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Le thème, bien pratique pour promouvoir le film (comme un fantasme de chronique post-apocalyptique), s’avère moins moteur chez lui que la relation qu’il prétend instaurer entre ses images et nous.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L’impression produite est celle d’un monde après la fin du monde. C’est admirablement filmé et monté, c’est un poème visuel, avec toutes les vertus du genre, et toutes les limites.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
À mi-chemin des images dé- peuplées des films de Marguerite Duras et de la science-fiction postapocalyptique, "Homo sapiens" met son spectateur dans une position impossible, celle du dernier survivant d’une catastrophe pas encore advenue (ou en train d’advenir), pouvant contempler seul le désastre de l’humanité éradiquée.
Ce curieux enchevêtrement donne l'impression de nager en pleine uchronie. Nul commentaire, aucun personnage. Seulement les cadrages et la confrontation des plans... Dommage que leur durée ne varie pas, ou si peu. Car, malgré cette monotonie, le film parvient à susciter la rêverie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les qualités photographiques d'"Homo Sapiens" sont immenses, et on imaginerait bien quel album percutant pourrait être tiré de ces images. Mais comme film, il se confine dans un champ conceptuel hors de portée.
L'Humanité
C’est indécelable, mais le résultat laisse ébahi et abasourdi.
La Croix
Hypnotisant, le film propose aussi une vision effrayante de l’homme, démiurge velléitaire, bâtisseur versatile et frénétique gaspilleur.
Libération
Il faut se laisser bercer par le spectacle décati de vestiges terrifiant : hypnotique et monotone.
Cahiers du Cinéma
Un vrai sentiment d’inquiétude nous envahit à la vision de ces images d’apocalypse.
Critikat.com
Le thème, bien pratique pour promouvoir le film (comme un fantasme de chronique post-apocalyptique), s’avère moins moteur chez lui que la relation qu’il prétend instaurer entre ses images et nous.
L'Obs
L’impression produite est celle d’un monde après la fin du monde. C’est admirablement filmé et monté, c’est un poème visuel, avec toutes les vertus du genre, et toutes les limites.
Le Monde
À mi-chemin des images dé- peuplées des films de Marguerite Duras et de la science-fiction postapocalyptique, "Homo sapiens" met son spectateur dans une position impossible, celle du dernier survivant d’une catastrophe pas encore advenue (ou en train d’advenir), pouvant contempler seul le désastre de l’humanité éradiquée.
Les Inrockuptibles
Un traité d'extinction future, où la sensation et la sidération impuissantes se substituent à l'action et au sentiment.
Studio Ciné Live
Un pur geste d'artiste.
Télérama
Ce curieux enchevêtrement donne l'impression de nager en pleine uchronie. Nul commentaire, aucun personnage. Seulement les cadrages et la confrontation des plans... Dommage que leur durée ne varie pas, ou si peu. Car, malgré cette monotonie, le film parvient à susciter la rêverie.
Les Fiches du Cinéma
Bien que magnifique de bout en bout, “Homo sapiens” finit par lasser.
Positif
Les qualités photographiques d'"Homo Sapiens" sont immenses, et on imaginerait bien quel album percutant pourrait être tiré de ces images. Mais comme film, il se confine dans un champ conceptuel hors de portée.