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Chaîne 42
142 abonnés
3 075 critiques
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3,0
Publiée le 1 octobre 2019
Je comprends les notes assez basses car le film laisse une impression de peu utile et peu amusant, de la bouffonnerie ou il manque de l'originalité et de la cohérence. A mon sens une adaptation correcte de bande dessiné mais qui n'a pas su trouver sa cohérence en film, car s'il y a beaucoup de gag ceux ci sont unilatéraux et finissent par lasser. Le film se justifie tout au long mais que pour les inconditionnel de son genre spécifique et les amoureux de Dubosc ou de la BD. Il y a des parallèles et divers emprunts qui se comprennent pour cette histoire mais le tout reste fade. Peu d'originalité car trop de clichés mis en avant, d'exagérations moyennement subtile et au final il n'y a pas le fonds qu'il faudrait pour un film réussit.
Aussi étrange que cela puisse paraître, j’ai trouvé ce second épisode un peu mieux. J’étais tellement déçu du premier que je m’attendais à pire. Sans exagérer l’analyse, le film aborde deux thèmes : le bonheur et l’artiste maudit. Qu’est-ce que le bonheur ? Pour créer, faut-il avoir été malheureux ou vivre dans le malheur ? Evidemment, tout est très léger, c’est une BD pour enfants. Il faut que ce soit accessible. Et le film, me semble-t-il, a rempli sa mission, à savoir que ce « Boule et Bill 2 » est à la portée des enfants et digeste pour les parents. Exit Marina Foïs, remplacée par une Mathilde Seigner convaincante, débarrassée de son caractère acide qui la caractérise dans grand nombre de films ; exit pour des raisons évidentes Charles Combez remplacé par un autre « Charles », Charlie Langendries qui, me semble-t-il, joue un peu mieux que son prédécesseur qui ne m’avait pas laissé un bon souvenir, la faute aux metteurs en scène. Franck Dubosc assure sans trop exagérer. J’ai apprécié les séquences où il est en colère contre ce bonheur qui lui est reproché avec sarcasmes par sa nouvelle éditrice. En tout cas, comparé à ce que j’ai vu dernièrement concernant les BD adaptées, « Les aventures de Spirou et de Fantasio », «Le petit Spirou » et « Gaston Lagaffe », tellement indigents, que ce « Boule et Bill 2 » me paraît plus correcte. Si copie à noter, ce serait : « Un léger mieux ».
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0,5
Publiée le 23 septembre 2018
Aïe! Dèjà que le premier volet n'ètait pas terrible! C'est le deuxième "Boule et Bill" pour Franck Dubosc qui en a profitè pour changer de femme, de fils et de coiffure! En quatre ans qu'est-ce qu'on peut faire d'autre après tout si ce n'est garder le même chien ? On prend donc ce qu'on vous donne dans cette suite! A savoir Mathilde Seigner, « la Gatineau » de "Camping". Cette suite inutile est loin d'être subtile en s'adressant principalement aux enfants! Et encore pas sûr que le jeune public apprècie Frank Dubosc mettre volontairement du dèsordre dans sa vie de famille! On ne s'attache guère aux personnages et on n'arrive pas à se projeter avec eux! Ok monsieur Pascal Bourdiaux, c'est bien de vouloir faire du cartoon en se la jouant bande-dessinèe mais encore faut-il que ça soit inventif! C'est bien plus drôle chez Jean Roba, et l'apparente incompètence dont tèmoigne l'ensemble dèment totalement les soi-disant promesses que "Boule et Bill 2" est mieux que le premier! Et puis la voix de Manu Payet dans ce film est assez horripilante à entendre...
Jolie comédie à regarder en famille. Franck Dubosc & Mathilde Seigner dans le rôle des parents de Boule j'ai trouvé assez particulier. Les gags, ou les bêtises sont plutôt bon enfant.
Très vulgaire, le niveau des gags se fait presque exclusivement scatophile et "tomber sur le popotin", sans grande originalité et sans réelle interprétation. Le doublage de Bill est insupportable, de même que l'on se croit dans une série B bon marché avec ces animaux qui devraient parler mais dont les babines ne bougent même pas, et dont parfois les dialogues continuent alors que l'animal a l'air intéressé par tout autre chose (ou s'en va, carrément). Sans parler des accents caricaturaux... Un manque évident de professionnalisme pour ces dialogues animaliers, cela va sans dire. Dubosc cabotine plus que d'habitude, et les pitreries qu'il nous sert sont d'un niveau de bas étage : fouiller dans les poubelles, uriner sur les bottes de son voisin, dire des âneries à son fils qui fait ses devoirs... Personnellement, le seul sourire émis a eu beaucoup de mal (un mal de chien...) à arriver. Les enfants apprécieront peut-être davantage ces gags bas de pantalon et les doublages manqués (ils n'y feront pas grande attention). Mais pour les adultes, la peinture orange presque fluo utilisée pour faire les cheveux de Boule, la dégaine de son copain Pouf étrange comparée à la BD, et les gags puérils, tout cela nous fait regretter d'avoir pensé trouver une adaptation réussie de notre BD d'enfance... A laisser aux enfants qui aiment les comédies brouillonnes.
