Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(Un) documentaire passionnant (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Renaud Baronian
Une ode au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Drôle et bouleversant.
Bande à part
par Greg Lauert
On entre dans Nothingwood avec l’idée de rire de ce cinéaste maladroit, presque ridicule, imbu de son art et de son aura. Mais très vite, le jusqu’au-boutisme séduit et la foi l’emporte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Sonia Kronlund parvient à réaliser un film assez vertigineux sur l’éternel désir de fiction des hommes et l’inconscience nécessaire pour l’assouvir.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Drôle, éminemment optimiste dans un pays laminé par la guerre depuis des lustres, "Nothingwood" est une leçon de passion du cinéma, la résistance d'un esprit libre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Proche du 7e art mais ayant surtout travaillé dans le registre du documentaire sonore, bonne connaisseuse de l’Iran et de l’Afghanistan, l’auteur de Nothingwood esquisse un portrait à la fois drôle et tragique, mêlant avec une force incontestable le dérisoire et l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un regard amusé et non dénué de tendresse pour un personnage cocasse, dans un pays en guerre montré sous un jour inattendu, et pour le cinéma fauché, de série Z, qui s’y tourne quand même.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Salim Shaheen compte près de 110 films de série Z dans son curriculum vitae. Débonnaire, râleur, corpulence d'un bon vivant, il joue, chante et se déhanche devant l'objectif avec un plaisir évident. Plaisir partagé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Comme le montre Sonia Kronlund dans son passionnant documentaire, rien n’arrête la caméra de Shaheen. Exubérant, généreux, dictatorial, celui qui aime à mettre en scène sa légende amadoue même les talibans, qui avouent regarder ses œuvres en douce.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Cet admirable documentaire, plein de drôlerie, de tendresse et de gravité, nous révèle un personnage inspiré, truculent et inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Sonia Kronlund et Salim Shaheen, chacun étant le double de l’autre, cherchent l’intéressant à l’état pur, et ils le trouvent à chaque pas : là où il suffit de bien savoir raconter les histoires pour qu’elles prennent une place dans le réel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Présenté à la dernière Quinzaine des réalisateurs, le documentaire de Sonia Kronlund consacré à la star du cinéma afghan Salim Shaheen est une formidable leçon d'espoir et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jérémie Couston
C'est aussi un cinéma guérilla, tourné avec les moyens du bord, dans des terrains vagues ou au beau milieu de la campagne, où Salim Shaheen débarque avec sa clique en racontant, à chaque fois, que sa mère vient du village en question, pour se mettre les habitants dans la poche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Ariane Allard
Vient un moment où l'on aimerait qu'un brin de profondeur - et de vérité - succède à cette gesticulation permanente. Bref, que Salim le bonimenteur accepte d'ôter (un peu) son masque. Il permettrait, alors, au film de Sonia Kronlund de décoller tout à fait.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Malheureusement, ces anecdotes sont éparses et l’on reste sur sa faim, tant la réalisatrice a ici manqué une occasion d’évoquer les façons dont la création s’adapte et survit dans des contextes à la fois hostiles et instables.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
(Un) documentaire passionnant (...).
Le Parisien
Une ode au cinéma.
Ouest France
Drôle et bouleversant.
Bande à part
On entre dans Nothingwood avec l’idée de rire de ce cinéaste maladroit, presque ridicule, imbu de son art et de son aura. Mais très vite, le jusqu’au-boutisme séduit et la foi l’emporte.
Cahiers du Cinéma
Sonia Kronlund parvient à réaliser un film assez vertigineux sur l’éternel désir de fiction des hommes et l’inconscience nécessaire pour l’assouvir.
Franceinfo Culture
Drôle, éminemment optimiste dans un pays laminé par la guerre depuis des lustres, "Nothingwood" est une leçon de passion du cinéma, la résistance d'un esprit libre.
La Croix
Proche du 7e art mais ayant surtout travaillé dans le registre du documentaire sonore, bonne connaisseuse de l’Iran et de l’Afghanistan, l’auteur de Nothingwood esquisse un portrait à la fois drôle et tragique, mêlant avec une force incontestable le dérisoire et l’essentiel.
Le Dauphiné Libéré
Un regard amusé et non dénué de tendresse pour un personnage cocasse, dans un pays en guerre montré sous un jour inattendu, et pour le cinéma fauché, de série Z, qui s’y tourne quand même.
Le Figaro
Salim Shaheen compte près de 110 films de série Z dans son curriculum vitae. Débonnaire, râleur, corpulence d'un bon vivant, il joue, chante et se déhanche devant l'objectif avec un plaisir évident. Plaisir partagé.
Le Journal du Dimanche
Comme le montre Sonia Kronlund dans son passionnant documentaire, rien n’arrête la caméra de Shaheen. Exubérant, généreux, dictatorial, celui qui aime à mettre en scène sa légende amadoue même les talibans, qui avouent regarder ses œuvres en douce.
Les Fiches du Cinéma
Cet admirable documentaire, plein de drôlerie, de tendresse et de gravité, nous révèle un personnage inspiré, truculent et inoubliable.
Libération
Sonia Kronlund et Salim Shaheen, chacun étant le double de l’autre, cherchent l’intéressant à l’état pur, et ils le trouvent à chaque pas : là où il suffit de bien savoir raconter les histoires pour qu’elles prennent une place dans le réel.
Paris Match
Présenté à la dernière Quinzaine des réalisateurs, le documentaire de Sonia Kronlund consacré à la star du cinéma afghan Salim Shaheen est une formidable leçon d'espoir et de cinéma.
Télérama
C'est aussi un cinéma guérilla, tourné avec les moyens du bord, dans des terrains vagues ou au beau milieu de la campagne, où Salim Shaheen débarque avec sa clique en racontant, à chaque fois, que sa mère vient du village en question, pour se mettre les habitants dans la poche.
Positif
Vient un moment où l'on aimerait qu'un brin de profondeur - et de vérité - succède à cette gesticulation permanente. Bref, que Salim le bonimenteur accepte d'ôter (un peu) son masque. Il permettrait, alors, au film de Sonia Kronlund de décoller tout à fait.
Critikat.com
Malheureusement, ces anecdotes sont éparses et l’on reste sur sa faim, tant la réalisatrice a ici manqué une occasion d’évoquer les façons dont la création s’adapte et survit dans des contextes à la fois hostiles et instables.