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Jusqu'où un couple peut tenir. Permission, nous dévoile deux couples opposés, un Gay, et l'autre hétéro. Et D'un constat, de la part du couple Gay, tout du moins, de l'un des deux. Sur une idée, que tant que l’on n’a pas couché avec d'autres personnes, on ne peut réellement savoir si une histoire durera, si l'on sera vraiment heureux. Ou si tout simplement, on ne s'enferme pas dans une routine de vieux couple. Avec les mêmes habitudes chaque jours. Alors, suite à ça, le couple hétéro décide communément d'essayer de rencontrer d'autres personnes et d'essayer, de voir, s'ils peuvent découvrir d'autres plaisir, différents. Et voir si cela renforcera ou non leur couple, déjà très uni. Le concept, est pour moi, une bonne idée. Ce film soulève la question de la fidélité, et surtout savoir si la personne dont on est amoureuse, si les sentiments, les raisons sont sincères, sont vrai. Le film est assez bien réalisé, même si j'ai trouvé la fin quelque peu brutale pour les deux couples.
spoiler:
Résultat, séparation d'un côté comme de l'autre. Pas pour les mêmes raisons. Cela montre, que dans un couple, il peut y avoir l'un des deux ou les deux qui avec le temps change. Leur envie, leurs projets, leurs sentiments. Ou pour toutes autres raisons. Et qu'au final, une relation, pour personne, ne pourra être éphémère. C'est un peu une question de probabilité. Car en fin de compte, même pour un couple heureux, il y a peut-être un des deux qui sera passé à côté d'une belle occasion. Qui sait ? L'interrogation qui est lancé, lance un sujet bien plus grand. Un débat philosophique en quelques sortes.
Je suis très, mais très surpris des critiques. La comédie dramatique Permission est loin, selon moi, des deux étoiles que les 36 % des téléspectateurs ont inscrites. Je m’interroge : ont-ils vu ce film en français, ce qui doit être un tout autre film (pas dans le bon sens du terme); ont-ils été blessés dans leurs valeurs? Certains se sont peut-être sentis agressés dans les valeurs de fidélité et de confiance dans un couple. Le film ne fait pas l’apologie de l’infidélité et du mensonge. Pas du tout. Il propose une réflexion sur le couple et la manière dont nous vivons dans le couple. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé le sujet et la manière dont il est traité. Comment gérer l’individualité dans un couple? L’individualité qui n’est pas contraire à la notion de couple. Au contraire, l’un ne va pas sans l’autre puisqu’un couple est composé de deux individus. Le challenge dans tout cela et comme le décrit très bien le film, est comment ne pas s’oublier dans un couple et pourquoi faire autant de compromis qui finiront très probablement par provoquer une frustration. Est-ce que la société ne glorifierait pas trop le vivre couple d’une façon plus qu’une autre ? Il y a clairement matière à rédiger une composition sur le long métrage Permission. Quoi qu’il en soit, je me suis laissé aller à la réflexion que propose le film et j’ai beaucoup apprécié. Il y a de l’humour, de l’amour, de la passion, de la frustration, du chagrin, de la séduction, de la tension, etc. Le jeu des acteurs est également très convaincant et il nous permet de s’identifier à l’un des personnages assez facilement (hétéro ou homo). Pour finir, je garderai en tête une phrase du film qui illustre très bien : « I don’t know who I am without you. That’s what you said, right? Don’t you want to know? À méditer.
Une réflexion intéressante sur le couple. Pour vivre ensemble il faut partager des valeurs et des projets... Vivre ensemble ce n'est pas jouer avec le feu.
Un questionnement autour du couple et le fait de renouveler la relation avec les dangers associés. Mais l'idée est mal amenée, les événements peu naturels et trop scénarisés. Et quelle facilité déconcertante à rencontrer si vite des personnes au physique avantageux! Non ce film de moeurs ne prend pas, peut même mettre mal à l'aise et n'a pas vraiment de conclusion!
Du déjà vu des centaines de fois, rien de nouveau dans le scénario. Mise en scène sobre et un peu plate selon moi. Un film banal et qui sera aussitôt oublié pour ma part.
Ce film est scandaleux. C'est un enchaînement de grand n'importe quoi. Les scénaristes n'ont absolument aucune idée, même pas une vague, de ce qu'est le libertinage. Car le sujet est bien là à la base. Mais dénoué de tout son sens.
