Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Organique, viscéral, gore aussi, "Grave" comporte des éléments fondateurs de Crononberg.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce récit d’émancipation agit comme une déflagration : on est sonné par la puissance de la mise en scène et du scénario. Julia Ducournau orchestre avec intelligence, audace et humour cet apprentissage de l’identité, de la maturité et de la sexualité, en abordant le thème du cannibalisme.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"Grave" est un conte cruel, sensuel, dérangeant et formidablement lucide.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Si "Grave" entousiasme ou scandalise, c'est parce que Ducournau réussit le pari difficile, inespéré en France où le cinéma de genre est moribond, d'un cross-over entre la comédie initiatique et gore, le film d'horreur et le teen-movie dramatique et sexuel.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) ce premier long-métrage sait trouver un ton entre sensualité macabre et désirs charnels qui n’appartient qu’à lui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Passionnant de voir une réalisatrice s’approprier de manière aussi personnelle et affirmée la fiction, le récit, l’écran, avec une audace proportionnelle à la justesse recherchée pour suivre la ligne d’action de son personnage central.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Le territoire inconnu et excitant que Julia Ducournau ouvre avec Grave, fait beaucoup espérer de la suite de sa carrière.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Ce film initiatique (....) à la manière gore offre de très belles scènes (...).
Critikat.com
par Axel Scoffier
Le vampirisme consommé du film, à l’opposé de celui d’un "Twilight" puritain, exalte en tout point un plaisir de la chair non dissimulé et contagieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Inclassable, sauvage, vénéneux, … Grave nous avale de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le cinéma n’est jamais aussi puissant que quand il touche l’intime, le corps et à travers lui la conscience. Hors des sentiers battus, très prometteur, "Grave" reflète la forte personnalité d’une cinéaste iconoclaste, entière, talentueuse…"Grave".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Parallèlement à cette quête d’intensité propre au teen movie, Julia Ducournau joue habilement avec les motifs du genre horrifique. L'école vétérinaire évoque un décor de film d'apocalypse, les vampires rôdent et quand sonne la fin du bizutage, les étudiants se répandent hagards sur le campus tels des morts-vivants.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Qu’elle joue avec les identités sexuelles ou les tabous de l’amour fraternel, la cinéaste de 33 ans bouscule nos repères moraux avec une rafraîchissante modernité, de concours de bizuts en initiation ratée à l’épilation intime.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
"Grave" est un film substantiel, propre à guérir temporairement un cinéma d’auteur français parfois un peu trop anémié. Nourrissant et mordant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’horreur insolite qui, à partir d’un sujet devenu d’actualité (la viande : faut-il en manger ou pas ?), plonge dans les abîmes sanglants du cannibalisme : à ne pas mettre sous toutes les dents !
Le Figaro
par Etienne Sorin
Grave se distingue de tous les films tristement programmatiques qui encombrent les écrans par l'inventivité de son scénario. Il surprend à chaque scène. Chaque séquence déjoue les attentes du spectateur. Il n'est pas contenu tout entier dans son synopsis tout à fait alléchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Justine (...) intègre une école vétérinaire où sa grande sœur est déjà élève. Elle est bizutée ; on la force à manger un rein de lapin. Elle prend goût à la viande crue. L’appétit vient en mangeant. Elle découvre la saveur de la chair humaine… C’est grave, docteur ? On n’en dira pas plus, sous peine de gâcher le plaisir du spectateur avide de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Mathieu Macheret
Rares sont les premières œuvres aussi fiévreuses, aussi électrisantes, d’un romantisme aussi échevelé et d’une si complète désinhibition. "Grave", premier long-métrage de la jeune scénariste et réalisatrice Julia Ducournau (...) accomplit un coup d’éclat, en important la dialectique horrifique dans le cadre ordinaire de la fiction française.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Du sang et de la chair, donc, mais aussi un bizutage filmé comme un reportage criant de vérité, et des séquences parfois très comiques. Le tout bénéficiant du jeu impliqué des deux acteurs principaux, dont l'étonnante Garance Marillier.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Crado mais pas crapoteux, ce premier film bien maîtrisé orchestre savamment sa plongée dans l'horreur, jusqu'à un épilogue en forme de twist façon Quatrième dimension, qu'on avait un tout petit peu vu venir.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Sensation de la Semaine de la Critique 2016, le premier film de Julia Ducournau sort brillamment des sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
La renaissance de ce cinéma girly et anthropophage est effectivement à bien des égards une aubaine : gonflé, poétique, féroce, il incarne la prise de pouvoir d’une nouvelle génération fracassante de réalisatrices.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
De quoi ouvrir l'appétit pour les prochains films de la Ducournau.
