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    Fleuve noir
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    3,0
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    294 critiques spectateurs

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    JoMik
    JoMik

    51 abonnés 275 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 septembre 2018
    Tous les acteurs jouent juste, mais le film met particulièrement mal allaise.
    Film noir avec des scènes assez dures, voires crues et une histoire somme toute sordide.
    Le film n'est pas mauvais en soi, mais ne plaira pas à tous.
    Stéphane C
    Stéphane C

    60 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2018
    Vincent Cassel incarne le stéréotype du flic borderline, alcoolique et transpirant l'huile de vidange. Face à lui un inquietant professeur pas très net non plus. Un film assez moyen et plutôt confus...
    🎬🎬
    labellejardinière
    labellejardinière

    87 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2018
    "Fleuve noir" (par Erick Zonca) : ça passe, ou ça glace ! L'affaire (scénario) paraît souvent improbable, donc cela "passe" difficilement, au même rythme (et le trait est épais, avec des archétypes virant à la caricature - comme pour François Visconti, le flic usé et alcoolisé du rôle principal - alias Vincent Cassel), mais cela "glace" à tous les coups (personnages antipathiques ou fantoches, plongée dans le sordide, de plus en plus sordide....). Un polar d'épouvante, s'articulant sur la noirceur des âmes....
    Charles Berling (une "participation"), le plus mauvais (qui en fait des tonnes), pour une Sandrine Kiberlain exceptionnelle de justesse. Entre les deux, une pléiade d'acteurs, se rapprochant, au jeu, ou du premier, ou de la seconde.....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juillet 2018
    très grand Cassel, super thriller, le jeu d'acteurs est juste top, et l'histoire est top, foncez le voir !
    JEAN-PIERRE D.
    JEAN-PIERRE D.

