Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Aurore et ses parents, évidemment, mais aussi les copains, les copines, la grand-mère progressiste, jouée par l'immense Catherine Hiegel, le prof de français, étonnamment incarné par Alex Lutz... Tous sont irrésistibles et participent du plaisir que procure "Jamais contente", première belle surprise de 2017.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Adapté du « Journal d'Aurore », récit pour la jeunesse signé de la romancière Marie Desplechin, voilà un bonheur de film, plein de vérités pour les ados et plein d'enseignements pour les parents.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Eithne O'Neill
(une) comédie fine et charmante.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un film sincère qui dit (ou plutôt... bougonne) tout de la préadolescence irritable, irritante, exigeante. La mise en scène colle avec énergie aux baskets de la jeune interprète, idéale dans le rôle, sans négliger son entourage (...). La jolie dragée (au poivre) de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre désinvolture et férocité, le récit amusant et sincère, grâce à un ton résolument direct, évite l’écueil des clichés habituels sur cette période particulière de la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Marie Soyeux
L’adaptation de ce journal en un scénario plus compact peine cependant à convaincre, les situations restant souvent superficielles. On est cependant touché et amusé par cette Aurore, incarnée avec aplomb par Léna Magnien.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le portrait subtil d’une préado mal dans sa peau, brossé avec humour et porté par une gamine rebelle, digne descendante aujourd’hui du Jean-Pierre Léaud des “Quatre cents coups” d’hier.
Le Monde
par Noémie Luciani
Adaptant les romans de Marie Desplechin ("Le Journal d’Aurore"), Emilie Deleuze propose une illustration fidèle et précise de l’adolescence en proie au sentiment d’une hostilité du monde, autour d’une héroïne réellement insupportable, mais crédible.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Sans être renversant, “Jamais contente” est une sympathique comédie qui tente de saisir la complexité des émotions de cet âge confus.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Jamais prétentieux, rigoureux dans son filmage de la ville, "Jamais contente" est un film frais et drôle, très drôle parfois.
Voici
par La Rédaction
Un joli portrait d'adolescente, qui s'apprivoise doucement.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au bout du compte, la révolte de cette petite monade, qui n’exprime qu’un désir ordinaire d’individuation, est bien timide.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Dommage que la cinéaste n'ait pas accordé plus de place aux situations de comédie, car le film s'enferme trop dans le récit d'initiation quand Aurore devient chanteuse de rock.
L'Express
Aurore et ses parents, évidemment, mais aussi les copains, les copines, la grand-mère progressiste, jouée par l'immense Catherine Hiegel, le prof de français, étonnamment incarné par Alex Lutz... Tous sont irrésistibles et participent du plaisir que procure "Jamais contente", première belle surprise de 2017.
Le Parisien
Adapté du « Journal d'Aurore », récit pour la jeunesse signé de la romancière Marie Desplechin, voilà un bonheur de film, plein de vérités pour les ados et plein d'enseignements pour les parents.
Positif
(une) comédie fine et charmante.
Télérama
Un film sincère qui dit (ou plutôt... bougonne) tout de la préadolescence irritable, irritante, exigeante. La mise en scène colle avec énergie aux baskets de la jeune interprète, idéale dans le rôle, sans négliger son entourage (...). La jolie dragée (au poivre) de ce début d'année.
aVoir-aLire.com
Entre désinvolture et férocité, le récit amusant et sincère, grâce à un ton résolument direct, évite l’écueil des clichés habituels sur cette période particulière de la vie.
La Croix
L’adaptation de ce journal en un scénario plus compact peine cependant à convaincre, les situations restant souvent superficielles. On est cependant touché et amusé par cette Aurore, incarnée avec aplomb par Léna Magnien.
Le Dauphiné Libéré
Le portrait subtil d’une préado mal dans sa peau, brossé avec humour et porté par une gamine rebelle, digne descendante aujourd’hui du Jean-Pierre Léaud des “Quatre cents coups” d’hier.
Le Monde
Adaptant les romans de Marie Desplechin ("Le Journal d’Aurore"), Emilie Deleuze propose une illustration fidèle et précise de l’adolescence en proie au sentiment d’une hostilité du monde, autour d’une héroïne réellement insupportable, mais crédible.
Les Fiches du Cinéma
Sans être renversant, “Jamais contente” est une sympathique comédie qui tente de saisir la complexité des émotions de cet âge confus.
Les Inrockuptibles
Jamais prétentieux, rigoureux dans son filmage de la ville, "Jamais contente" est un film frais et drôle, très drôle parfois.
Voici
Un joli portrait d'adolescente, qui s'apprivoise doucement.
L'Humanité
Au bout du compte, la révolte de cette petite monade, qui n’exprime qu’un désir ordinaire d’individuation, est bien timide.
Studio Ciné Live
Dommage que la cinéaste n'ait pas accordé plus de place aux situations de comédie, car le film s'enferme trop dans le récit d'initiation quand Aurore devient chanteuse de rock.