Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le côté félin de Vincent Cassel fait des merveilles pour donner vie à ce flic un brin alcoolique et totalement obsédé par son boulot. Face aux deux merveilleuses Sandrine Kiberlain et Elodie Bouchez, il dégage un fond de sensualité discret mais bien présent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Glauque et moite, l’ambiance de Fleuve Noir est celle des vieux polars de gare qu’on oublie vite, mais qu’on dévore intensément sur le moment.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un polar sombre porté par une belle distribution.
Franceinfo Culture
par La Rédaction
Romain Duris, Vincent Cassel et Sandrine Kiberlain s’affrontent dans une intrigue sombre et haletante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pour son retour, le réalisateur de La Vie rêvée des anges n’a pas craint la noirceur dans ce polar superbement interprété par Vincent Cassel, Romain Duris et Sandrine Kiberlain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
Vincent Cassel et Romain Duris sont remarquables - la prestation glaçante, exceptionnelle, de ce dernier valant à elle seule le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Eithne O'Neill
Dans le paysage actuel de thrillers psychologiques, compétents, lisses ou froids, tels "Elle", "Jusqu'à la garde", "Mon garçon" ou "Thelma", Zonca entreprend une exploration des passions. Son cinéma est imbu d'un sentiment compatissant pour l'être humain, fou ou non.
Première
par Christophe Narbonne
Zonca signe un film chaotique mais passionnant, dominé par la composition bigger than life de Vincent Cassel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
POUR : Face à Romain Duris, tout en fantasmes inassouvis, Vincent Cassel compose un Columbo suintant le mal-être, le manque d’amour. De grands acteurs pour un film sur le besoin maladif d’aimer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le réalisateur se propose de mettre en images un roman de gare, de réaliser un thriller policier populaire à l’ancienne, avec des acteurs adorés. Une intention des plus louables. D’autant qu’il soigne son esthétique. Sauf que Fleuve noir bute sur l’écriture (...).
Closer
par La Rédaction
Un polar où l'on regrette que le jeu ne soit pas à la hauteur du casting.
Le Figaro
par La Rédaction
Le résultat est bancal, excitant, faussement prévisible. La noirceur est là.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La noirceur est contrebalancée par un humour décalé, une galerie de seconds rôles soignés et la performance de Vincent Cassel, impressionnant en flic désabusé qui n’a pas perdu son flair. De quoi pardonner les maladresses du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Pierre Lunn
Un film passionnant mais désordonné.
Critikat.com
par Corentin Lê
La façon dont les figures monstrueuses de Zonca passent leur temps à se renvoyer leurs névroses enlise le film dans une lourdeur malsaine, où tout est bon pour enfoncer un clou déjà profondément ancré dans des plaies béantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Interprètes masculins en surjeu mais aguerris, scénario glauque, ce polar serait regardable sans ennui n’était le twist final, franchement problématique.
Voici
par Daniel Blois
Esthétiquement soigné, plutôt agréable à regarder, mais bancal.
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Erick Zonca adapte un polar israélien en empruntant son titre à la célèbre maison d’édition de San Antonio et de Harlan Coben. Emmenée par un casting de stars, cette tentative de film noir en reprend tous les clichés et donne le sentiment d’un immense gâchis.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Fleuve noir tient davantage du tiède flux audiovisuel que d’une plongée tumultueuse dans un flux de sombres passions.
L'Express
par Christophe Carrière
Les poncifs sont si appuyés que même les comédiens, dont le talent n'est plus à démontrer (Vincent Cassel, Romain Duris, Sandrine Kiberlain, Elodie Bouchez, Charles Berling !), ne sauvent rien. C'est à la fois embarrassant et intrigant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
Scènes répétitives, direction d'acteurs discutable (Cassel en néo-Jouvet), longueurs… Visiblement, le réalisateur maîtrise mal son histoire, dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Fleuve noir accumule les clichés du genre, et Vincent Cassel cabotine jusqu’au grotesque.
Les Inrockuptibles
par T. R.
La franche banalité de l'intrigue parachève le tableau de cette fiction du dimanche hautement dispensable.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un polar improbable, grandiloquent et grotesque.
Télérama
par Guillemette Odicino
CONTRE : Dès les premières séquences, la pauvre Sandrine Kiberlain semble implorer du regard une âme charitable qui voudra bien la délivrer d’un tel naufrage. On la comprend : rien ne fonctionne dans ce polar glauque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Le côté félin de Vincent Cassel fait des merveilles pour donner vie à ce flic un brin alcoolique et totalement obsédé par son boulot. Face aux deux merveilleuses Sandrine Kiberlain et Elodie Bouchez, il dégage un fond de sensualité discret mais bien présent.
