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27 critiques presse
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Œuvre aussi complexe que la géopolitique mondiale, "Soy Nero" se partage entre l’intimité de l’histoire de son personnage principal et son aspect universel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Rafi Pitts parie sur son antihéros. Avec comme ligne droite valeureuse, un attachement à l’anti-spectaculaire. Son écriture et sa mise en scène sont précises, désencombrées du superflu. La sécheresse révèle l’essentiel, au service d’une parabole saisissante d’où jaillit une humanité étouffée.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Sa première partie écrite comme un conte puis la surprenante séquence guerrière (…) coulent la frontalité du propos dans un écrin énigmatique qui saisit les sens et l’imagination.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Le ton est inégal selon les parties mais pas le constat de cette fable amère.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Christophe Carrière
C'est parfois un peu long, la dédicace finale est inutile, mais le film colle parfaitement au point de vue de son personnage principal, meilleur moyen d'accrocher le spectateur (...).
L'Humanité
par Dominique Widemann
Dans son sixième long métrage, le réalisateur de "Soy Nero" retrace par la fiction le parcours cruel d’un jeune immigrant d’origine mexicaine et donne corps à la notion de frontière, à la lettre et dans l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film puissant et troublant, que Nero traverse avec la candeur, mais aussi la grandeur, d’un héros de conte oriental.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Mehdi Omaïs
Pour dénoncer sans manichéisme, Rafi Pitts prend son temps, soigne son cadre et permet aux silences de livrer des messages politiques forts. Des silences qui font le bruit d’un deuil. Celui d’une Amérique à l’agonie et qui a besoin d’un capitaine de navire à la hauteur de ses défis.
La Croix
par Arnaud Schwartz
En compétition lors du dernier Festival de Berlin, ce film remarquable d’intelligence et de sensibilité explore la notion d’identité à travers le destin d’un « green card soldier ».
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sensible et fort, qui mêle une action intense à une réflexion aiguë sur l’Amérique du melting-pot.
Le Figaro
par La Rédaction
Sans tomber dans la démonstration ni singer le film de guerre hollywoodien, Pitts signe un film original et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Un aspect méconnu du Patriot Act très bien mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Au-delà de la critique du cynisme que subissent les patriotes à la carte verte, ce conte humaniste nourri d’influences hollywoodiennes dépasse le contexte américain : sa portée est universelle.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film commence comme beaucoup de récits sur les flux migratoires entre le Sud et le Nord (...) et l’on craint qu’il ne déroule les étapes d’une telle traversée, comme une simple suite de péripéties. Mais la frontière que traverse Nero fait apparaître sa double nature réelle et fantasmatique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
Ce point de vue éclaire, il produit une lueur qui n’est pas la lumière au bout du tunnel, mais une lucidité de chaque instant, une connaissance qui est déjà une liberté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Dès les premières minutes, on comprend que l'on a affaire à un grand cinéaste (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
(...) une oeuvre paradoxale, qui vise à l'universalité tout en exprimant la singularité d'un cinéaste qui ne rentre dans aucune case nationale ou stylistique.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Imparable.
Transfuge
par Sidy Sakho
Rafi Pitts courrait le risque de basculer dans la démonstration sans grâce - dans le film-symbole, option sujet de société, tendance indignée. Mais le cinéaste connaît (...) la force de sidération, de fascination des images.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans un désert du Moyen-Orient en guerre, le cinéaste confronte brillamment une immensité abstraite et la logique absurde d'une identification, d'un étiquetage sans fin de l'individu. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un film sur le déracinement, par l'Iranien Raffi Pitts.
Critikat.com
par Josué Morel
Si le film fond habilement la frontière Nord/Sud en une délimitation qui s’inscrit au sein des différents territoires arpentés par Nero, sa limite tient à ce que ce mouvement s’avère être également une mécanique qui confère au récit une armature aussi solide qu’un tantinet rigide.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Daniel Dos Santos
Manifestation d’un espoir dévitalisé, légèrement onirique tant le voyage du personnage semble insensé.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Une fable poétique et édifiante, malgré quelques longueurs.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Par le biais des codes classiques des road movies et du western, Rafi Pitts raconte un histoire très personnelle mais qui a valeur universelle au temps des Trump, Orban, Sarkozy (...) soulignant avec l'élégance d'une fiction l'absurdité kafkaïenne et l'excès juridique et policier en matière de frontières.
Ouest France
par La Rédaction
Un conte moderne et apatride, brutal et dépaysant.
Première
par Éric Vernay
Parfois un peu démonstratif, ce conte moderne sous tension captive néanmoins grâce à son sens de l'absurde métaphysique hérité de Beckett et de Buzzati.
