Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
"Problemski Hotel" parvient, avec une indéniable virtuosité, à mettre en balance le tragique et l'absurde, le désespoir et la légèreté, Kafka et Tati, tout en livrant une peinture de notre société.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Genica Baczynski
Ce geste ralentit les larmes, et raccourcit les rires.
Libération
par Julien Gester
Des compositions glacées enlacent ces destins d’un œil quasi clinique et non moins aimant, tenant à bonne distance tout épanchement de pathos pour composer plutôt une sorte de théâtre catégoriquement absurde et allégorique (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Écran large, cadrages savants, mise en scène tirée au cordeau, on sent un vrai désir de cinéma chez Manu Riche, venu du documentaire.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Sans jamais chercher à moraliser, Manu Riche, un ancien de l’émission Strip-tease, signe un premier film poétique et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Indéniablement une belle réussite du cinéma belge, justement couronnée par le Grand Prix au Festival de La Roche-sur-Yon en 2016.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Nul faux naturalisme ni condescendance culpabilisatrice dans la mise en scène, distanciée et esthétique. Elle renforce la dimension allégorique de cette fiction qui traite de tragédies profondes et joue d'un humour flirtant avec l'absurde.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dialogué en anglais, méditatif, surréalisant, hyper-stylisé, Problemski Hotel a les défauts de ses qualités, et réciproquement.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Ce film étrange (...) préfère le burlesque et le surréalisme mélancolique à l'apitoiement pour témoigner du sort réservé à tout demandeur d'asile. Son côté suite de sketchs l'empêche toutefois de vraiment décoller et de secouer autant qu'espéré.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le film tourne un peu en rond, à l’instar de ses personnages, condamnés à attendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Un exercice de style misanthropique et cynique, aux trop fugaces instants d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
"Problemski Hotel" parvient, avec une indéniable virtuosité, à mettre en balance le tragique et l'absurde, le désespoir et la légèreté, Kafka et Tati, tout en livrant une peinture de notre société.
L'Humanité
Ce geste ralentit les larmes, et raccourcit les rires.
Libération
Des compositions glacées enlacent ces destins d’un œil quasi clinique et non moins aimant, tenant à bonne distance tout épanchement de pathos pour composer plutôt une sorte de théâtre catégoriquement absurde et allégorique (...).
Positif
Écran large, cadrages savants, mise en scène tirée au cordeau, on sent un vrai désir de cinéma chez Manu Riche, venu du documentaire.
Télérama
Sans jamais chercher à moraliser, Manu Riche, un ancien de l’émission Strip-tease, signe un premier film poétique et envoûtant.
aVoir-aLire.com
Indéniablement une belle réussite du cinéma belge, justement couronnée par le Grand Prix au Festival de La Roche-sur-Yon en 2016.
L'Obs
Nul faux naturalisme ni condescendance culpabilisatrice dans la mise en scène, distanciée et esthétique. Elle renforce la dimension allégorique de cette fiction qui traite de tragédies profondes et joue d'un humour flirtant avec l'absurde.
Le Monde
Dialogué en anglais, méditatif, surréalisant, hyper-stylisé, Problemski Hotel a les défauts de ses qualités, et réciproquement.
Studio Ciné Live
Ce film étrange (...) préfère le burlesque et le surréalisme mélancolique à l'apitoiement pour témoigner du sort réservé à tout demandeur d'asile. Son côté suite de sketchs l'empêche toutefois de vraiment décoller et de secouer autant qu'espéré.
Le Journal du Dimanche
Le film tourne un peu en rond, à l’instar de ses personnages, condamnés à attendre.
Les Fiches du Cinéma
Un exercice de style misanthropique et cynique, aux trop fugaces instants d’humanité.