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Un visiteur
0,5
Publiée le 17 avril 2017
mais c'est horrible bon allez avec 30 minutes de moins et sans franck dubosc ce serait un bon telefilm. le premier opus était frais la c'est sans intérêt, évitez nous un camping 3
Moins bien que le premier opus et c'est dommage parce que le scénario est mieux que le premier mais on rigole beaucoup moins. De plus, je n'ai pas compris pourquoi Marina Foïs a quitté le projet et a été remplacée par Mathilde Seigner a qui le rôle va moins bien. Dans ce film, le père de Boule pars complètement en vrille et c'est un peu n'importe quoi, c'est sûrement le point fort du film. Après avoir réalisé "Fiston" Pascal Bourdiaux revient avec "Boule et Bill 2" et c'est le bazar dans le film. Je pense qu'il aurait dû s'arrêter au premier film.
Une adaptation avec Franck Dubosc M'incite toujours a passer un moment drôle en famille dans la salle obscure sans se porter au sérieux et pourquoi pas rire de temps en temps devant ses prestations loufoques et déjantés. J'aime bien franck Dubosc car il se prends pas au sérieux quand il faut " etre sèrieux " c'est sa marque de fabrique. Le casting est relevé avec Matilde Seigner alias maman Boule qui semble pourtant ne pas trop se prêté au jeux ici et qui ne met pas tout son talent d'actrice... dommage elle est pourtant doué pour les répliques qui claque...Papa Boule monsieur Dubosc veux pimenté sa vie de bande dessiné, Il y arrive et de ce coté -ci il est doué et vole la vedette de Boule et Bill mème... car si l'idée de fond est plutôt bonne et que la sauce " prends " il aurait fallut creusé un peu plus loin pour avoir un film plus consistant et un peu plus relevé car le film est assez court a mon gout ( 85 minutes ) et je suis rester du coups un peu sur ma faim. Si le film se regarde avec des yeux d'enfant il n'égale pas et même de loin une production comme E.T l'extraterrestre de Spielberg qui avec son casting d'enfant aventurier arrivaient a bousculer une ville entière pour retrouver une créature qui parle, certe ici on a Bill le chien qui dégaine des répliques " canin " du tonnerre a chaque aboiement mais même si souvent sa aboie bien.. parfois c'est ( trop ) prévisible et sa manque de surprise innovantes. Quoi qu'il en soit c'est un bon divertissement ( un peu trop) éphémère qui arrive a faire respecter son cahier des charges; "faire rire les petits et un peu moins les grands" .
une suite sympathique sans excès ni mauvais goût un film court 1h20 pour ne pas en faire trop et n'importe quoi déjà que la trame est menue. rien d'innovant mais un moment sympa en toute décontraction.
Après un premier opus très décevant et sans saveur, Boule et Bill 2 s'annonçait dans la même continuité du long-métrage d'Alexandre Charlot et Frank Magnier. Cette fois réalisée par Pascal Bourdiaux, la suite des aventures du rouquin et de son cocker ne garde que Frank Dubosc dans le rôle du père de Boule, Mathilde Seigner reprenant le rôle de Marina Foïs et Boule passant de Charles Combrez à Charlie Langendries, qui fait ainsi ses débuts au cinéma.
Le premier n'était déjà pas un chef-d'œuvre : quelle raison étrange m'a encouragé à regarder cette suite jugée unanimement mauvaise ? Je n'ai pas de réponse (l'appel du navet?), le précédent faisant presque figure de référence face à celle-ci. L'illusion aura duré quelques minutes, le temps d'être vaguement amusé par le postulat de départ : le père de Boule doit absolument « créer » du malheur dans sa famille afin de répondre aux nouvelles exigences de son éditrice. On sourit ainsi vaguement aux tentatives désespérées de Franck Dubosc devant cet improbable dilemme, avant que la fragilité de l'idée initiale devienne une évidente réalité. Le « blackout » est ainsi total ou presque pendant près d'une heure : soixante (très) longues minutes à enchaîner les gags insipides voire consternants, la pauvreté de la « mise en scène » et les couleurs criardes accentuant une gêne de plus en plus grande, où la relation entre le jeune garçon et son chien est reléguée au troisième plan. C'est souvent lourd, répétitif et sans la moindre imagination, seule la présence de Nora Hamzawi apportant un peu de mauvais esprit dans cet univers désespérément gentillet, le départ de Marina Foïs au profit de Mathilde Seigner ne faisant qu'ajouter à la débâcle générale, et je ne parle même pas de ce choix de « faire parler » les animaux de façon pas du tout synchronisée, sans même chercher à donner l'illusion que c'est le cas : de l'incompétence pure et simple. Une production familiale médiocre et opportuniste qui, après son échec commercial, ne devrait heureusement pas connaître de numéro 3. Il y a parfois une justice.
