Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Passion" est un magnifique film de recherches de l’expression juste, une expérimentation continue des moyens pour parvenir à enregistrer à travers l’usage des mots toutes les strates de l’existence.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La sortie de Passion permet d’y voir un peu plus clair dans le projet de Ryusuke Hamaguchi.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Tranquille et envoûtant, comme un bon roman nippon.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela démarre comme un jeu de rôles (les amants changent de partenaire, presque par provocation), pour aboutir à des situations plus graves et à une étude subtile de la relation amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film sur les passions troubles, tout en tension sourde et en perfidie, remarquablement orchestré. Bergman n’est pas loin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une radiographie du coeur. Simple et complexe, douce et cruelle.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Plus de dix ans après sa sortie au Japon, le premier film du réalisateur japonais de Senses est projeté hors Festival. Il délabyrinthe subtilement le sentiment amoureux dans un groupe d’amis.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Hamaguchi, moins moraliste que thérapeute, ne déconstruit le lien amoureux que pour mieux le réparer. S’il ne décèle en lui qu’incertitude et hésitation, ce n’est pas pour le brocarder, mais pour l’exempter de toute illusion holistique
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
S'il est évident qu'il ne sait pas encore très bien où poser sa caméra et que les axes ont tendance à se multiplier de façon un peu vaine, l'infinie attention accordée aux regards, aux gestes, aux paroles et à ce qu'ils traduisent des états émotionnels tourmentés de ses personnages impressionne déjà.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
En dehors des qualités propres à ce film, il y a quelque chose de fascinant à découvrir un objet antérieur à cette expérience, et rassembler ainsi les morceaux d’un puzzle qui composerait la formation d’un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
Tout est déjà là : la force de la mise en scène, une interprétation au charme évident et un scénario qui ausculte le sentiment amoureux.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur de «Senses» a vraiment un don pour retranscrire le tremblement des moments de vie décisifs, quand on déclare sa flamme au petit matin à celle que l'on a toujours aimé, sans autre véritable espoir qu'une tendre étreinte.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Geneix
Avant "Senses", et aux lumières d'un numérique qui nécessairement tâtonne, Hamaguchi sondait déjà quelques fébrilités socio-sentimentales de son temps et d'un pays qui formate le corps, ce vital outil dramatique et visuel.
Première
par Thomas Baurez
Tout est déjà là : la force d’une mise en scène dont la précision aussi invisible qu’implacable empêche les personnages de se dérober, une interprétation sans apprêt au charme évident et un scénario ludique qui épuise chaque situation pour mieux la renverser ou éprouver la solidité des émotions qui s’y rattachent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Sous l'influence d'Eric Rohmer, la chronique amoureuse oscille entre grâce et beauté.
Télérama
par Louis Guichard
Même s’il manque encore cette dimension quasi cosmique que le réalisateur a su donner, ensuite, à ses histoires intimistes, cet opus de jeunesse mérite d’être découvert, héritier lointain de certains films d’Arnaud Desplechin ou de Philippe Garrel, bref, des meilleures éducations sentimentales au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une fable moderne et sociale, bavarde à la façon de tous les films de Ryusuke Hamaguchi, qui raconte avec humour et délicatesse, les chassés-croisés d’une génération de trentenaires japonais et qui parvient à échapper au risque de l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Bien qu’un peu inégal, ce premier film confirme l’intérêt d’un cinéma à la fois joueur et minutieux dans sa manière de sonder les nuances des liens sentimentaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le cinéaste de l’intime, dans l’apprentissage de sa maturité, signe un mélodrame qui ausculte les discussions entre les différents personnages, une démarche un peu théorique et démonstrative qui n’évite pas les longueurs et manque hélas d’émotion.
Transfuge
"Passion" est un magnifique film de recherches de l’expression juste, une expérimentation continue des moyens pour parvenir à enregistrer à travers l’usage des mots toutes les strates de l’existence.
Cahiers du Cinéma
La sortie de Passion permet d’y voir un peu plus clair dans le projet de Ryusuke Hamaguchi.
Femme Actuelle
Tranquille et envoûtant, comme un bon roman nippon.
L'Humanité
Cela démarre comme un jeu de rôles (les amants changent de partenaire, presque par provocation), pour aboutir à des situations plus graves et à une étude subtile de la relation amoureuse.
L'Obs
Un film sur les passions troubles, tout en tension sourde et en perfidie, remarquablement orchestré. Bergman n’est pas loin.
Le Dauphiné Libéré
Une radiographie du coeur. Simple et complexe, douce et cruelle.
Le Figaro
Plus de dix ans après sa sortie au Japon, le premier film du réalisateur japonais de Senses est projeté hors Festival. Il délabyrinthe subtilement le sentiment amoureux dans un groupe d’amis.
Le Monde
Hamaguchi, moins moraliste que thérapeute, ne déconstruit le lien amoureux que pour mieux le réparer. S’il ne décèle en lui qu’incertitude et hésitation, ce n’est pas pour le brocarder, mais pour l’exempter de toute illusion holistique
Les Inrockuptibles
S'il est évident qu'il ne sait pas encore très bien où poser sa caméra et que les axes ont tendance à se multiplier de façon un peu vaine, l'infinie attention accordée aux regards, aux gestes, aux paroles et à ce qu'ils traduisent des états émotionnels tourmentés de ses personnages impressionne déjà.
Libération
En dehors des qualités propres à ce film, il y a quelque chose de fascinant à découvrir un objet antérieur à cette expérience, et rassembler ainsi les morceaux d’un puzzle qui composerait la formation d’un grand cinéaste.
Ouest France
Tout est déjà là : la force de la mise en scène, une interprétation au charme évident et un scénario qui ausculte le sentiment amoureux.
Paris Match
Le réalisateur de «Senses» a vraiment un don pour retranscrire le tremblement des moments de vie décisifs, quand on déclare sa flamme au petit matin à celle que l'on a toujours aimé, sans autre véritable espoir qu'une tendre étreinte.
Positif
Avant "Senses", et aux lumières d'un numérique qui nécessairement tâtonne, Hamaguchi sondait déjà quelques fébrilités socio-sentimentales de son temps et d'un pays qui formate le corps, ce vital outil dramatique et visuel.
Première
Tout est déjà là : la force d’une mise en scène dont la précision aussi invisible qu’implacable empêche les personnages de se dérober, une interprétation sans apprêt au charme évident et un scénario ludique qui épuise chaque situation pour mieux la renverser ou éprouver la solidité des émotions qui s’y rattachent.
Télé Loisirs
Sous l'influence d'Eric Rohmer, la chronique amoureuse oscille entre grâce et beauté.
Télérama
Même s’il manque encore cette dimension quasi cosmique que le réalisateur a su donner, ensuite, à ses histoires intimistes, cet opus de jeunesse mérite d’être découvert, héritier lointain de certains films d’Arnaud Desplechin ou de Philippe Garrel, bref, des meilleures éducations sentimentales au cinéma.
aVoir-aLire.com
Une fable moderne et sociale, bavarde à la façon de tous les films de Ryusuke Hamaguchi, qui raconte avec humour et délicatesse, les chassés-croisés d’une génération de trentenaires japonais et qui parvient à échapper au risque de l’ennui.
Critikat.com
Bien qu’un peu inégal, ce premier film confirme l’intérêt d’un cinéma à la fois joueur et minutieux dans sa manière de sonder les nuances des liens sentimentaux.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste de l’intime, dans l’apprentissage de sa maturité, signe un mélodrame qui ausculte les discussions entre les différents personnages, une démarche un peu théorique et démonstrative qui n’évite pas les longueurs et manque hélas d’émotion.