Cette comédie sans scénario viable est très poussive et traine en longueur. On ne rit jamais, je ne sais même pas si on esquisse un sourire. Ce film ne s'adresse ni aux enfants, ni aux ados ni aux adultes, c'est sans doute pour ça qu'on s'y ennuie autant.
Le premier volet était d'un ennui mortel, ce second opus est guère plus convaincant. On ne peut pas nier qu'à travers les décors, les costumes et les personnages, le film respecte la bande-dessinée, mais le problème principal vient de l'histoire en elle-même. En effet, l'idée de créer une BD sur le malheur dérive sur quelque chose de complètement idiot, où Franck Dubosc se montre très agaçant à en faire des caisses dans les mimiques avant que Mathilde Seigner ait droit aussi à son quart d'heure raté d'élucubrations, alors qu'à l'école les péripéties avec le nouvel élève modèle et la jeune fille dont Boule est amoureux débouchent sur un sous-Denis La Malice spoiler: (le skatebill, le side-car artisanal, le chewing gum, la tortue) où le chien Bill passe royalement à la trappe spoiler: (sauf au début avec le gag des chiens en laisse) , ce dernier devant se contenter de répliques très bateau à travers une voix-off lourde. Dès lors, l'impression générale que j'ai est que ce film risque de bien abrutir les enfants qui le regarderont. Côté casting, j'ai souligné la médiocrité de Dubosc et Seigner, il faut y ajouter un casting enfantin complètement raté, les gosses surjouent leur ton et leurs réactions. La seule bonne nouvelle de ce film, l'éclair dans le marasme, c'est Nora Hamzawi, bien délirante dans son style caractéristique.
Normalement, un film qui adapte Boule et Bill devrait raconter les aventures de Boule et Bill. Si c'est ce que vous cherchez, passez votre chemin, Bill n'est ici que pour le décor, balançant de-ci de-là quelques pensées inintéressantes tandis qu'il regarde Dubosc tenter de se dépêtrer de ce scénario aussi vide qu'inintéressant. Dommage que ce comédien pour ma part bourré de talent accepte de jouer dans des productions aussi insipides. Pourquoi n'a-t-il pas fait comme Marina Foïs qui a fort heureusement quitté le navire ! La seule chose à retenir de ce film, c'est le nom du scénariste pour éviter de se faire piéger la prochaine fois qu'il est au générique d'un film. En résumé, passez votre chemin.
Bien qu’il soit tout à fait possible d’apprécier cette bande dessinée avec un autre regard une fois qu’on atteint à l’âge adulte, la seconde adaptation de Boule et Bill au cinéma ne fait aucun effort pour être recevable passé l’âge de dix ans. Il est donc évident qu’il ne faut pas trop en attendre...mais même dans le cas d’un ciblage aussi restrictif, il y a tout de même des limites à ne pas franchir. La seule chose à sauver de cette catastrophe industrielle, c’est la reconstitution en couleurs acidulées du rêve pavillonnaire des années 70, toujours aussi précise….et à une ou deux reprises, le résultat parvient à retrouver la poésie et la tendresse de son modèle dessiné : il faut dire que ce n’était tout de même pas possible de tout rater, intégralement, d’un bout à l’autre du film...mais ‘Boule et Bill 2’ a été très près de réussir ce coup de force. Au premier rang des défauts critiques figurent le père et la mère de famille, hystériques et très éloignés de leurs modèles, qui phagocytent l’attention au détriment de Boule et de son cocker, ce dernier étant même relégué au rang de gadget pensant (et jamais spirituel) : il ne s’agit pas ici des libertés qu’un réalisateur peut et doit prendre avec le matériau d’origine mais de centrer un film sur deux personnages qui étaient tout à fait périphériques chez Roba. En fait, c’est l’ensemble du film qui donne l’impression de considérer Boule et Bill comme un label bien pratique auquel il ne faudrait accorder aucune fidélité particulière : en lieu et place de petites vignettes célébrant la banalité heureuse du quotidien, on se retrouve avec un scénario idiot sur les bras, où le père auteur de bande-dessinées s’efforce de saborder sa vie trop idyllique pour pouvoir créer quelque chose de négatif comme le lui demande son éditrice. Frank Dubosc pousse le délire aussi loin que possible : ça aurait pu marcher mais ce n’est pas le cas. Si le premier épisode n’était pas beaucoup plus drôle ou enthousiasmant que celui-ci, au moins respectait-il du mieux qu’il le pouvait l’esprit que Roba avait insufflé à son oeuvre. En revanche, cette suite est l’exemple parfait de la production enfantine cynique et bâclée, dont l’échec total au box-office est amplement mérité.