Le premier volet était d'un ennui mortel, ce second opus est guère plus convaincant. On ne peut pas nier qu'à travers les décors, les costumes et les personnages, le film respecte la bande-dessinée, mais le problème principal vient de l'histoire en elle-même. En effet, l'idée de créer une BD sur le malheur dérive sur quelque chose de complètement idiot, où Franck Dubosc se montre très agaçant à en faire des caisses dans les mimiques avant que Mathilde Seigner ait droit aussi à son quart d'heure raté d'élucubrations, alors qu'à l'école les péripéties avec le nouvel élève modèle et la jeune fille dont Boule est amoureux débouchent sur un sous-Denis La Malice spoiler: (le skatebill, le side-car artisanal, le chewing gum, la tortue) où le chien Bill passe royalement à la trappe spoiler: (sauf au début avec le gag des chiens en laisse) , ce dernier devant se contenter de répliques très bateau à travers une voix-off lourde. Dès lors, l'impression générale que j'ai est que ce film risque de bien abrutir les enfants qui le regarderont. Côté casting, j'ai souligné la médiocrité de Dubosc et Seigner, il faut y ajouter un casting enfantin complètement raté, les gosses surjouent leur ton et leurs réactions. La seule bonne nouvelle de ce film, l'éclair dans le marasme, c'est Nora Hamzawi, bien délirante dans son style caractéristique.
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0,5
Publiée le 23 septembre 2018
Aïe! Dèjà que le premier volet n'ètait pas terrible! C'est le deuxième "Boule et Bill" pour Franck Dubosc qui en a profitè pour changer de femme, de fils et de coiffure! En quatre ans qu'est-ce qu'on peut faire d'autre après tout si ce n'est garder le même chien ? On prend donc ce qu'on vous donne dans cette suite! A savoir Mathilde Seigner, « la Gatineau » de "Camping". Cette suite inutile est loin d'être subtile en s'adressant principalement aux enfants! Et encore pas sûr que le jeune public apprècie Frank Dubosc mettre volontairement du dèsordre dans sa vie de famille! On ne s'attache guère aux personnages et on n'arrive pas à se projeter avec eux! Ok monsieur Pascal Bourdiaux, c'est bien de vouloir faire du cartoon en se la jouant bande-dessinèe mais encore faut-il que ça soit inventif! C'est bien plus drôle chez Jean Roba, et l'apparente incompètence dont tèmoigne l'ensemble dèment totalement les soi-disant promesses que "Boule et Bill 2" est mieux que le premier! Et puis la voix de Manu Payet dans ce film est assez horripilante à entendre...
"Boule & Bill 2" : le deuxième volet des aventures de la famille de Boule est cette fois ci réalisé par Pascal Bourdiaux. Il nous délivre une Comédie bien rythmée et un scénario plutôt destiné aux enfants. Bien qu'ayant apprécié le premier épisode de cette saga, le plus âgé que je suis est resté assez indifférent devant cette aventure assez tristounette. L'histoire, en effet, spoiler: délaisse volontairement les gags pour s'orienter vers une étude sur le rapport entre le bonheur et la créativité ; sujet hautement intéressant mais beaucoup moins enthousiasmant.
Le scénario est faible, l'acting est peu suffisant, les vannes sont rares et peu drôles ! Les bruitages et les effets spéciaux sont tellement dans la caricature que ça en devient gênant !
On change de réalisateur pour cette suite des aventures de boule et bill. Et on y gagne au change grave à des répliques de Franck dubosc beaucoup plus drôle que sur son prédécesseur. Néanmoins , l'histoire reste le gros point négative de ce film.