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Abou Bakar Sidibé a traversé le Sahara et se trouve bloqué au nord du Maroc sur la montagne de Gourougou, qui surplombe l’enclave espagnole de Melilla Cette démission délibérée des cinéastes produit un film forcément approximatif, mais aussi des images neuves, nées d’un autre regard (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Plongée dans la vie quotidienne de 1 000 réfugiés africains entassés sur le Mont Gurugu, enclave espagnole à la frontière marocaine. Un témoignage poignant et essentiel.
Si cette place de filmeur-filmé condamne le film à un dispositif formel parfois précaire, qu’une voix off surécrite vient inutilement alourdir, elle permet néanmoins de travailler le réel le plus brut et le plus essentiel à sa source, et de favoriser l’émouvante et salutaire éclosion d’un regard dans l’obscurité.
Critikat.com
[la caméra] permet aux filmés de devenir les acteurs de leur représentation et de leur visibilité.
Libération
Le film est nourri de l’imaginaire des migrants, de leur culture, de leur humanité et - beaucoup - de leur humour.
Télérama
À plus d'un titre, cette oeuvre hybride invite à la réflexion.
Le Monde
Abou Bakar Sidibé a traversé le Sahara et se trouve bloqué au nord du Maroc sur la montagne de Gourougou, qui surplombe l’enclave espagnole de Melilla Cette démission délibérée des cinéastes produit un film forcément approximatif, mais aussi des images neuves, nées d’un autre regard (...).
Les Fiches du Cinéma
Plongée dans la vie quotidienne de 1 000 réfugiés africains entassés sur le Mont Gurugu, enclave espagnole à la frontière marocaine. Un témoignage poignant et essentiel.
Les Inrockuptibles
Si cette place de filmeur-filmé condamne le film à un dispositif formel parfois précaire, qu’une voix off surécrite vient inutilement alourdir, elle permet néanmoins de travailler le réel le plus brut et le plus essentiel à sa source, et de favoriser l’émouvante et salutaire éclosion d’un regard dans l’obscurité.
Studio Ciné Live
Ce doc en immersion perd de sa force avec une voix off inutile et l'utilisation répétitive des plans de caméras de surveillance frontalières.