Pourtant au début, je pensais enfin tomber sur un film qui allait traiter le sujet comme bon il se doit. Mais, minutes après minutes, c'est déception sur déception, pour un final juste à vomir. Ce n'est en aucun cas de l'expérimentation à un certain libertinage, mais ni plus ni moins que de la pur tromperie, de l'infidélité plus ou moins consentie. Bref, c'est n'importe quoi...
Que ce soit l'histoire du couple hétéro, ou le couple gay, ce ne sont que 4 personnes naïves au possible, manipulées par un scénariste sans imagination... Film tout simplement à éviter !
Pourtant au début, je pensais enfin tomber sur un film qui allait traiter le sujet comme bon il se doit. Mais, minutes après minutes, c'est déception sur déception, pour un final juste à vomir. Ce n'est en aucun cas de l'expérimentation à un certain libertinage, mais ni plus ni moins que de la pur tromperie, de l'infidélité plus ou moins consentie. Bref, c'est n'importe quoi...
Que ce soit l'histoire du couple hétéro, ou le couple gay, ce ne sont que 4 personnes naïves au possible, manipulées par un scénariste sans imagination... Film tout simplement à éviter !
« Permission », je n’en ferai pas tout un foin. Je suis partagé entre déception et indifférence. J’avoue m’être attendu à autre chose. Allez savoir. Oui, je pensais que « Permission » se résumait à expérimenter un autre partenaire pour apporter plus de fantaisie. Il apparaît que Will et Anna n’ont connu qu’eux-mêmes. Leur ami commun, Reece, s’interroge, voire ironise sur leurs ébats sexuels. A l’entame du film, on voit Will et Anna s'aimer à la papa-maman. Pire : habillés. Déjà ça part mal. Je suis comme Amira Casar qui ne croit pas aux scènes d’amour avec les draps relevés et les partenaires habillés. Nous sommes d’accord. Dernièrement « Faute d’amour », on y voit deux couples faire l’amour et c’est nettement plus crédible, plus réaliste et surtout bien filmé. Maintenant Brian Crano ne joue pas dans la même cour que Andrey Zvyagintsev. Fin de la parenthèse. Bref, cela semblait pépère pour Will et Anna. Quand celle-ci parvient à avoir sa première expérience avec Dane, je m’attendais à voir ses ébats avec son amant ou à défaut deviner quelques plans érotiques où Dana serait surprise de la façon dont Dane lui fait l’amour. Cela aurait été d’une part audacieux et d’autre part amusant si Anna ou (et) Will avaient mis en pratique leurs expériences respectives pour relever leur quotidien au lit. Rien. Le seul moment cocasse qu’on nous donne à becqueter vient de Will qui avoue à Anna aimer cracher dans la bouche ! Re bref, je me suis trompé sur toute la ligne, je me suis fait un autre film et comme je suis mauvais perdant, je reporte la faute à Brian Crano. Et même en acceptant le point de vue du réalisateur, respectable au demeurant, ça reste un film assez fade, extrêmement frileux et attendu ; oui la fin ne m’a pas surpris. La plupart des psy découragent ce genre d'initiative. Un récit à l’image des ébats de Will et d’Anna : très plan-plan.
Un film qui brosse un large panel de couples, les uns retrouvent leur fantasme amoureux, les autres souffrent...La finalité, si il y en a une, c'est de ne jamais croire que tout est durable, et qu'il ne faut pas s'installer dans le facile, car la vie nous rend vite la monnaie !
Eric C.
Un film sans rythme, manquant d'émotion et assez répétitif et finalement sans surprise. La seule originalité est dans le sujet et questionnement du film, peut on être sûr de son amour et en particulier sur le plan sexuel lorsque l'on en a connu qu'un seul. Un couple qui se connaît depuis quasiment l'enfance, avant de s'engager pour la vie va être amené à s'interroger sur ce fait. Ce qui leur apparaît un premier temps comme une absurdité presque une provocation, va finalement les interpeller et ils vont se donner mutuellement la permission d'essayer de contracter une liaison éphémère chacun de leur côté. C'est à peu près tout car le film est ensuite assez mou, sans surprise avec une fin finalement très logique et le fil du sujet est déroulé avec une certaine langueur que les comédiens pourtant de qualité, Rebecca Hall en tête, n'arrivent pas à sortir du sillon d'ennui dans lequel il est vite coincé. Pas palpitant, sans surprise et pas plus provocant que cela dans le sujet traité.