    1 abonné 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2020
    Pas de doute ...c’est un polar français: le titre...fleuve noir,comme la célèbre collection de livres. Un flic alcolo ,sale,sapé avec des fringues trop grandes,pas rasé,que sa femme a quitté,un fils dealer.Une intrigue avec des personnages tous glauques,un viol,de la pedophilie,etc...Le tout mal découpé,des dialogues minimalistes ...À quand un film avec des flics propres sur eux,intelligents,dynamiques,ha cela n’existe pas,donc il faut l’inventer
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 343 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    C’est marrant les coïncidences quand même. Quelques jours avant d’aller voir ce « Fleuve noir », on ressortait avec un pote de « Le monde est à toi » de Romain Gavras et on se disait justement que : « Quand même ! Vincent Cassel – quelques soient ses rôles – il parvient toujours à dégager quelque-chose de magnétique… » Mais bon, seulement voilà, depuis j’ai vu ce fameux « Fleuve noir ». Et… Et… Et bah ça fait mal quoi… Oui, je vous le dis : j’aime mal à mon Vincent Cassel. Qu’il ait voulu tenter quelque-chose de neuf, à total contre-emploi de ce qu’il fait d’habitude, franchement c’est tout à son honneur. Mais là c’est juste un naufrage total. Et si au départ ce fut surtout le naufrage de Cassel himself qui m’a sauté aux yeux, il m’a fallut par contre davantage de temps pour prendre conscience qu’en fait c’est tout le film qui est un bateau qui prend l’eau de toute part… Parce que bon, l’affiche a beau annoncer glorieusement que « Fleuve noir » est « le polar choc de l’année », dans les faits, ça ressemble beaucoup plus à un roman de gare écrit avec tous les poncifs et les caricatures qui vont avec. Et si je trouve Cassel aussi balourd et surfait dans ce film, je pense que ça vient aussi du fait que tous les personnages y sont définis à la truelle. Parce qu’une fois que tu as compris que le personnage de Cassel, c’était celui de l’inspecteur aigri / alcoolo mais perspicace (chose qu’en gros on peut comprendre au bout d’une bonne minute), eh bah franchement tu as tout compris. Pour le personnage de Duris c’est pareil. Je n’ose même pas m’attarder sur le contenu de ses tirades tant elles sont affligeantes de médiocrité. Et franchement, je le plains le pauvre Romain, parce qu’il fait vraiment ce qu’il peut avec ce qu’on lui donne… D’ailleurs, de tous les acteurs, je pense que c’est le seul qui a vraiment compris qu’il jouait dans un pastiche de seconde zone. Alors il s’en amuse un peu. Il accentue le trait. Il assume presque le ridicule. Parce que oui, ce film est ridicule. Pire, je le trouve même douteux. Parce qu’on ose quand même nous montrer et nous expliquer des trucs dont, personnellement, j’ai eu du mal à comprendre l’intérêt et l’intention. spoiler: Je pense notamment au viol du personnage de Cassel sur celui de Kiberlain. OK, c’est réutilisé sur la fin mais… Enfin, un viol quoi… Mené par ton personnage principal… Ton héros… Dans une structure de polar tout ce qu’il y a de plus basique… Et non seulement je trouve la scène vraiment malsaine dans la manière d’être amenée et filmée, mais en plus je trouve qu’elle aurait pu être remplacé par tellement d’autres choses. D’ailleurs, j’aurais envie de dire la même chose de la résolution finale de ce film. Elle tombe comme un cheveu sur la soupe et ne semble être là que pour triturer des détails racoleurs pour le plaisir du malaise. Tout ce que ça a contribué à faire c’est de générer une espèce ambiguïté morale dont je ne comprends même pas la finalité.
    De toute manière, tout ça semble trahir l’absence totale d’inspiration d’Eric Zonja sur ce film. Les amoureux de cinéma se consterneront sûrement en voyant à quel point ce gars est embarrassé par son format d’image sur pratiquement tous les plans. En gros, les seules fois où ça prend du sens, c’est lors des passages dans les bois… Passages qui doivent représenter trois bonnes minutes du film, pas plus. Tout le reste, ça se passe en intérieur et c’est à chaque fois la fête à la tristesse pour remplir ce format Scope. (Je peux vous dire que j’en aurais vu du mobilier durant toutes ces phases de champ-contrechamp !) Franchement, tout le monde à l’air tellement blasé de faire ce film – totalement à côté de ses pompes – que ça sent l’œuvre de commande ; le plan sur lequel tout le monde cherche à se convaincre que ce n’est pas le pire des mauvais plans et qu’au moins, ça mettra du beurre sur les épinards. Bah en tout cas, pour moi pas de beurre et pas de vaseline non plus. Si chacun a du repartir de ce projet avec son petit chèque, moi je suis reparti avec un bon mal de crâne et un profond sentiment d’aigreur. Bah oui, Cassel et Gavras avec leur « Le monde est à toi » m’avaient pratiquement fait oublier que le cinéma français c’était aussi ça. Et bien grâce à « Fleuve noir », je viens de me rappeler que, malheureusement, le cinéma français aujourd’hui, c’est surtout ça… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    traversay1
    traversay1