Ouest France
par La Rédaction
Un premier film très maîtrisé.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Gore et poétique à la fois, Grave est la preuve que le cinéma fantastique à la française peut exister.
Télérama
par Cécile Mury
Cauchemar faussement réaliste et vraiment dérangeant, cette histoire de cannibalisme est une bombe métaphorique. Elle parle d'amour, d'identité et de sexualité, des plaisirs dits « de la chair », de pulsion de mort, de phobie et de transgression. De tous les liens du sang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un premier film sang pour sang choc insolite, audacieux, organique, gore... et pourtant sensible.
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
L’hystérie contagieuse de Frissons de Cronenberg, la texture irritée de Dans ma peau de Marina de Van et la faim morbide de Trouble Every Day...Grave aspire à l’horreur des grands et y parvient sans scrupules.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Julien Gester
Avec un dégoût manifeste de la demi-mesure, de l’ambiguïté, du plan moyen, le film fait feu nourri de musiques, cadres et lumières pour cocher toutes les cases transgressives et imprimer ainsi à toute chose qui le traverse une efficience, un rendement de bulldozer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
Organique, viscéral, gore aussi, "Grave" comporte des éléments fondateurs de Crononberg.
Le Journal du Dimanche
Ce récit d’émancipation agit comme une déflagration : on est sonné par la puissance de la mise en scène et du scénario. Julia Ducournau orchestre avec intelligence, audace et humour cet apprentissage de l’identité, de la maturité et de la sexualité, en abordant le thème du cannibalisme.
Studio Ciné Live
"Grave" est un conte cruel, sensuel, dérangeant et formidablement lucide.
Transfuge
Si "Grave" entousiasme ou scandalise, c'est parce que Ducournau réussit le pari difficile, inespéré en France où le cinéma de genre est moribond, d'un cross-over entre la comédie initiatique et gore, le film d'horreur et le teen-movie dramatique et sexuel.
20 Minutes
(...) ce premier long-métrage sait trouver un ton entre sensualité macabre et désirs charnels qui n’appartient qu’à lui.
Bande à part
Passionnant de voir une réalisatrice s’approprier de manière aussi personnelle et affirmée la fiction, le récit, l’écran, avec une audace proportionnelle à la justesse recherchée pour suivre la ligne d’action de son personnage central.
Cahiers du Cinéma
Le territoire inconnu et excitant que Julia Ducournau ouvre avec Grave, fait beaucoup espérer de la suite de sa carrière.
Charlie Hebdo
Ce film initiatique (....) à la manière gore offre de très belles scènes (...).
Critikat.com
Le vampirisme consommé du film, à l’opposé de celui d’un "Twilight" puritain, exalte en tout point un plaisir de la chair non dissimulé et contagieux.
Culturopoing.com
Inclassable, sauvage, vénéneux, … Grave nous avale de bout en bout.
Franceinfo Culture
Le cinéma n’est jamais aussi puissant que quand il touche l’intime, le corps et à travers lui la conscience. Hors des sentiers battus, très prometteur, "Grave" reflète la forte personnalité d’une cinéaste iconoclaste, entière, talentueuse…"Grave".
