Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le regard amoral du cinéaste sur les situations est indissociable d’une empathie profonde et d’une drôlerie sous-jacente, qui accompagne ses réflexions récurrentes sur la mort. Un drame gai ou une comédie grave, au choix, transcendés par la figure de la mamie indigne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Difficile de ne pas s’attacher à cette péripatéticienne du troisième âge, héroïne au caractère bien trempé mais au grand cœur d’un film qui s’empare d’une réalité aussi triste que méconnue avec profondeur et légèreté.
Positif
par Hubert Niogret
Si l'écriture très habile du scénario a su tisser les trois lignes thématiques qui apparaissent l'une après l'autre (prostitution, fin de vie, maternité), la réalisation de ce film peu dialogué est très classique et s'appuie sur une comédienne expérimentée, Youn Yuh-jung, qui tient le film sur ses épaules.
Critikat.com
par Benoît Smith
Tout à sa retenue trop sage, à son investissement mou et à ses choix de réalisation un peu hasardeux (...), E J-yong ne se donne pas vraiment les moyens de saisir ce qui hante So-young.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
"Ce film raconte l'histoire de la terrible réalité que les personnes âgées, malades et seules doivent affronter", dit le réalisateur. Digne programme, mais puissamment ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais, à vrai dire, The Bacchus Lady vaut en premier lieu pour son interprète, la formidable Youn Yuh-jung, abordant le personnage de So-young avec ce qu’il faut d’effronterie, de verve et de distance vis-à-vis de soi-même pour exprimer son humanité meurtrie, mais résolument vivante.
L'Humanité
Le regard amoral du cinéaste sur les situations est indissociable d’une empathie profonde et d’une drôlerie sous-jacente, qui accompagne ses réflexions récurrentes sur la mort. Un drame gai ou une comédie grave, au choix, transcendés par la figure de la mamie indigne.
Le Journal du Dimanche
Difficile de ne pas s’attacher à cette péripatéticienne du troisième âge, héroïne au caractère bien trempé mais au grand cœur d’un film qui s’empare d’une réalité aussi triste que méconnue avec profondeur et légèreté.
Positif
Si l'écriture très habile du scénario a su tisser les trois lignes thématiques qui apparaissent l'une après l'autre (prostitution, fin de vie, maternité), la réalisation de ce film peu dialogué est très classique et s'appuie sur une comédienne expérimentée, Youn Yuh-jung, qui tient le film sur ses épaules.
Critikat.com
Tout à sa retenue trop sage, à son investissement mou et à ses choix de réalisation un peu hasardeux (...), E J-yong ne se donne pas vraiment les moyens de saisir ce qui hante So-young.
L'Obs
"Ce film raconte l'histoire de la terrible réalité que les personnes âgées, malades et seules doivent affronter", dit le réalisateur. Digne programme, mais puissamment ennuyeux.
Le Monde
Mais, à vrai dire, The Bacchus Lady vaut en premier lieu pour son interprète, la formidable Youn Yuh-jung, abordant le personnage de So-young avec ce qu’il faut d’effronterie, de verve et de distance vis-à-vis de soi-même pour exprimer son humanité meurtrie, mais résolument vivante.