Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Genica Baczynski
(...) le cinéaste fait émerger une réalité enfouie dans la périphérie des villes, il offre à voir un inécoutable. Il saisit une parole, des mots échangés, un vocabulaire, le fluide qui doit sortir désespérément. Et c’est bien là qu’opère la magie de ce récit. Ce film remue comme la nuit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Julien Gester
Dans le superbe «Brothers of the Night», Patric Chiha s’immerge avec grâce parmi de jeunes prostitués bulgares venus en Autriche en quête d’argent facile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le réalisateur a embrassé sa fascination pour ces marins sans navire, et cherche à travers eux à ressusciter un glamour ultra sexuel, très Eighties, qui rappelle autant Querelle que Outsiders.
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Cette perméabilité de la réalité et de la fiction fait du film un véritable exercice jubilatoire, tant le réalisateur prend plaisir à inviter les acteurs à un exercice de mise en scène leur permettant de transcender leurs conditions de vie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
La caméra de Patric Chiha capte les postures viriles, les airs de cador et magnifie la beauté éphémère d’une jeunesse qui est la seule monnaie d’échange.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Patric Chiha offre à une réalité sordide tout le luxe et les artifices du cinéma pour la doter d’une vie intérieure, qui la rend humaine et parfois belle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Brothers of the night" donne l'impression d'un film saisi au vol, à la beauté fugace et mélancolique, sourd témoignage de le violence du monde contemporain.
Transfuge
par Damien Aubel
Les cloisons docu/fiction ne sont pas intangibles, on le sait depuis longtemps, mais il est rare que ce flottement corresponde exactement aux perceptions du spectateur, à cette dérive du regard qui se perd dans la nuit viennoise.
Télérama
par Pierre Murat
Patric Chiha (...) les contemple, les met en scène dans des lumières éclatantes et irréelles — des lueurs de néon où le bleu le dispute au rose le plus cru. Il écoute la gêne sous leur feinte indifférence et la nostalgie sous leurs fanfaronnades. Il les grandit, les embellit, les humanise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Un documentaire superbement stylisé sur le quotidien de jeunes prostitués bulgares, à Vienne.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Patric Chiha sonde la beauté de la nuit cachée sous le désespoir. Ses portraits croisés de post-ados bulgares, à la lisière du métaphysique, tissent la matière composite du cinéma de Fassbinder.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Pour scruter cette zone mystérieuse du retournement de soi, Patric Chiha ne s’en remet pas à la seule modalité documentaire mais invente, dans le périmètre restreint du bar et de ses environs, des espaces liminaires et fantasmatiques où les personnages puissent se raconter, se confesser, s’abandonner à eux-mêmes.
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Chiha oppose un reflet fantasmagorique à la Fassbinder au quotidien tumultueux de jeunes Bulgares se prostituant en Autriche.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
La théâtralité des entretiens, pleinement assumée, ruine toute l'émotion qui pourrait naître du tragique de leur situation.
L'Humanité
(...) le cinéaste fait émerger une réalité enfouie dans la périphérie des villes, il offre à voir un inécoutable. Il saisit une parole, des mots échangés, un vocabulaire, le fluide qui doit sortir désespérément. Et c’est bien là qu’opère la magie de ce récit. Ce film remue comme la nuit.
Libération
Dans le superbe «Brothers of the Night», Patric Chiha s’immerge avec grâce parmi de jeunes prostitués bulgares venus en Autriche en quête d’argent facile.
Cahiers du Cinéma
Le réalisateur a embrassé sa fascination pour ces marins sans navire, et cherche à travers eux à ressusciter un glamour ultra sexuel, très Eighties, qui rappelle autant Querelle que Outsiders.
Critikat.com
Cette perméabilité de la réalité et de la fiction fait du film un véritable exercice jubilatoire, tant le réalisateur prend plaisir à inviter les acteurs à un exercice de mise en scène leur permettant de transcender leurs conditions de vie.
Culturopoing.com
La caméra de Patric Chiha capte les postures viriles, les airs de cador et magnifie la beauté éphémère d’une jeunesse qui est la seule monnaie d’échange.
Les Fiches du Cinéma
Patric Chiha offre à une réalité sordide tout le luxe et les artifices du cinéma pour la doter d’une vie intérieure, qui la rend humaine et parfois belle.
Les Inrockuptibles
"Brothers of the night" donne l'impression d'un film saisi au vol, à la beauté fugace et mélancolique, sourd témoignage de le violence du monde contemporain.
Transfuge
Les cloisons docu/fiction ne sont pas intangibles, on le sait depuis longtemps, mais il est rare que ce flottement corresponde exactement aux perceptions du spectateur, à cette dérive du regard qui se perd dans la nuit viennoise.
Télérama
Patric Chiha (...) les contemple, les met en scène dans des lumières éclatantes et irréelles — des lueurs de néon où le bleu le dispute au rose le plus cru. Il écoute la gêne sous leur feinte indifférence et la nostalgie sous leurs fanfaronnades. Il les grandit, les embellit, les humanise.
VSD
Un documentaire superbement stylisé sur le quotidien de jeunes prostitués bulgares, à Vienne.
aVoir-aLire.com
Patric Chiha sonde la beauté de la nuit cachée sous le désespoir. Ses portraits croisés de post-ados bulgares, à la lisière du métaphysique, tissent la matière composite du cinéma de Fassbinder.
Le Monde
Pour scruter cette zone mystérieuse du retournement de soi, Patric Chiha ne s’en remet pas à la seule modalité documentaire mais invente, dans le périmètre restreint du bar et de ses environs, des espaces liminaires et fantasmatiques où les personnages puissent se raconter, se confesser, s’abandonner à eux-mêmes.
La Septième Obsession
Chiha oppose un reflet fantasmagorique à la Fassbinder au quotidien tumultueux de jeunes Bulgares se prostituant en Autriche.
Studio Ciné Live
La théâtralité des entretiens, pleinement assumée, ruine toute l'émotion qui pourrait naître du tragique de leur situation.