Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Transfuge
par Sidy Sakho
Du grand cinéma humaniste.
Critikat.com
par Jérôme Provençal
Si le réel que reflète "Des rêves sans étoiles" est loin d’être gai, le film parvient néanmoins à n’être ni sinistre ni accablant car Mehrdad Oskouei a su trouver la juste distance pour appréhender ce réel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En les regardant dans les yeux, en leur laissant raconter leur histoire dans sa complétude tragique, Mehrdad Oskouei tient à distance tout apitoiement et voyeurisme. Et rend à ces jeunes filles un peu de cette liberté perdue et de cette dignité proscrite puisqu'elles sont nées femmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Le film évite les écueils du documentaire à sensation, ou à visée politique, et nous donne à voir les joies et les peines d’adolescentes à la dérive. Un film bouleversant.
Libération
par Marcos Uzal
Un docu juste et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
(...) un sujet choc, qui chahute nombre de stéréotypes. C'est aussi un sujet douloureux, qui peut vite sidérer les spectateurs, oscillant de maltraitances physiques en violences sociales. On retrouve tout cela dans le nouvel ouvrage du documentariste iranien Mehrdad Oskouei. Et, mieux encore, une forme d'intimité et de justesse, d'autant plus saisissante que son film ne dure que 1h16.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Un instantané captivant sur de jeunes détenues iraniennes.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Grâce à ce jeu collectif, teinté de souffrance mais aussi d’humour, le film – dont la géographie à la Wiseman se construit sur une clôture spatiale – dépasse le topos de l’enfermement pour devenir un lieu protecteur de solidarité, au seuil d’un nouvel affrontement avec le monde.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sensation étrange que ces filles maltraitées, révoltées, atteignent avec leur liberté de langage une vérité rarement entendue sur l’état de la société iranienne.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Au gré de confidences souvent terribles, Oskouei fait le constat glaçant que la liberté regagnée se trouve aussi parfois derrière les barreaux. Du vrai cinéma vérité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Nicolas Didier
Pour approcher cette souffrance qui « suinte des murs » (selon une détenue), le cinéaste choisit de montrer la complicité et les jeux, et il instaure une forme de distanciation quand les jeunes femmes racontent leur parcours par le truchement de marionnettes ou s’amusent à s’interviewer… La prison devient, paradoxalement, un refuge face aux horreurs du monde extérieur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
Du grand cinéma humaniste.
Critikat.com
Si le réel que reflète "Des rêves sans étoiles" est loin d’être gai, le film parvient néanmoins à n’être ni sinistre ni accablant car Mehrdad Oskouei a su trouver la juste distance pour appréhender ce réel.
L'Obs
En les regardant dans les yeux, en leur laissant raconter leur histoire dans sa complétude tragique, Mehrdad Oskouei tient à distance tout apitoiement et voyeurisme. Et rend à ces jeunes filles un peu de cette liberté perdue et de cette dignité proscrite puisqu'elles sont nées femmes.
Les Fiches du Cinéma
Le film évite les écueils du documentaire à sensation, ou à visée politique, et nous donne à voir les joies et les peines d’adolescentes à la dérive. Un film bouleversant.
Libération
Un docu juste et sensible.
Positif
(...) un sujet choc, qui chahute nombre de stéréotypes. C'est aussi un sujet douloureux, qui peut vite sidérer les spectateurs, oscillant de maltraitances physiques en violences sociales. On retrouve tout cela dans le nouvel ouvrage du documentariste iranien Mehrdad Oskouei. Et, mieux encore, une forme d'intimité et de justesse, d'autant plus saisissante que son film ne dure que 1h16.
Studio Ciné Live
Un instantané captivant sur de jeunes détenues iraniennes.
Cahiers du Cinéma
Grâce à ce jeu collectif, teinté de souffrance mais aussi d’humour, le film – dont la géographie à la Wiseman se construit sur une clôture spatiale – dépasse le topos de l’enfermement pour devenir un lieu protecteur de solidarité, au seuil d’un nouvel affrontement avec le monde.
Le Monde
Sensation étrange que ces filles maltraitées, révoltées, atteignent avec leur liberté de langage une vérité rarement entendue sur l’état de la société iranienne.
Paris Match
Au gré de confidences souvent terribles, Oskouei fait le constat glaçant que la liberté regagnée se trouve aussi parfois derrière les barreaux. Du vrai cinéma vérité.
Télérama
Pour approcher cette souffrance qui « suinte des murs » (selon une détenue), le cinéaste choisit de montrer la complicité et les jeux, et il instaure une forme de distanciation quand les jeunes femmes racontent leur parcours par le truchement de marionnettes ou s’amusent à s’interviewer… La prison devient, paradoxalement, un refuge face aux horreurs du monde extérieur.