Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Le film de Dominique Choisy est l'héritier d'un certain esprit français, de ces fantaisies enjouées auxquelles se plaisaient les romans classiques et baroques, où dans un décor de convention, délibérément artificiel, les mystères du coeur, les oscillations des affections, étaient sondés, captés, sur un mode gracieux, ludique.
Bande à part
par Isabelle Danel
Une fable joyeuse et libre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
S'inscrivant dans une tradition très française, Dominique Choisy livre une fantaisie gourmande et généreuse qui s'habille de légèreté pour mieux toucher au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après le plus sombre mais déjà enthousiasmant "les Fraises de bois" (2012), Dominique Choisy orchestre avec élégance cette comédie des sentiments cocasse et mélancolique, où les comédiens ne forcent jamais le trait et préservent l'humanité cabossée de leur personnage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Sophie Pujas
Une comédie lunaire et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Une comédie vaudevillesque sans prétention, à la fois douce et folle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Gilles Renault
[...] ce badinage existentiel, aimable chassé-croisé queer dans un écosystème cafardeux dont la fréquentation va pourtant se révéler curieusement réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un délice d’espiègleries, dans une Normandie de cinéphilie décalée, qui convoque Rohmer, Mouret, et des icônes du cinéma indépendant français des années 90, comme la formidable Nathalie Richard. On ne boude pas son plaisir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Murielle Joudet
Une comédie qui bascule dans la fantaisie tout en évitant l'écueil d'une loufoquerie qui tournerait à vide.
Positif
par Nicolas Bauche
Sans déplaire, le long métrage de Dominique Choisy pêche ainsi par défaut d'une écriture travaillée et se perd vite dans l'exploration tragicomique de sentiments qui glissent un peu sur nous sans forger un coeur palpitant de cinéma.
Télérama
par Isabelle Poitte
Le cinéma irrigue la vie, et vice versa, dans ces pérégrinations ponctuées de dialogues savoureux, entre trivialité et absurde. Comme son personnage, le film avance, hélas, avec une forme de détachement qui tient à distance de l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà des références cinéphiles (voir le titre), cela n’a ni la vivacité de Demy ni la rouerie de Rohmer. Plus indolent qu’insolent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Christophe Narbonne
Du Blier en mode mineur (plutôt du Serge Bozon, donc) dont Ma vie avec James Dean est un exemple raté avec ses dialogues décalés qui tombent à plat, ses histoires d’amour caricaturales et ses situations un peu ringardes -les filatures où tout le monde se suit sans discrétion, hum.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
Le film de Dominique Choisy est l'héritier d'un certain esprit français, de ces fantaisies enjouées auxquelles se plaisaient les romans classiques et baroques, où dans un décor de convention, délibérément artificiel, les mystères du coeur, les oscillations des affections, étaient sondés, captés, sur un mode gracieux, ludique.
Bande à part
Une fable joyeuse et libre.
Culturopoing.com
S'inscrivant dans une tradition très française, Dominique Choisy livre une fantaisie gourmande et généreuse qui s'habille de légèreté pour mieux toucher au cœur.
L'Obs
Après le plus sombre mais déjà enthousiasmant "les Fraises de bois" (2012), Dominique Choisy orchestre avec élégance cette comédie des sentiments cocasse et mélancolique, où les comédiens ne forcent jamais le trait et préservent l'humanité cabossée de leur personnage.
Le Point
Une comédie lunaire et tendre.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie vaudevillesque sans prétention, à la fois douce et folle.
Libération
[...] ce badinage existentiel, aimable chassé-croisé queer dans un écosystème cafardeux dont la fréquentation va pourtant se révéler curieusement réjouissante.
aVoir-aLire.com
Un délice d’espiègleries, dans une Normandie de cinéphilie décalée, qui convoque Rohmer, Mouret, et des icônes du cinéma indépendant français des années 90, comme la formidable Nathalie Richard. On ne boude pas son plaisir.
Le Monde
Une comédie qui bascule dans la fantaisie tout en évitant l'écueil d'une loufoquerie qui tournerait à vide.
Positif
Sans déplaire, le long métrage de Dominique Choisy pêche ainsi par défaut d'une écriture travaillée et se perd vite dans l'exploration tragicomique de sentiments qui glissent un peu sur nous sans forger un coeur palpitant de cinéma.
Télérama
Le cinéma irrigue la vie, et vice versa, dans ces pérégrinations ponctuées de dialogues savoureux, entre trivialité et absurde. Comme son personnage, le film avance, hélas, avec une forme de détachement qui tient à distance de l’émotion.
L'Humanité
Au-delà des références cinéphiles (voir le titre), cela n’a ni la vivacité de Demy ni la rouerie de Rohmer. Plus indolent qu’insolent.
Première
Du Blier en mode mineur (plutôt du Serge Bozon, donc) dont Ma vie avec James Dean est un exemple raté avec ses dialogues décalés qui tombent à plat, ses histoires d’amour caricaturales et ses situations un peu ringardes -les filatures où tout le monde se suit sans discrétion, hum.