GQ
Parallèlement à cette quête d’intensité propre au teen movie, Julia Ducournau joue habilement avec les motifs du genre horrifique. L'école vétérinaire évoque un décor de film d'apocalypse, les vampires rôdent et quand sonne la fin du bizutage, les étudiants se répandent hagards sur le campus tels des morts-vivants.
L'Obs
Qu’elle joue avec les identités sexuelles ou les tabous de l’amour fraternel, la cinéaste de 33 ans bouscule nos repères moraux avec une rafraîchissante modernité, de concours de bizuts en initiation ratée à l’épilation intime.
La Septième Obsession
"Grave" est un film substantiel, propre à guérir temporairement un cinéma d’auteur français parfois un peu trop anémié. Nourrissant et mordant.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’horreur insolite qui, à partir d’un sujet devenu d’actualité (la viande : faut-il en manger ou pas ?), plonge dans les abîmes sanglants du cannibalisme : à ne pas mettre sous toutes les dents !
Le Figaro
Grave se distingue de tous les films tristement programmatiques qui encombrent les écrans par l'inventivité de son scénario. Il surprend à chaque scène. Chaque séquence déjoue les attentes du spectateur. Il n'est pas contenu tout entier dans son synopsis tout à fait alléchant.
Le Figaroscope
Justine (...) intègre une école vétérinaire où sa grande sœur est déjà élève. Elle est bizutée ; on la force à manger un rein de lapin. Elle prend goût à la viande crue. L’appétit vient en mangeant. Elle découvre la saveur de la chair humaine… C’est grave, docteur ? On n’en dira pas plus, sous peine de gâcher le plaisir du spectateur avide de surprises.
Le Monde
Rares sont les premières œuvres aussi fiévreuses, aussi électrisantes, d’un romantisme aussi échevelé et d’une si complète désinhibition. "Grave", premier long-métrage de la jeune scénariste et réalisatrice Julia Ducournau (...) accomplit un coup d’éclat, en important la dialectique horrifique dans le cadre ordinaire de la fiction française.
Le Parisien
Du sang et de la chair, donc, mais aussi un bizutage filmé comme un reportage criant de vérité, et des séquences parfois très comiques. Le tout bénéficiant du jeu impliqué des deux acteurs principaux, dont l'étonnante Garance Marillier.
Le Point
Crado mais pas crapoteux, ce premier film bien maîtrisé orchestre savamment sa plongée dans l'horreur, jusqu'à un épilogue en forme de twist façon Quatrième dimension, qu'on avait un tout petit peu vu venir.
Les Fiches du Cinéma
Sensation de la Semaine de la Critique 2016, le premier film de Julia Ducournau sort brillamment des sentiers battus.
Les Inrockuptibles
La renaissance de ce cinéma girly et anthropophage est effectivement à bien des égards une aubaine : gonflé, poétique, féroce, il incarne la prise de pouvoir d’une nouvelle génération fracassante de réalisatrices.
Mad Movies
De quoi ouvrir l'appétit pour les prochains films de la Ducournau.
Ouest France
Un premier film très maîtrisé.
Rolling Stone
Gore et poétique à la fois, Grave est la preuve que le cinéma fantastique à la française peut exister.
Télérama
Cauchemar faussement réaliste et vraiment dérangeant, cette histoire de cannibalisme est une bombe métaphorique. Elle parle d'amour, d'identité et de sexualité, des plaisirs dits « de la chair », de pulsion de mort, de phobie et de transgression. De tous les liens du sang.
Voici
Un premier film sang pour sang choc insolite, audacieux, organique, gore... et pourtant sensible.
aVoir-aLire.com
L’hystérie contagieuse de Frissons de Cronenberg, la texture irritée de Dans ma peau de Marina de Van et la faim morbide de Trouble Every Day...Grave aspire à l’horreur des grands et y parvient sans scrupules.
Libération
Avec un dégoût manifeste de la demi-mesure, de l’ambiguïté, du plan moyen, le film fait feu nourri de musiques, cadres et lumières pour cocher toutes les cases transgressives et imprimer ainsi à toute chose qui le traverse une efficience, un rendement de bulldozer.