Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Positif
par Yannick Lemarié
La violence de la contradiction est d'autant plus forte qu'elle s'incarne dans un acteur formidable : Maj Mastoura. Le comédien allie justesse de jeu et sensibilité. Sans esbroufe, il traduit à l'écran les tourments intérieurs de son personnage, ses plus subtiles émotions.
Critikat.com
par Axel Scoffier
La mise en scène de Ben Attia parvient à incarner spatialement, tout au long du film, les relations sociales et la libération psychologique d’Hedi (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
A la faveur d'un style intimiste et d'une écriture sensible qui ne sont pas sans évoquer les frères Dardenne, partie prenante de la réalisation du film, Mohamed Ben Attia livre une œuvre sincère et intuitive, en partie autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sensible, beau et édifiant. Mohamed Ben Attia est visiblement porté par son sujet qu’il met magnifiquement en scène, avec une sincérité palpable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce beau film entrelace les portraits d’un homme sur le point de se marier et de la Tunisie après le printemps arabe, lorsque surgit enfin l’heure des choix.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Ce vent de liberté soufflera-t-il assez fort ? C’est tout le suspense du film, et tout l’enjeu, pour le devenir même de la Tunisie, qu’il recouvre.
Le Figaro
par La Rédaction
Un portrait sensible et une évocation tout en finesse de la Tunisie post-Ben Ali.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
La mise en scène naturaliste et la qualité de l’interprétation confèrent une émouvante sincérité.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le premier long-métrage de Mohamed Ben Attia est une peinture subtile de la société de l’après-Ben Ali et le récit d’un coup de foudre.
Paris Match
par Yannick Vely
La mise en scène rappelle le cinéma des Dardenne, ce qui n’est pas un mince compliment, avec ce souci de toujours adopter le point de vue du héros, sans tomber dans le pathos et la démonstration de force. Un premier coup de coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Récit d’une émancipation et portrait en creux d’une société stoppée dans son élan progressiste, "Hedi – Un vent de liberté" souffle le chaud et le froid, à l’image du dernier plan, aussi puissant qu’abyssal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Ce premier long réussit à mixer comédie romantique et drame sociétal. Le tout porté par deux comédiens remarquables : Majd Mastoura (primé à Berlin) et Rym Ben Messaoud.
Transfuge
par Damien Aubel
L'essentiel n'est pas là, dans le sociologique, le psychologique, voire le politique (...). Il est dans cette façon qu'a Hedi de vivre sérieusement ses élans amoureux comme sa mélancolie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Coproduit par les Dardenne, le film offre un prolongement tunisien très convaincant au cinéma humaniste des deux frères.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Une sensualité discrète anime la grisaille de l’environnement, vient habiller aussi des moments de solitude et de silence – et ce «gris» prend la couleur de la vie même, ce que le film accomplit de plus émouvant.
L'Express
par Sandra Benedetti
Le trentenaire entravé par les traditions est mis en scène avec bienveillance. Ne manquent que quelques aspérités.
L'Obs
par François Forestier
Pas tout à fait abouti, mais très sympathique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une fable de caractère, qu’un La Bruyère aurait aimé composer et à laquelle on peut, sans trahir son auteur, prêter une dimension politique.
Le Parisien
par Catherine Balle
Lent sans être ennuyeux, « Hedi » plonge avec justesse dans la Tunisie de l'après-Printemps arabe. Même si l'on regrette une fin un peu frustrante, le film pose la question du choix de son destin avec sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Rester chez soi, c'est parfois croire qu'on peut améliorer sa maison, dit le long métrage de Mohamed Ben Attia, et c'est très intelligemment formulé, filmé, sans jamais tomber dans la caricature et le film à message.
Libération
par Olivier Lamm
Suivant un canevas assez classique d’échappée belle, Mohamed Ben Attia déroule dans l’ombre portée du Printemps arabe un drame intime touchant, dont le naturalisme finaud ne suffit pas à estomper le trait un peu épais de certaines situations, mais qui laisse l’émotion affleurer ici ou là assez organiquement. Prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Au final Hedi milite sans être porté sur la révolution et l’on aime son ambiance toute en pondération.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
“Hedi” est une œuvre qui joue le jeu du dénuement complet, au point, malheureusement, de ne plus être qu’un bloc hermétique de destins prédestinés, dont la source lyrique est définitivement tarie.