    3 600 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2018
    1998-2018. Et toujours en été. Entre la sortie de La vie rêvée des anges, son premier film très apprécié, et celle de Fleuve noir, diversement accueilli, Erick Zonca n'a tourné que Le petit voleur (pour Arte) et Julia. C'est peu. Fleuve noir a mis beaucoup de temps à parvenir sur les écrans et sa date de sortie tendrait à démontrer que son distributeur ne savait pas trop comment le valoriser. A priori polar, autour de la disparition d'un adolescent, le film s'attache d'abord à créer une atmosphère, poisseuse et toxique, dominée par trois personnages. Le flic, cheveux gras et idées fixes, est la caricature volontaire du policier de littérature (ou de Columbo, si l'on préfère), aviné et solitaire mais tenace. Cassel surjoue beaucoup mais ne sombre jamais dans le grotesque. Le suspect (Duris, étonnant) et la mère (Kiberlain, en deçà de son niveau habituel) complètent ce trio mal assorti dans une ambiance sordide. En oubliant une intrigue parallèle sans intérêt (le flic en conflit avec son fils), Fleuve noir ne vaut le déplacement que pour la confrontation entre Cassel et Duris et un peu pour les visites du premier chez Kiberlain. Avouons-le, on se fiche du récit policier autant que Zonca, ce qui au passage permet de négliger un rebondissement final atroce. On tient là un vrai film malade, bourré d'imperfections, hirsute et cahoteux et, de ce fait même, beaucoup plus intéressant que nombre d'oeuvres bien peignées et consensuelles.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 189 abonnés 4 177 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 février 2019
    Erick Zonca, devenu réalisateur prodige quand il récolte en 1998 pour "La vie rêvée des anges" son premier film Césars et Prix d'interprétation à Cannes (pour ses deux actrices Elodie Bouchez et Natacha Régnier), donne rarement de ses nouvelles. Il l'a fait tout récemment pour son quatrième long métrage en vingt ans de carrière et l'on peut dire à regret qu'elles ne sont pas très rassurantes. Un peu à l'image du retour avorté en 2013 avec son superfétatoire "Möbius", d'Eric Rochant catalogué lui aussi comme réalisateur de génie en 1989 avec "Un monde sans pitié". Comme quoi une gloire acquise trop tôt dans le cinéma français peut conférer un statut d'icône difficile à défendre . Léo Carax en demeure sans aucun doute le plus bel exemple en la matière. Pourtant "Fleuve noir", polar crasseux au titre très, "trop ?" prometteur avait de quoi faire saliver tous ceux qui guettent la moindre tentative de résurrection du film policier, genre dans lequel les réalisateurs français excellaient des années 1950 au mitan des années 1980. En effet, le réalisateur à la réputation encore solide avait réussi à réunir sous sa bannière un casting de premier choix. A côté de Vincent Cassel remplaçant Gérard Depardieu ayant renoncé officiellement pour raison de santé après une semaine de tournage, Romain Duris, Elodie Bouchez, Sandrine Kiberlain et Charles Berling promettaient d'unir leur talent afin de servir cette adaptation osée du best seller ("Une disparition inquiétante") de l'écrivain israélien Dror Mishani. D'union, malheureusement il n'y a pas eu. Erick Zonca dont on se demande quelles étaient ses intentions lors de la rédaction du scénario en compagnie de Lou de Fanget Signolet a laissé chaque acteur jouer dans son couloir, ne parvenant jamais à créer la symbiose indispensable autour d'une intrigue assez classique dans son déroulement et qui ne semblait pas présenter de difficulté majeure quant à sa transposition à l'écran. Son dernier film pourtant très réussi "Julia" remontant à 2008, on peut émettre l'hypothèse que le manque de pratique du métier de réalisateur se soit révélé un handicap trop lourd face à des acteurs qui eux n'arrêtent pas d'enchaîner les tournages. Le résultat ne s'est pas fait attendre. Vincent Cassel et Romain Duris, les deux têtes d'affiche se sont "tiré la bourre" afin de voir lequel irait le plus loin dans la parodie de lui-même. Vincent Cassel très adepte des rôles à transformation physique déroutante ("Sa majesté minor" de Jean-Jacques Annaud en 2007, "Notre jour viendra" de Romain Gavras en 2010) peut rapidement être victime de crises de cabotinage suraigües quand son jeu n'est pas tenu par un scénario en béton. Il semble ici profiter de son arrivée très tardive sur le projet pour justifier une prestation en roue libre totale qui phagocyte tout l'écran à défaut d'être convaincante et de faire progresser l'intrigue. François Visconti (il fallait y penser) son flic à l'imperméable limé figure une sorte d'inspecteur Columbo version trash dont les petits travers délicieux incarnés par feu Peter Falk prennent ici une dimension grotesque faute d'appui sur une quelconque crédibilité. Crasseux comme ce n'est pas permis et affublé d'un sans-gêne dépassant l'entendement, il ajoute à la panoplie du fin limier à la 403 (la Peugeot millésimée de Columbo), une sexualité peu ragoutante qui s'affiche sans complexe, décuplée par un alcoolisme que sa hiérarchie laisse s'exprimer à loisir y compris au commissariat central. Pour compléter sa prestation décidément très inspirée par le fameux enquêteur de la police de L.A, Cassel ajoute une claudication au pauvre Visconti qui n'en demandait pas tant. La barque du grotesque est déjà bien lourde mais signe d'une production non maitrisée et sans âme, Erick Zonca a choisi de montrer une scène exposant généreusement les pectoraux et les abdominaux saillants de l'acteur, sans doute soucieux de ne pas ternir complètement son image de séducteur. Pour soutenir la comparaison, Romain Duris s'est de son côté fabriqué une binette d'intello binoclard et tête à claques qui agace très vite notamment parce que rien de ce que le scénario lui intime de faire n'est en phase avec l'enquête. Inutile de préciser qu'à côté de ces deux "rôles monstres", Sandrine Kiberlain, Elodie Bouchez et Charles Berling n'ont pas grand chose à défendre. . Quant à l'intrigue presque aussi glauque que ses personnages, elle passe bien sûr au second plan derrière ce mano a mano qui ne restera pas dans les mémoires et ce n'est pas le retournement final calamiteux qui la rendra plus captivante. Ce naufrage complet dévalorise sans aucun doute le livre de Dror Mishani qui pour avoir été un best seller doit être autrement mieux charpenté que le scénario dont Zonca est le responsable. Le réalisateur talentueux mérite sans aucun doute une autre chance. Après le fiasco commercial de "Fleuve noir" lui sera-t-elle offerte?
    Sylvain P
    Sylvain P

