Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
Avec "La madre", l’espagnol Alberto Morais offre une variation brillante sur le thème de l’enfance malheureuse.
Libération
par Jérémy Piette
Le portrait farouche et agité du bambin qui porte tout ce qu’on lui a légué tend ses biceps pour nous secouer hors de nos méfiances anticipées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un film social made in Spain qui pourrait donner des leçons de maintien et de rigueur au cinéma français parfois emberlificoté dans la psychologie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le film reste sous influences (on pense aux frères Dardenne ou à " Une mère ", de Christine Carrière), la résistance de son héros face au déterminisme social et la rage d'exécution de la mise en scène lui confèrent de la pugnacité et de l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Jacques-Antoine Maisonobe
“La Madre” aborde le thème de l’abandon en inversant le rôle parent/enfant : un film initiatique sobre et délicat, qui traine parfois en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Certes, on peut déplorer qu’à force de rigueur et de retenue, d’absence presque totale de moments de grâce et de lâcher-prise, de refus d’une forme de rédemption quelconque, le film paraisse à la longue monocorde, voire rebutant. Mais un mélodrame en creux, fondé sur la rétention, recèle une part de mystère qui reste préférable à toutes les dégoulinades lyriques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Michel Ciment
Des accords de guitare accompagnent ce récit minimaliste, dont on retiendra surtout l’interprétation du jeune Javier Mendo qui compose un personnage d’enfant buté, sensible et animé par une farouche volonté de vivre.
Télérama
par Jacques Morice
Montage nerveux, ellipses tranchantes : le réalisateur espagnol a un certain talent pour maintenir la tension. Mais la mise en scène est un brin systématique et le scénario un peu mince. C'est d'autant plus regrettable que le jeune interprète, Javier Mendo, ado sans sourire, est formidable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabien Reyre
L’intention est louable, le résultat à l’écran est nettement moins enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film d’Alberto Morais s’inspire du cinéma des frères Dardenne sans en atteindre la puissance mélodramatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Transfuge
Avec "La madre", l’espagnol Alberto Morais offre une variation brillante sur le thème de l’enfance malheureuse.
Libération
Le portrait farouche et agité du bambin qui porte tout ce qu’on lui a légué tend ses biceps pour nous secouer hors de nos méfiances anticipées.
L'Humanité
Un film social made in Spain qui pourrait donner des leçons de maintien et de rigueur au cinéma français parfois emberlificoté dans la psychologie.
L'Obs
Si le film reste sous influences (on pense aux frères Dardenne ou à " Une mère ", de Christine Carrière), la résistance de son héros face au déterminisme social et la rage d'exécution de la mise en scène lui confèrent de la pugnacité et de l'émotion.
Les Fiches du Cinéma
“La Madre” aborde le thème de l’abandon en inversant le rôle parent/enfant : un film initiatique sobre et délicat, qui traine parfois en longueur.
Les Inrockuptibles
Certes, on peut déplorer qu’à force de rigueur et de retenue, d’absence presque totale de moments de grâce et de lâcher-prise, de refus d’une forme de rédemption quelconque, le film paraisse à la longue monocorde, voire rebutant. Mais un mélodrame en creux, fondé sur la rétention, recèle une part de mystère qui reste préférable à toutes les dégoulinades lyriques.
Positif
Des accords de guitare accompagnent ce récit minimaliste, dont on retiendra surtout l’interprétation du jeune Javier Mendo qui compose un personnage d’enfant buté, sensible et animé par une farouche volonté de vivre.
Télérama
Montage nerveux, ellipses tranchantes : le réalisateur espagnol a un certain talent pour maintenir la tension. Mais la mise en scène est un brin systématique et le scénario un peu mince. C'est d'autant plus regrettable que le jeune interprète, Javier Mendo, ado sans sourire, est formidable.
Critikat.com
L’intention est louable, le résultat à l’écran est nettement moins enthousiasmant.
Le Monde
Le film d’Alberto Morais s’inspire du cinéma des frères Dardenne sans en atteindre la puissance mélodramatique.