Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Isabelle Huppert ressemble alors à une boule de feu très cartoonesque, dans un dessin à la naïveté assumée qui contraste avec les effets dévastateurs - montrés pour le coup de façon très prosaïque - que ce corps ardent, en se détachant du fond de la nuit, provoque dans l’espace du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Héléna Villovitch
Tel un alchimiste du cinéma, Serge Bezon utilise des effets spéciaux simplissimes pour un résultat étincelant ! Un trésor.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
S’il est bien quelque chose qu’on ne peut dénier au cinéma de Serge Bozon, (...) c’est son originalité, et même son originalité humoristique (...) rien ni personne n’est banal, convenu, “cliché” dans Madame Hyde. Et pourtant tout est vraisemblable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Un film politique, fantastique, extatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Fable sur la transmission, vision politique de l’école, le film se charge, non sans à-propos, de mystère, de violence, d’inquiétude.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Madame Hyde est une héroïne burlesque, mise en en scène avec un sérieux de potache jubilatoire.
L'Humanité
par Emile Breton
Soit une œuvre qui sait révéler sa richesse, sans esbroufe. Le filmage est frontal : un décor typé, de la salle de cours froide au noir profond d’un bosquet, antichambre pour le mystère au pied d’une banale cité, des personnages comme pris sur le vif. On est dans le quotidien. Et dans l’indicible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, alors, devient tout simplement magnifique. Il se permet des scènes pédagogiques et intellectuelles en temps réel, qui éloignent paradoxalement du petit théâtre naturaliste de l’école.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Serge Bozon poursuit dans la lignée d’un cinéma fait de ruptures de ton, à la fois comique et malaisant, et signe un film épatant sur la transmission.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Petite créature criarde et fébrile, surfemme luminescente ou bien enseignante à l’agonie, livrant héroïquement son cours, Isabelle Huppert est épatante à travers ses avatars. Elle participe activement à la réussite de cette fiction géométrique riche de déraillements, magique comme un prototype.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie loufoque à l'humour radioactif dans un grand numéro de one Huppert show.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le réalisateur Serge Bozon et Isabelle Huppert se réunissent à nouveau au sein d’une comédie décapante et mordante, qui consolide l’approche douce-dingue des deux collaborateurs, dans un style et un ton frappés qui ne plaira qu’aux esprits lunaires.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Comédie sociale, qui peut compter sur le talent caméléon d’Huppert, "Madame Hyde" propose une réflexion intéressante sur les banlieues.
L'Obs
par Elisabeth Philippe
S'inspirant librement du roman de Stevenson "l'Etrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde", Serge Bozon ("Tip Top") signe une fable hyper-stylisée sur l'éducation, aussi absurde qu'inquiétante. Mention spéciale à Romain Duris, qui campe un proviseur abruti avec des éclairs de génie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Il faut bien un peu de magie, semble nous dire le réalisateur, pour parvenir à bout de tels problèmes. Et quel professeur n’a pas rêvé de disposer de superpouvoirs pour transformer l’hostilité ou l’indifférence de ses élèves en intérêt ? C’est tout le charme de ce film aux effets spéciaux bricolés dans lequel Isabelle Huppert est utilisée à contre-emploi dans le rôle de cette femme timide et peu sûre d’elle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Très décalé et presque désinvolte dans sa manière de développer son argument fantastique – la métamorphose de Mme Géquil en super prof –, le film a aussi un côté abstrait et didactique – la didactique étant peut-être son vrai sujet fantastique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Derrière les effets artisanaux (assez inutiles) et la métaphore lumineuse quelque peu appuyée, l’auteur de « Tip Top » saisit des moments justes sur les enjeux de l’apprentissage et la façon dont chacun, adultes ou mineurs, tâche de s’approprier le pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Nathalie Dassa
(...) oeuvre souvent bizarre, inégale et désarticulée, mais qui ne manque pas d’humour.
La Voix du Nord
par La Rédaction
Film OVNI, certainement. Mais un peu prétentieux, derrière les oripeaux trop pratiques de la naïveté décalée.
Le Parisien
par La Rédaction
Il y a quelques idées lumineuses dans cette "Madame Hyde". Comme celle d’avoir glissé Isabelle Huppert dans le rôle d’une prof de physique gauche et enfantine (...). Mais si elle nous arrache quelques rires, cette comédie fantastique dans laquelle Madame Géquil, prof dans un lycée de banlieue, acquiert de curieux pouvoirs après avoir été foudroyée, nous déroute et finit par nous ennuyer carrément.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Malheureusement, il faut un trousseau de clés pour entrer dans cet univers absurde où le décalage finit trop souvent par sonner faux, dans le surjeu constant, sans finalement rien raconter.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier De Bruyn
Prévisible en diable, "Madame Hyde", incarné par des acteurs renommés et en roue libre (Isabelle Huppert, Romain Duris, José Garcia), enchantera les fans du cinéaste et laissera les autres de marbre. Tristement sans surprise.
Le Figaro
par La Rédaction
Romain Duris en proviseur à mèche et José Garcia en «homme au foyer» amusent deux minutes. Le reste est aussi excitant qu'une dernière heure de cours un vendredi après-midi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On n’en attendait pas tant : s’il a la bonne idée de situer l’intrigue dans un lycée, sa comédie n’a de fantastique que le genre et vire au grand n’importe quoi. Avec des effets visuels démodés et ratés, des démonstrations scientifiques incompréhensibles.
Première
par Sylvestre Picard
On accroche ou pas, mais le film est objectivement difficile à voir, avec une Isabelle Huppert somnambulique, ses effets spéciaux « réalistes » et son discours in fine très classique sur l'importance des études.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Isabelle Huppert ressemble alors à une boule de feu très cartoonesque, dans un dessin à la naïveté assumée qui contraste avec les effets dévastateurs - montrés pour le coup de façon très prosaïque - que ce corps ardent, en se détachant du fond de la nuit, provoque dans l’espace du cadre.