Culturopoing.com
Œuvre aussi complexe que la géopolitique mondiale, "Soy Nero" se partage entre l’intimité de l’histoire de son personnage principal et son aspect universel.
Bande à part
Rafi Pitts parie sur son antihéros. Avec comme ligne droite valeureuse, un attachement à l’anti-spectaculaire. Son écriture et sa mise en scène sont précises, désencombrées du superflu. La sécheresse révèle l’essentiel, au service d’une parabole saisissante d’où jaillit une humanité étouffée.
Cahiers du Cinéma
Sa première partie écrite comme un conte puis la surprenante séquence guerrière (…) coulent la frontalité du propos dans un écrin énigmatique qui saisit les sens et l’imagination.
CinemaTeaser
Le ton est inégal selon les parties mais pas le constat de cette fable amère.
L'Express
C'est parfois un peu long, la dédicace finale est inutile, mais le film colle parfaitement au point de vue de son personnage principal, meilleur moyen d'accrocher le spectateur (...).
L'Humanité
Dans son sixième long métrage, le réalisateur de "Soy Nero" retrace par la fiction le parcours cruel d’un jeune immigrant d’origine mexicaine et donne corps à la notion de frontière, à la lettre et dans l’esprit.
L'Obs
Un film puissant et troublant, que Nero traverse avec la candeur, mais aussi la grandeur, d’un héros de conte oriental.
LCI
Pour dénoncer sans manichéisme, Rafi Pitts prend son temps, soigne son cadre et permet aux silences de livrer des messages politiques forts. Des silences qui font le bruit d’un deuil. Celui d’une Amérique à l’agonie et qui a besoin d’un capitaine de navire à la hauteur de ses défis.
La Croix
En compétition lors du dernier Festival de Berlin, ce film remarquable d’intelligence et de sensibilité explore la notion d’identité à travers le destin d’un « green card soldier ».
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible et fort, qui mêle une action intense à une réflexion aiguë sur l’Amérique du melting-pot.
Le Figaro
Sans tomber dans la démonstration ni singer le film de guerre hollywoodien, Pitts signe un film original et puissant.
Le Figaroscope
Un aspect méconnu du Patriot Act très bien mis en scène.
Le Journal du Dimanche
Au-delà de la critique du cynisme que subissent les patriotes à la carte verte, ce conte humaniste nourri d’influences hollywoodiennes dépasse le contexte américain : sa portée est universelle.
Le Monde
Le film commence comme beaucoup de récits sur les flux migratoires entre le Sud et le Nord (...) et l’on craint qu’il ne déroule les étapes d’une telle traversée, comme une simple suite de péripéties. Mais la frontière que traverse Nero fait apparaître sa double nature réelle et fantasmatique (...).
Libération
Ce point de vue éclaire, il produit une lueur qui n’est pas la lumière au bout du tunnel, mais une lucidité de chaque instant, une connaissance qui est déjà une liberté.
Paris Match
Dès les premières minutes, on comprend que l'on a affaire à un grand cinéaste (...).
Positif
(...) une oeuvre paradoxale, qui vise à l'universalité tout en exprimant la singularité d'un cinéaste qui ne rentre dans aucune case nationale ou stylistique.
Studio Ciné Live
Imparable.
Transfuge
Rafi Pitts courrait le risque de basculer dans la démonstration sans grâce - dans le film-symbole, option sujet de société, tendance indignée. Mais le cinéaste connaît (...) la force de sidération, de fascination des images.
Télérama
Dans un désert du Moyen-Orient en guerre, le cinéaste confronte brillamment une immensité abstraite et la logique absurde d'une identification, d'un étiquetage sans fin de l'individu. Impressionnant.
Voici
Un film sur le déracinement, par l'Iranien Raffi Pitts.
Critikat.com
Si le film fond habilement la frontière Nord/Sud en une délimitation qui s’inscrit au sein des différents territoires arpentés par Nero, sa limite tient à ce que ce mouvement s’avère être également une mécanique qui confère au récit une armature aussi solide qu’un tantinet rigide.
La Septième Obsession
Manifestation d’un espoir dévitalisé, légèrement onirique tant le voyage du personnage semble insensé.
Les Fiches du Cinéma
Une fable poétique et édifiante, malgré quelques longueurs.
Les Inrockuptibles
Par le biais des codes classiques des road movies et du western, Rafi Pitts raconte un histoire très personnelle mais qui a valeur universelle au temps des Trump, Orban, Sarkozy (...) soulignant avec l'élégance d'une fiction l'absurdité kafkaïenne et l'excès juridique et policier en matière de frontières.
Ouest France
Un conte moderne et apatride, brutal et dépaysant.
Première
Parfois un peu démonstratif, ce conte moderne sous tension captive néanmoins grâce à son sens de l'absurde métaphysique hérité de Beckett et de Buzzati.