Le film est un peu culcul néanmoins l'intrigue est intéressante puisque c'est un sujet qui revient dans notre société actuelle "les couples libres". Cela me rappelle surtout ma propre relation avec mon premier chéri mais je n'ai malheureusement tiré aucune morale de ce film. Donc bonne idée de base mais mal exploitée, trop gnangnan qui néanmoins se laisse regarder. Donc ça passe.
Quel est l'intérêt d'un tel film ? S'autoriser mutuellement à avoir des relations avec d'autres partenaires pou avoir plus d'expériences et au final se retrouver non seulement avec une rupture des couples intermédiaires, mais également avec une rupture du couple initial. Au cours de l'histoire, pas mal de scènes sexuelles avec certaines tournant vite au ridicule
spoiler:
("C'est quoi ton fantasme ?" Il lui crache dans la bouche)
, un véritable manque de rythme, une intrigue vraiment peu accrocheuse et une morale inexistante. En résumé, une grande déception!
, un véritable manque de rythme, une intrigue vraiment peu accrocheuse et une morale inexistante. En résumé, une grande déception!
que dire à part que l 'eau ça mouille... mettre en jeu son couple est déjà pour moi le début de la fin , rien ne peut en sortir de sain d 'une telle expérience.
il y aura forcement un ressenti différent car des expérience différentes.
la mécanique sexuel de l 'homme et de la femme ne sont pas identique donc les conclusions ne seront pas comparable et les dégâts enfouis dans un premier temps,ressortiront inévitablement d'une manière ou d 'une autre avec un sentiment de gâchis évident.
bref si ce film peut servir de refroidisseur ça sera toujours ça de gagné .
l'amour est une fleur fragile l 'arroser avec du plomb n 'est pas forcement des plus subtile
il y aura forcement un ressenti différent car des expérience différentes.
la mécanique sexuel de l 'homme et de la femme ne sont pas identique donc les conclusions ne seront pas comparable et les dégâts enfouis dans un premier temps,ressortiront inévitablement d'une manière ou d 'une autre avec un sentiment de gâchis évident.
bref si ce film peut servir de refroidisseur ça sera toujours ça de gagné .
l'amour est une fleur fragile l 'arroser avec du plomb n 'est pas forcement des plus subtile
Lors d'une soirée deux amis gays remarque qu'ils n'ont jamais dormi ensemble. L'un des homosexuels les a réprimandés et a dit qu'ils devraient coucher avec d'autres personnes. Cela fait un peu plus d'une heure et demie mais cela ressemble plus a trois heures. Ce n'est pas romantique ou drôle et ce n'est ni déchirant ni tragique. Ne perdez pas votre temps. L'intrigue est tout simplement trop controversée mais était tellement stupide. Stevens accepte d'avoir des expériences sexuelles avec d'autres partenaires ce qui finit par les détruire. Mais le film n'a aucun sens et Permission est une perte de temps totale. Et en plus cela vous laisse avec une sensation dégoûtante dans votre bouche comme si l'amour n'existait pas réellement...
la trame de l'histoire aurait pu donner un bon film, le choix de la fin tient la route mais le film ne décolle jamais, aucun moment fort, juste convenable/passable-ment réalisé.
J'ai regardé le film « La permission » avec grand plaisir. C'est un film dynamique, intéressant sur plan de la découverte du pays. Il montre que l'Iran est un pays progressiste envers les femmes en comparaison de ses voisins. C'est l'histoire douloureuse d'une séparation de couple mise dans le décore oriental. C'est l'histoire de l'amitié pourrie par la jalousie entre les femmes. La coéquipière de l'héroïne, jalouse, dénonce le départ probable de son amie pour l'Espagne à son mari et à sa Fédération. Cela déclenche une lutte entre les époux. Le mari empêche par tous les moyens de partir à sa femme. Et celle-ci la utilise tous les moyens pour partir. Le droit des femmes, le droit du mari, c'est une décoration, une écume de cette lutte.
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