Il a réalisé Le Mac, Fiston et Mes Trésors, Pascal Bourdiaux enchaîne avec le second volet de Boule et Bill, l’adaptation de la bande dessinée. Si Franck Dubosc est encore le père de famille, Charlie Langendries remplace Charles Crombez dans le rôle du petit rouquin et Marthilde Seigner succède à Marina Foïs dans le rôle de la mère. Le tournage semble avoir été réalisé dans une ambiance chaleureuse et sans prise de tête. Cela se ressent dans le résultat final car tout est gentil, simplet et surtout sans aucune inspiration. Une franchise qui conviendra aux enfants, mais ennuiera bien vite les adultes. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Suite du premier film du même nom, "Boule & Bill 2" se veut plus ouvert que le précèdent qui était plutôt un spin-off à la bande dessiné. Ici, on retrouvera donc un film utilisant beaucoup plus l'univers original. Personnellement, j'ai trouvé le film de qualité mais un peu comme le premier c'est a dire : bon film de famille mais sans plus. Le film en général est plutôt drôle, bien rythmé et bien filmé (en général). Le film respecte également bien l'univers original de la bande-dessiné que ce soit dans son humour ou que ce soit dans l'écriture de ses personnages. Malgré tout, comme le premier, le film manque d'originalité au niveau de son scénario car si cette histoire, notamment celle de Boule, peut intéresser les enfants, cela doit être plus compliqué quand on passe l’adolescence. Je tiens à terminer, également, par la performance très moyenne des acteurs notamment en ce qui concerne celle des enfants. Même si je comprends la difficulté pour des enfants au cinéma car ce n'est jamais facile, je pense que le texte n'aide en rien à leur jeu. Pour conclure, un bon film mais sans plus.
Ce film est destiné à un public très jeune, les enfants y trouvent leur compte mais les adultes s'ennuient. Le point noir de ce film est l'histoire. Dans les BD on a le côté naïf de l'enfance dans les gags là...non c'est tout simplement nul.
Le scénario tente plutôt de raconter l’histoire du papa de boule, illustre dessinateur, qui la perd et entraine toute la famille dans son délire de recherche de malheur et de tristesse, suite à la demande de sa directrice d’édition qui lui intime d’insuffler dans ses créations plus de dramaturgie et de freiner sa propension trop naïve et bienveillante au bonheur. Il s’en suit une déclinaison de situations, à tendance gaguesque, mais vraiment pas drôle du tout, virant carrément au grotesque jusqu’à s’enfoncer dans le ridicule le plus absolu. Un film, avec des personnages empreints figés ternes et mollassons, à l’image du jeune Charlie inerte et sans convictions, le grotesque inepte et stupide poussé à l’extrême de Dubosc sont totalement révélés. En fait des rôles sur mesure… les enfants ne trouveront ici aucun prétexte à rire ni même à sourire …
« Boule et Bill 2 » est une suite gentillette qui surfe tranquillement sur le demi-succès de son prédécesseur. Il en recycle d'ailleurs la plupart des bonnes idées, ce qui ne surprendra personne puisqu'elles ont d'ores et déjà démontré leur efficacité. Du casting d'origine, il ne reste que Franck Dubosc, qui a décidé de jouer les prolongations pour le plus grand plaisir de ces (quelques) fans (tant pis!). Marina Foïs et Charles Crombez sont malheureusement partis voir ailleurs, mais Mathilde Seigner et Charlie Langendries font de crédibles remplaçants et l'esprit de la bande dessinée est toujours respecté. Petits et grands devraient donc passer un bon moment de convivialité devant ce divertissement, certes peu original, mais qui reste résolument tout public. Pour la partie de mes lecteurs qui se fichent royalement des bons sentiments, je dois quand même préciser que l'ensemble manque sérieusement de « peps » et que mon écran diffuse habituellement des images beaucoup plus stimulantes... Vous êtes prévenus ! Ce film est à réserver à la Fa-mi-lle avec un grand F ! Pour les autres....