Positif
La violence de la contradiction est d'autant plus forte qu'elle s'incarne dans un acteur formidable : Maj Mastoura. Le comédien allie justesse de jeu et sensibilité. Sans esbroufe, il traduit à l'écran les tourments intérieurs de son personnage, ses plus subtiles émotions.
Critikat.com
La mise en scène de Ben Attia parvient à incarner spatialement, tout au long du film, les relations sociales et la libération psychologique d’Hedi (...).
Culturopoing.com
A la faveur d'un style intimiste et d'une écriture sensible qui ne sont pas sans évoquer les frères Dardenne, partie prenante de la réalisation du film, Mohamed Ben Attia livre une œuvre sincère et intuitive, en partie autobiographique.
Franceinfo Culture
Sensible, beau et édifiant. Mohamed Ben Attia est visiblement porté par son sujet qu’il met magnifiquement en scène, avec une sincérité palpable.
La Croix
Ce beau film entrelace les portraits d’un homme sur le point de se marier et de la Tunisie après le printemps arabe, lorsque surgit enfin l’heure des choix.
Le Dauphiné Libéré
Ce vent de liberté soufflera-t-il assez fort ? C’est tout le suspense du film, et tout l’enjeu, pour le devenir même de la Tunisie, qu’il recouvre.
Le Figaro
Un portrait sensible et une évocation tout en finesse de la Tunisie post-Ben Ali.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène naturaliste et la qualité de l’interprétation confèrent une émouvante sincérité.
Le Monde
Le premier long-métrage de Mohamed Ben Attia est une peinture subtile de la société de l’après-Ben Ali et le récit d’un coup de foudre.
Paris Match
La mise en scène rappelle le cinéma des Dardenne, ce qui n’est pas un mince compliment, avec ce souci de toujours adopter le point de vue du héros, sans tomber dans le pathos et la démonstration de force. Un premier coup de coeur.
Première
Récit d’une émancipation et portrait en creux d’une société stoppée dans son élan progressiste, "Hedi – Un vent de liberté" souffle le chaud et le froid, à l’image du dernier plan, aussi puissant qu’abyssal.
Studio Ciné Live
Ce premier long réussit à mixer comédie romantique et drame sociétal. Le tout porté par deux comédiens remarquables : Majd Mastoura (primé à Berlin) et Rym Ben Messaoud.
Transfuge
L'essentiel n'est pas là, dans le sociologique, le psychologique, voire le politique (...). Il est dans cette façon qu'a Hedi de vivre sérieusement ses élans amoureux comme sa mélancolie.
Télérama
Coproduit par les Dardenne, le film offre un prolongement tunisien très convaincant au cinéma humaniste des deux frères.
Cahiers du Cinéma
Une sensualité discrète anime la grisaille de l’environnement, vient habiller aussi des moments de solitude et de silence – et ce «gris» prend la couleur de la vie même, ce que le film accomplit de plus émouvant.
L'Express
Le trentenaire entravé par les traditions est mis en scène avec bienveillance. Ne manquent que quelques aspérités.
L'Obs
Pas tout à fait abouti, mais très sympathique.
La Septième Obsession
Une fable de caractère, qu’un La Bruyère aurait aimé composer et à laquelle on peut, sans trahir son auteur, prêter une dimension politique.
Le Parisien
Lent sans être ennuyeux, « Hedi » plonge avec justesse dans la Tunisie de l'après-Printemps arabe. Même si l'on regrette une fin un peu frustrante, le film pose la question du choix de son destin avec sensibilité.
Les Inrockuptibles
Rester chez soi, c'est parfois croire qu'on peut améliorer sa maison, dit le long métrage de Mohamed Ben Attia, et c'est très intelligemment formulé, filmé, sans jamais tomber dans la caricature et le film à message.
Libération
Suivant un canevas assez classique d’échappée belle, Mohamed Ben Attia déroule dans l’ombre portée du Printemps arabe un drame intime touchant, dont le naturalisme finaud ne suffit pas à estomper le trait un peu épais de certaines situations, mais qui laisse l’émotion affleurer ici ou là assez organiquement. Prometteur.
aVoir-aLire.com
Au final Hedi milite sans être porté sur la révolution et l’on aime son ambiance toute en pondération.
Les Fiches du Cinéma
“Hedi” est une œuvre qui joue le jeu du dénuement complet, au point, malheureusement, de ne plus être qu’un bloc hermétique de destins prédestinés, dont la source lyrique est définitivement tarie.