision sans concession des nouvelles techniques de management, fondées sur le harcèlement, plus convaincante dans la froideur cynique de la fiction que dans le côté un peu démonstratif du film à thèse.
Le Figaro
Nicolas Silhol aborde le harcèlement en entreprise sans concession. Un thriller magistral.
Le Figaroscope
Un thriller efficace sur le harcèlement en entreprise. Nicolas Silhol se penche sur la justice sociale sans se poser en juge. Il offre à Céline Sallette un rôle inédit. L’actrice, que l’on verra dans le prochain Téchiné, est prodigieuse en chef des ressources humaines impitoyable.
Le Parisien
Céline Sallette remplissait toutes les conditions pour enfiler le strict tailleur de la fonction. Son regard électrique, sa sauvage puissance de jeu crèvent l'écran. Mais ce serait une faute professionnelle de ne pas faire l'éloge d'une inconnue, Violaine Fumeau, dans le rôle de l'inspectrice du travail.
Les Fiches du Cinéma
Un polar social bien écrit et bien joué, et qui ne confond pas éthique et morale. Un premier long métrage très réussi.
Ouest France
Au rythme d'un thriller, Nicolas Silhol filme les relations glaçantes au sein d'une entreprise. Le casting est juste parfait.
Sud Ouest
Une responsable des Ressources humaines fait corps avec son entreprise. Trop ? Bien vu, bien fait, bien joué.
Télérama
(...) "Corporate" est un film important. Marquant.
Voici
Nicolas Silhol montre avec brio les manoeuvres perverses des grands patrons pour pousser leurs employés à la démission.
aVoir-aLire.com
La description sans concession d’une vie en entreprise hautement déshumanisée. Un beau coup de tonnerre sociétal !
Femme Actuelle
Une plongée glaçante dans le monde déshumanisé de l'entreprise, où seul compte le résultat. Céline Sallette est parfaite dans ce thriller juridique et social.
L'Express
Le réalisateur Nicolas Silhol livre une bonne copie qui reste quand même en deçà du romanesque que l'intrigue pouvait susciter.
La Voix du Nord
La mise en scène atteste de l’attention portée aux cadrages et aux compositions lumineuses. Un montage plus serré et quelques coups de serpe dans la musique en boucle n’eussent sans doute pas nui au climat de tension induit par les partis pris esthétiques. Céline Sallette trouve ici l’occasion de tester son potentiel d’intériorité.
Le Journal du Dimanche
Nicolas Silhol s’empare d’un sujet d’actualité, le harcèlement moral en entreprise, et dénonce son mécanisme impitoyable dans un thriller réaliste à la narration classique, mais à la mise en scène aussi glaçante que ses personnages.
Paris Match
Pour son premier long-métrage, Nicolas Silhol n'invente pas une forme radicale (...). Il s'est beaucoup documenté pour ne pas sombrer dans la caricature et cela se ressent dans l'écriture.
Studio Ciné Live
Impossible de sortir indemne de ce film, tant Silhol parvient à créer une atmosphère étouffante renforcée par la composition saisissante de Céline Sallette en dame de fer aux pieds d'argile. Mais contraint à des raccourcis pour faire tenir en 1h35 une situation d'une telle complexité, son scénario convainc moins.
Télé 7 Jours
Dans la veine sociale de "La Loi du marché", ce drame radiographie parfaitement cette réalité.
Cahiers du Cinéma
Le film fait froid dans le dos. Mais il lui manque une vigueur dans le propos, une précision dans la mise en scène, et un envoi qui porte plus loin qu’un dénouement cousu dans le fil blanc du col roulé d’un cadre supérieur.
L'Obs
Céline Sallette se dépatouille comme elle peut avec un personnage mal dessiné, Lambert Wilson porte le col roulé et les fines lunettes du boss sans scrupules, et on y croit de moins en moins. Ce suspense sur le monde du travail aurait mérité davantage de boulot.
Le Monde
La difficulté que rencontre Céline Sallette à tracer la trajectoire de ce cadre supérieur chargé de dégraisser un service sans licencier qui que ce soit, tient aussi à la faiblesse du scénario de Corporate, le premier long-métrage de Nicolas Silhol.
Les Inrockuptibles
C’est tendu, assez bien mené (…). Et pourtant le film reste assez théorique. Aucune idée de la fonction de cette boîte, pas plus que du travail effectif des employés.
Libération
La mise en scène est d’une paresse presque insultante pour le spectateur : champs-contre-champs à la truelle, cadrages rafistolés au zoom, lumière trop jaune ou trop bleue selon l’ambiance. Beau et subtil comme le 127e épisode de Julie Lescaut.