Bande à part
Glauque et moite, l’ambiance de Fleuve Noir est celle des vieux polars de gare qu’on oublie vite, mais qu’on dévore intensément sur le moment.
Femme Actuelle
Un polar sombre porté par une belle distribution.
Franceinfo Culture
Romain Duris, Vincent Cassel et Sandrine Kiberlain s’affrontent dans une intrigue sombre et haletante.
La Croix
Pour son retour, le réalisateur de La Vie rêvée des anges n’a pas craint la noirceur dans ce polar superbement interprété par Vincent Cassel, Romain Duris et Sandrine Kiberlain.
Le Parisien
Vincent Cassel et Romain Duris sont remarquables - la prestation glaçante, exceptionnelle, de ce dernier valant à elle seule le détour.
Positif
Dans le paysage actuel de thrillers psychologiques, compétents, lisses ou froids, tels "Elle", "Jusqu'à la garde", "Mon garçon" ou "Thelma", Zonca entreprend une exploration des passions. Son cinéma est imbu d'un sentiment compatissant pour l'être humain, fou ou non.
Première
Zonca signe un film chaotique mais passionnant, dominé par la composition bigger than life de Vincent Cassel.
Télérama
POUR : Face à Romain Duris, tout en fantasmes inassouvis, Vincent Cassel compose un Columbo suintant le mal-être, le manque d’amour. De grands acteurs pour un film sur le besoin maladif d’aimer.
CinemaTeaser
Le réalisateur se propose de mettre en images un roman de gare, de réaliser un thriller policier populaire à l’ancienne, avec des acteurs adorés. Une intention des plus louables. D’autant qu’il soigne son esthétique. Sauf que Fleuve noir bute sur l’écriture (...).
Closer
Un polar où l'on regrette que le jeu ne soit pas à la hauteur du casting.
Le Figaro
Le résultat est bancal, excitant, faussement prévisible. La noirceur est là.
Le Journal du Dimanche
La noirceur est contrebalancée par un humour décalé, une galerie de seconds rôles soignés et la performance de Vincent Cassel, impressionnant en flic désabusé qui n’a pas perdu son flair. De quoi pardonner les maladresses du scénario.
Ouest France
Un film passionnant mais désordonné.
Critikat.com
La façon dont les figures monstrueuses de Zonca passent leur temps à se renvoyer leurs névroses enlise le film dans une lourdeur malsaine, où tout est bon pour enfoncer un clou déjà profondément ancré dans des plaies béantes.
Les Fiches du Cinéma
Interprètes masculins en surjeu mais aguerris, scénario glauque, ce polar serait regardable sans ennui n’était le twist final, franchement problématique.
Voici
Esthétiquement soigné, plutôt agréable à regarder, mais bancal.
aVoir-aLire.com
Erick Zonca adapte un polar israélien en empruntant son titre à la célèbre maison d’édition de San Antonio et de Harlan Coben. Emmenée par un casting de stars, cette tentative de film noir en reprend tous les clichés et donne le sentiment d’un immense gâchis.
Cahiers du Cinéma
Fleuve noir tient davantage du tiède flux audiovisuel que d’une plongée tumultueuse dans un flux de sombres passions.
L'Express
Les poncifs sont si appuyés que même les comédiens, dont le talent n'est plus à démontrer (Vincent Cassel, Romain Duris, Sandrine Kiberlain, Elodie Bouchez, Charles Berling !), ne sauvent rien. C'est à la fois embarrassant et intrigant.
L'Obs
Scènes répétitives, direction d'acteurs discutable (Cassel en néo-Jouvet), longueurs… Visiblement, le réalisateur maîtrise mal son histoire, dommage.
Le Monde
Fleuve noir accumule les clichés du genre, et Vincent Cassel cabotine jusqu’au grotesque.
Les Inrockuptibles
La franche banalité de l'intrigue parachève le tableau de cette fiction du dimanche hautement dispensable.
Marianne
Un polar improbable, grandiloquent et grotesque.
Télérama
CONTRE : Dès les premières séquences, la pauvre Sandrine Kiberlain semble implorer du regard une âme charitable qui voudra bien la délivrer d’un tel naufrage. On la comprend : rien ne fonctionne dans ce polar glauque.