Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Catherine Magnin
Avec «Parasol», son premier long métrage, Valéry Rosier dresse le portrait de solitaires qui ne se croisent jamais, mais dont les trajectoires se répondent, entre espoirs, déconvenues et apaisements. Il en ressort un film faussement creux, qui fait joliment écho à l'état d'esprit de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Trois récits chaotiques, laconiques, précipités dans des chutes superbes, révélatrices du talent visuel de ce cinéaste en devenir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
L'Humanité
par Vincent Ostria
Autant de constats cinglants, qui ne dépassent pourtant pas les bornes. L’essentiel étant ici le travail aussi documentaire que plastique sur le réel ; jeux avec les couleurs saturées, le graphisme et le cadre, qui ont pour vertu de révéler les beautés cachées de ce chaos kitsch et déshumanisé du farniente à bon marché.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Mélancolique et un brin loufoque, ce premier long métrage observe plus qu'il ne déconce l'isolement inhérent au “tourisme de masse”.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Satire plastiquement réussie des vacances aux Baléares.
Libération
par Gilles Renault
Travail formellement soigné, sans cousinage apparent avec ce cinéma belge à la veine sociale ancrée dans un humour trashy, son Parasol revendique l’influence de l’Autrichien Ulrich Seidl - en plus retenu et moins torve, doit-on préciser. Et exhale un dépit houellebecquien de saison, agrémenté de couleurs vives habillant un tissu social pourtant sérieusement effiloché.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Ce découpage un peu forcé empêche de s'attacher vraiment à ces figures de l'errance et transforme cet exercice de style très soigné en un pamphlet distrayant, oscillant entre comédie et mélancolie, mais quelque peu superficiel.
Première
par Eric Vernay
Assommant.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
(...) un sens du burlesque mélancolique qui fait oublier un certain penchant à étirer artificiellement les plans.
Voici
par Lola Sciamma
Une chronique qui oscille entre candeur, mélancolie et ironie, et qui laissera sans doute plus d'un spectateur sur le sable.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Immobilisme, incommunicabilité, isolement, voilà le programme préparé par Valéry Rosier pour vos prochaines vacances estivales. On avait rêvé mieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
La posture duplice du cinéaste, affectant d’un côté la cruauté radicale envers le tourisme et de l’autre la douceur envers ces petits êtres en manque, ne convainc jamais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Franchement, on est mieux à Paris.
Le Monde
par Thomas Sotinel
On peut invoquer les mânes d’Ulrich Seidl (cinéaste sadique autrichien) ou de Martin Parr (photographe dont la fortune se fit sur les dos pleins de coups de soleil des estivants), mais ce qui prédomine ici, c’est la captation sans distance de l’ennui et de la laideur.
Ouest France
par La Rédaction
Cette fresque déprimante de la déconfiture idéologico-économique ambiante ferait presque passer Haneke pour un cinéaste comique.
Télérama
par Nicolas Didier
Valéry Rosier parvient à décrire Majorque comme un « non-lieu », selon l'expression de l'anthropologue Marc Augé : un espace de transit ou de consommation où l'humain reste anonyme. Mais il le fait au détriment de ses personnages — un jeune touriste anglais, un divorcé espagnol, une retraitée belge —, systématiquement méprisés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Avec «Parasol», son premier long métrage, Valéry Rosier dresse le portrait de solitaires qui ne se croisent jamais, mais dont les trajectoires se répondent, entre espoirs, déconvenues et apaisements. Il en ressort un film faussement creux, qui fait joliment écho à l'état d'esprit de ses personnages.
La Voix du Nord
Trois récits chaotiques, laconiques, précipités dans des chutes superbes, révélatrices du talent visuel de ce cinéaste en devenir.
L'Humanité
Autant de constats cinglants, qui ne dépassent pourtant pas les bornes. L’essentiel étant ici le travail aussi documentaire que plastique sur le réel ; jeux avec les couleurs saturées, le graphisme et le cadre, qui ont pour vertu de révéler les beautés cachées de ce chaos kitsch et déshumanisé du farniente à bon marché.
Les Fiches du Cinéma
Mélancolique et un brin loufoque, ce premier long métrage observe plus qu'il ne déconce l'isolement inhérent au “tourisme de masse”.
Les Inrockuptibles
Satire plastiquement réussie des vacances aux Baléares.
Libération
Travail formellement soigné, sans cousinage apparent avec ce cinéma belge à la veine sociale ancrée dans un humour trashy, son Parasol revendique l’influence de l’Autrichien Ulrich Seidl - en plus retenu et moins torve, doit-on préciser. Et exhale un dépit houellebecquien de saison, agrémenté de couleurs vives habillant un tissu social pourtant sérieusement effiloché.
Positif
Ce découpage un peu forcé empêche de s'attacher vraiment à ces figures de l'errance et transforme cet exercice de style très soigné en un pamphlet distrayant, oscillant entre comédie et mélancolie, mais quelque peu superficiel.
Première
Assommant.
Studio Ciné Live
(...) un sens du burlesque mélancolique qui fait oublier un certain penchant à étirer artificiellement les plans.
Voici
Une chronique qui oscille entre candeur, mélancolie et ironie, et qui laissera sans doute plus d'un spectateur sur le sable.
aVoir-aLire.com
Immobilisme, incommunicabilité, isolement, voilà le programme préparé par Valéry Rosier pour vos prochaines vacances estivales. On avait rêvé mieux.
Critikat.com
La posture duplice du cinéaste, affectant d’un côté la cruauté radicale envers le tourisme et de l’autre la douceur envers ces petits êtres en manque, ne convainc jamais.
Le Figaro
Franchement, on est mieux à Paris.
Le Monde
On peut invoquer les mânes d’Ulrich Seidl (cinéaste sadique autrichien) ou de Martin Parr (photographe dont la fortune se fit sur les dos pleins de coups de soleil des estivants), mais ce qui prédomine ici, c’est la captation sans distance de l’ennui et de la laideur.
Ouest France
Cette fresque déprimante de la déconfiture idéologico-économique ambiante ferait presque passer Haneke pour un cinéaste comique.
Télérama
Valéry Rosier parvient à décrire Majorque comme un « non-lieu », selon l'expression de l'anthropologue Marc Augé : un espace de transit ou de consommation où l'humain reste anonyme. Mais il le fait au détriment de ses personnages — un jeune touriste anglais, un divorcé espagnol, une retraitée belge —, systématiquement méprisés.