Elle
Tel un alchimiste du cinéma, Serge Bezon utilise des effets spéciaux simplissimes pour un résultat étincelant ! Un trésor.
Les Inrockuptibles
S’il est bien quelque chose qu’on ne peut dénier au cinéma de Serge Bozon, (...) c’est son originalité, et même son originalité humoristique (...) rien ni personne n’est banal, convenu, “cliché” dans Madame Hyde. Et pourtant tout est vraisemblable.
Libération
Un film politique, fantastique, extatique.
Cahiers du Cinéma
Fable sur la transmission, vision politique de l’école, le film se charge, non sans à-propos, de mystère, de violence, d’inquiétude.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Madame Hyde est une héroïne burlesque, mise en en scène avec un sérieux de potache jubilatoire.
L'Humanité
Soit une œuvre qui sait révéler sa richesse, sans esbroufe. Le filmage est frontal : un décor typé, de la salle de cours froide au noir profond d’un bosquet, antichambre pour le mystère au pied d’une banale cité, des personnages comme pris sur le vif. On est dans le quotidien. Et dans l’indicible.
Le Monde
Le film, alors, devient tout simplement magnifique. Il se permet des scènes pédagogiques et intellectuelles en temps réel, qui éloignent paradoxalement du petit théâtre naturaliste de l’école.
Les Fiches du Cinéma
Serge Bozon poursuit dans la lignée d’un cinéma fait de ruptures de ton, à la fois comique et malaisant, et signe un film épatant sur la transmission.
Télérama
Petite créature criarde et fébrile, surfemme luminescente ou bien enseignante à l’agonie, livrant héroïquement son cours, Isabelle Huppert est épatante à travers ses avatars. Elle participe activement à la réussite de cette fiction géométrique riche de déraillements, magique comme un prototype.
Voici
Une comédie loufoque à l'humour radioactif dans un grand numéro de one Huppert show.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur Serge Bozon et Isabelle Huppert se réunissent à nouveau au sein d’une comédie décapante et mordante, qui consolide l’approche douce-dingue des deux collaborateurs, dans un style et un ton frappés qui ne plaira qu’aux esprits lunaires.
CNews
Comédie sociale, qui peut compter sur le talent caméléon d’Huppert, "Madame Hyde" propose une réflexion intéressante sur les banlieues.
L'Obs
S'inspirant librement du roman de Stevenson "l'Etrange cas du Dr Jekyll et M. Hyde", Serge Bozon ("Tip Top") signe une fable hyper-stylisée sur l'éducation, aussi absurde qu'inquiétante. Mention spéciale à Romain Duris, qui campe un proviseur abruti avec des éclairs de génie.
La Croix
Il faut bien un peu de magie, semble nous dire le réalisateur, pour parvenir à bout de tels problèmes. Et quel professeur n’a pas rêvé de disposer de superpouvoirs pour transformer l’hostilité ou l’indifférence de ses élèves en intérêt ? C’est tout le charme de ce film aux effets spéciaux bricolés dans lequel Isabelle Huppert est utilisée à contre-emploi dans le rôle de cette femme timide et peu sûre d’elle.
La Septième Obsession
Très décalé et presque désinvolte dans sa manière de développer son argument fantastique – la métamorphose de Mme Géquil en super prof –, le film a aussi un côté abstrait et didactique – la didactique étant peut-être son vrai sujet fantastique.
Sud Ouest
Derrière les effets artisanaux (assez inutiles) et la métaphore lumineuse quelque peu appuyée, l’auteur de « Tip Top » saisit des moments justes sur les enjeux de l’apprentissage et la façon dont chacun, adultes ou mineurs, tâche de s’approprier le pouvoir.
Transfuge
(...) oeuvre souvent bizarre, inégale et désarticulée, mais qui ne manque pas d’humour.
La Voix du Nord
Film OVNI, certainement. Mais un peu prétentieux, derrière les oripeaux trop pratiques de la naïveté décalée.
Le Parisien
Il y a quelques idées lumineuses dans cette "Madame Hyde". Comme celle d’avoir glissé Isabelle Huppert dans le rôle d’une prof de physique gauche et enfantine (...). Mais si elle nous arrache quelques rires, cette comédie fantastique dans laquelle Madame Géquil, prof dans un lycée de banlieue, acquiert de curieux pouvoirs après avoir été foudroyée, nous déroute et finit par nous ennuyer carrément.
Paris Match
Malheureusement, il faut un trousseau de clés pour entrer dans cet univers absurde où le décalage finit trop souvent par sonner faux, dans le surjeu constant, sans finalement rien raconter.
Positif
Prévisible en diable, "Madame Hyde", incarné par des acteurs renommés et en roue libre (Isabelle Huppert, Romain Duris, José Garcia), enchantera les fans du cinéaste et laissera les autres de marbre. Tristement sans surprise.
Le Figaro
Romain Duris en proviseur à mèche et José Garcia en «homme au foyer» amusent deux minutes. Le reste est aussi excitant qu'une dernière heure de cours un vendredi après-midi.
Le Journal du Dimanche
On n’en attendait pas tant : s’il a la bonne idée de situer l’intrigue dans un lycée, sa comédie n’a de fantastique que le genre et vire au grand n’importe quoi. Avec des effets visuels démodés et ratés, des démonstrations scientifiques incompréhensibles.
Première
On accroche ou pas, mais le film est objectivement difficile à voir, avec une Isabelle Huppert somnambulique, ses effets spéciaux « réalistes » et son discours in fine très classique sur l'importance des études.