    339 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2018
    Malgré l'atmosphère soit-disant pesante sur le plateau de tournage, s'il est une qualité à Fleuve Noir, c'est celle de son interprétation : Sandrine Kiberlain, Elodie Bouchez, Vincent Cassel et Romain Duris pour les plus connus. L'intrigue, somme toute relativement banale, est rythmée et tendue, sans manquer de rebondissements. Un très bon polar noir.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    193 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2018
    Un film policier français très sombre et très bien mené. Des personnages, joués par des acteurs fabuleux, très particuliers et presque effrayants. Vincent Cassel offre une prestation pleine de colère à couper le souffle, Romain Duris campe tellement bien ce professeur torturé et à la limite de dérangé.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    109 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2018
    Des personnages hauts en couleur, un sens du mélodrame glauque ramené de son expérience hollywoodienne et un casting all star. Un polar parfois efficace mais inégal.
    mattdvl
    mattdvl

    28 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2018
    Cassel est mauvais. Et globalement la direction d'acteur même si Duris, Kiberlain et Bouchez s'en sortent efficacement. Reste que le scénario arrive a nous tenir pendant près de deux heures sans ennui ni longueur.
    philhag
    philhag

    28 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2018
    Un très bon polar. Pitch simple : un enfant disparait. La mère, Sandrine Kiberlain, égale à elle-même, va l'annoncer à la police. Le flic, Vincent Cassel genre vieux poivrot tabagique, mène l'enquête. Un voisin, Romain Duris, est suspecté. Un autre flic, Charles Berling, très propre sur lui, conteste la logique de l'enquête avec des arguments psy.
    Tous les ingrédients sont là pour cet excellent scénario. Bien joué, bonne bande son, intimiste.
    A voir.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    277 abonnés 2 882 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juin 2020
    Si Erick Zonca a de la bouteille (un peu comme son personnage principal, mais métaphoriquement), le polar ne semble pas être le domaine naturel de son cinéma. Le film joue beaucoup avec les poncifs du genre, accumulant les figures imposées sans vraiment faire preuve d'originalité si ce n'est par de brèves séquences. Le casting oscille entre des numéros de cabots et des acteurs (et surtout actrices d'ailleurs) transparents, dans une esthétique globale qui force trop sur la noirceur sans faire preuve d'habileté. Un peu dommage.
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    70 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Aucun interêt. Le seul moment du film qui m'a plu c'est la scène entre Elodie Bouchez et Cassel. Bouchez joue super bien alors qu'après je l'ai trouvée très mauvaise. Voilà, trés mauvais c'est l'impression générale que m'a fait ce film. Une histoire digne de ces séries policières de régions diffusées sur France 3 " Crime à Toulouse ou crime à Belfort.." Une brigade enquête sauf que là c'est à Paris. Cassel est répugnant de laideur et ça finit par prendre la tête. Duris est petit, aucune envergure et Kiberlain fait toujours la même tête. Un film inutile.
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