Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Nimbé pendant toute la durée du film dans les déchirements atmosphériques proche de Low de David Bowie, le spectateur en ressort le cœur battant et révolté.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Premier film d’un musicien réputé au Chili, “Plus jamais seul” ne manque pas de charme.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cette réserve faite, il n’empêche que Plus jamais seul touche non seulement par sa condamnation implacable de l’homophobie (un peu dans la lignée des livres d’Edouard Louis) mais aussi, et sans doute encore plus, par la finesse de son regard sur une relation filiale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Classique sans être académique, ce premier long métrage d’un musicien chilien traite avec subtilité le thème de l’homophobie. Évitant les pièges du sentimentalisme et du film militant, le cinéaste trouve le ton juste et délivre un beau message de tolérance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
D'une beauté sombre, parfois inconfortable, le film d'Alex Anwandter explore une voie narrative audacieuse et captivante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Inspiré d’un événement authentique, ce long-métrage décousu est à la fois touchant et intrigant : la fin, notamment, est obscure, et l’ensemble est un tantinet frustrant. Il y a tous les éléments d’un film fort, qu’on devine, mais qu’on ne voit pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Certes, l’ensemble s’éparpille dans une mise en scène brouillonne, trop souvent prompte à verser dans de vaines afféteries esthétiques. La subjectivité des personnages est surinvestie, à l’image de ces longues plages de douleur de la seconde partie, où l’on reste embourbé dans la désolation du père, sans que le film n’en fasse grand-chose. Toutefois, quelques scènes très réussies (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Bernard Génin
On perd le propos du cinéaste qui s'égare dans d'inutiles plans esthétisants (...).
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Derrière l’apparent constat implacable sur la réalité chilienne que dressent ces films, on sent ces cinéastes s’apitoyer sur leur sort, prenant très au sérieux leur crise morale, dans une totale absence d’autodérision.
Critikat.com
par Benoît Smith
"Plus jamais seul" se noie dans ses intentions mal dégrossies.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Le premier film d'Alex Anwandter suit surtout le père de Pablo après l'agression de son fils et s'en tient à la profonde affliction d'un homme meurtri.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Frédéric Strauss
La ville de Santiago, rendue abstraite, ne raconte rien. On voudrait soutenir cette démarche salutaire, mais le découragement l'emporte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Nimbé pendant toute la durée du film dans les déchirements atmosphériques proche de Low de David Bowie, le spectateur en ressort le cœur battant et révolté.
Les Fiches du Cinéma
Premier film d’un musicien réputé au Chili, “Plus jamais seul” ne manque pas de charme.
Les Inrockuptibles
Cette réserve faite, il n’empêche que Plus jamais seul touche non seulement par sa condamnation implacable de l’homophobie (un peu dans la lignée des livres d’Edouard Louis) mais aussi, et sans doute encore plus, par la finesse de son regard sur une relation filiale.
aVoir-aLire.com
Classique sans être académique, ce premier long métrage d’un musicien chilien traite avec subtilité le thème de l’homophobie. Évitant les pièges du sentimentalisme et du film militant, le cinéaste trouve le ton juste et délivre un beau message de tolérance.
Culturopoing.com
D'une beauté sombre, parfois inconfortable, le film d'Alex Anwandter explore une voie narrative audacieuse et captivante.
L'Obs
Inspiré d’un événement authentique, ce long-métrage décousu est à la fois touchant et intrigant : la fin, notamment, est obscure, et l’ensemble est un tantinet frustrant. Il y a tous les éléments d’un film fort, qu’on devine, mais qu’on ne voit pas.
Le Monde
Certes, l’ensemble s’éparpille dans une mise en scène brouillonne, trop souvent prompte à verser dans de vaines afféteries esthétiques. La subjectivité des personnages est surinvestie, à l’image de ces longues plages de douleur de la seconde partie, où l’on reste embourbé dans la désolation du père, sans que le film n’en fasse grand-chose. Toutefois, quelques scènes très réussies (...).
Positif
On perd le propos du cinéaste qui s'égare dans d'inutiles plans esthétisants (...).
Cahiers du Cinéma
Derrière l’apparent constat implacable sur la réalité chilienne que dressent ces films, on sent ces cinéastes s’apitoyer sur leur sort, prenant très au sérieux leur crise morale, dans une totale absence d’autodérision.
Critikat.com
"Plus jamais seul" se noie dans ses intentions mal dégrossies.
Le Figaro
Le premier film d'Alex Anwandter suit surtout le père de Pablo après l'agression de son fils et s'en tient à la profonde affliction d'un homme meurtri.
Télérama
La ville de Santiago, rendue abstraite, ne raconte rien. On voudrait soutenir cette démarche salutaire, mais le découragement l'emporte.