Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Trois raisons de courir voir "La Sociologue et l'ourson" : sa créativité, Irène Théry, le regard dans le rétro.
Franceinfo Culture
par Daniel Ielli
Une histoire à la fois intime, et universelle, délicieusement racontée. Le tout en peluche, drôle et à la portée de tous. Éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Culturopoing.com
par Christophe Seguin
"La Sociologue et l’Ourson", derrière une légèreté apparente propose un dispositif très élaboré pour raconter son histoire (à la fois grande et petite). Et miracle, le spectateur y entre avec curiosité et facilité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le film ne s’en tient pas pour autant à l’anecdote et aborde les problématiques de fond. Avec plus ou moins de bonheur quand se tisse à la fois et par la force des choses un film de famille.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Cécile Deffontaines
Que faire de ces discussions ? C’est là que l’inventivité des auteurs intervient. Ils ont conçu un dispositif étonnant : des marionnettes-peluches. (...) Le film, sérieux dans son propos, prend dès lors l’allure d’un petit théâtre de guignols, où les opposants vont très vite se taper dessus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
(Les personnages) se trouvent soustraits aux contingences de l'actualité. Ils deviennent des archétypes et donnent au film - c'est sa grande réussite - la portée d'un conte moral universel.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Le postulat atypique du nouveau documentaire de Mathias Théry et Étienne Chaillou surprent autant qu'il captive par son traitement ludique et décalé.
Libération
par Clément Ghys
L’intimité des échanges, des avis sur les mutations sociétales ponctués de «ton père est parti acheter du poisson pané» rend d’autant plus aimable le film, et quelques personnes qui le traversent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
"La Sociologue et l'ourson" : un documentaire pour tous.
Metro
par Mehdi Omaïs
(Un) superbe documentaire où la tolérance est faite reine.
Ouest France
par La Rédaction
Hybride, sympa et pédagogique, entre documentaire et film d'animation.
Positif
par Eithne O'Neill
Chronique familiale qui combine chaleur et réflexion intellectuelle. Recommandée !
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un doc utile, dont la singularité ludique n'exclut pas la profondeur.
TF1 News
par Romain Le Vern
Prenez une spécialiste des métamorphoses de la famille, Irène Théry, faites-la dialoguer avec son fils et... des peluches, vous obtenez un film inventif, drôle et grave.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Mathilde Blottière
Se produit alors le miracle de la peluche pédagogue : le pouvoir d'incarnation et de mise à distance de ces créatures à poil réussit la gageure de clarifier le débat. Mais aussi, et surtout, de l'apaiser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
C’est bien là tout le nœud de "La Sociologue et l’ourson" : déceler ce qui a pu empêcher pendant ces longs mois d’affrontement le débat d’être au niveau auquel il aurait dû être, le plus souvent en dépit du bon sens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Heureusement, La Sociologue et l’Ourson ne se réduit pas au débat houleux qu’il remet en scène. Ce documentaire propose aussi, à travers un exemple concret, d’explorer de l’intérieur la mécanique citoyenne, politique, institutionnelle et médiatique qui accompagne toute loi marquante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec des décors en carton et des ours en peluche en guise de personnages, le film s’accompagne d’un cinéma d’animation inattendu. De quoi injecter une savoureuse dose de théâtre et d’ironie au récit.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un film d’animation politique et ludique sur les débats autour de la loi du mariage pour tous.
Première
par Christophe Narbonne
Le dispositif, amusant et pédagogique, est cependant limité du fait que les échanges, peu contradictoires, donnent lieu à un timide débat.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Sébastien Uguen
L’usage des peluches pour cette narration décalée apporte un charme indéniable sans altérer le sérieux du premier film (pour le cinéma) de ces jeunes réalisateurs, qu’on espère revoir très prochainement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
Trois raisons de courir voir "La Sociologue et l'ourson" : sa créativité, Irène Théry, le regard dans le rétro.
Franceinfo Culture
Une histoire à la fois intime, et universelle, délicieusement racontée. Le tout en peluche, drôle et à la portée de tous. Éblouissant.
Culturopoing.com
"La Sociologue et l’Ourson", derrière une légèreté apparente propose un dispositif très élaboré pour raconter son histoire (à la fois grande et petite). Et miracle, le spectateur y entre avec curiosité et facilité.
L'Humanité
Le film ne s’en tient pas pour autant à l’anecdote et aborde les problématiques de fond. Avec plus ou moins de bonheur quand se tisse à la fois et par la force des choses un film de famille.
L'Obs
Que faire de ces discussions ? C’est là que l’inventivité des auteurs intervient. Ils ont conçu un dispositif étonnant : des marionnettes-peluches. (...) Le film, sérieux dans son propos, prend dès lors l’allure d’un petit théâtre de guignols, où les opposants vont très vite se taper dessus.
Le Monde
(Les personnages) se trouvent soustraits aux contingences de l'actualité. Ils deviennent des archétypes et donnent au film - c'est sa grande réussite - la portée d'un conte moral universel.
Les Fiches du Cinéma
Le postulat atypique du nouveau documentaire de Mathias Théry et Étienne Chaillou surprent autant qu'il captive par son traitement ludique et décalé.
Libération
L’intimité des échanges, des avis sur les mutations sociétales ponctués de «ton père est parti acheter du poisson pané» rend d’autant plus aimable le film, et quelques personnes qui le traversent.
Marianne
"La Sociologue et l'ourson" : un documentaire pour tous.
Metro
(Un) superbe documentaire où la tolérance est faite reine.
Ouest France
Hybride, sympa et pédagogique, entre documentaire et film d'animation.
Positif
Chronique familiale qui combine chaleur et réflexion intellectuelle. Recommandée !
Studio Ciné Live
Un doc utile, dont la singularité ludique n'exclut pas la profondeur.
TF1 News
Prenez une spécialiste des métamorphoses de la famille, Irène Théry, faites-la dialoguer avec son fils et... des peluches, vous obtenez un film inventif, drôle et grave.
Télérama
Se produit alors le miracle de la peluche pédagogue : le pouvoir d'incarnation et de mise à distance de ces créatures à poil réussit la gageure de clarifier le débat. Mais aussi, et surtout, de l'apaiser.
Critikat.com
C’est bien là tout le nœud de "La Sociologue et l’ourson" : déceler ce qui a pu empêcher pendant ces longs mois d’affrontement le débat d’être au niveau auquel il aurait dû être, le plus souvent en dépit du bon sens.
La Croix
Heureusement, La Sociologue et l’Ourson ne se réduit pas au débat houleux qu’il remet en scène. Ce documentaire propose aussi, à travers un exemple concret, d’explorer de l’intérieur la mécanique citoyenne, politique, institutionnelle et médiatique qui accompagne toute loi marquante.
Le Journal du Dimanche
Avec des décors en carton et des ours en peluche en guise de personnages, le film s’accompagne d’un cinéma d’animation inattendu. De quoi injecter une savoureuse dose de théâtre et d’ironie au récit.
Les Inrockuptibles
Un film d’animation politique et ludique sur les débats autour de la loi du mariage pour tous.
Première
Le dispositif, amusant et pédagogique, est cependant limité du fait que les échanges, peu contradictoires, donnent lieu à un timide débat.
aVoir-aLire.com
L’usage des peluches pour cette narration décalée apporte un charme indéniable sans altérer le sérieux du premier film (pour le cinéma) de ces jeunes réalisateurs, qu’on espère revoir très prochainement.