Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Il fallait bien l’un des créateurs de la saga [REC] pour réveiller le cinéma d’exorcisme et nous sortir des automatismes neurasthéniques de ce genre balisé !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Michel Valentin
Paco Plaza traite avec efficacité le thème rebattu de la possession maléfique. Plus étonnant, le film affiche un message féministe d'actualité, avec une Veronica broyée par la société machiste ibérique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
On est donc en face d'une production de qualité qui ne souffre d'aucun défaut, mais à l'inverse, pâtit de son manque d'originalité.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) ce film d’horreur malin, à mi-chemin entre [REC] et The Conjuring (...).
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le film ne cesse de nous rappeler que cette histoire est inspirée de faits réels. Indispensable précaution pour nous persuader que le scénario vaut mieux que la succession de clichés inhérents à un genre maintes fois visité. Heureusement que la réalisation de Paco Plaza maîtrise avec délice l’art de la terreur, provoquant chez le spectateur sueurs froides et sursauts.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré d’une histoire réelle, où l’enquête policière a conclu à l’existence de phénomènes paranormaux inexpliqués, le film de Paco Plaza joue sans surprise la carte du film de genre et accumule les gros effets visuels et sonores : de l’épouvante de série.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Découverte de la sexualité, angoisse face au père mort et incestueux, etc., tous ces éléments sont présents, mais jamais assenés. Telle est sans doute la qualité d’un film qui dès lors invente habilement des situations terrifiantes.
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Sans révolutionner le genre, Paco Plaza s’approprie un fait divers habilement et met en scène une héroïne du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Nicolas Didier
Dans ses meilleurs moments, le film rappelle L’Exorciste, de William Friedkin : âpreté quasi documentaire, partition musicale à base d’orgue. Les apparitions grand-guignolesques sont bien moins convaincantes, hélas, que celles des formes ténébreuses qui évoquent les effets d’optique du théâtre d’ombres.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Paco Plaza rate encore son coup avec ce mélange de clichés surnaturels américains, gonflé aux "jump scares", qui semble avoir deux modes de retard. Ronflant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Eric Derobert
(...) "Veronica" déroule sa quincaillerie de symboles. Le lait, le sang, les cendres. Vas-y Paco... sauf que rien de tout ça ne s'articule vraiment.
Ecran Large
Il fallait bien l’un des créateurs de la saga [REC] pour réveiller le cinéma d’exorcisme et nous sortir des automatismes neurasthéniques de ce genre balisé !
Le Parisien
Paco Plaza traite avec efficacité le thème rebattu de la possession maléfique. Plus étonnant, le film affiche un message féministe d'actualité, avec une Veronica broyée par la société machiste ibérique.
L'Ecran Fantastique
On est donc en face d'une production de qualité qui ne souffre d'aucun défaut, mais à l'inverse, pâtit de son manque d'originalité.
Le Journal du Dimanche
(...) ce film d’horreur malin, à mi-chemin entre [REC] et The Conjuring (...).
L'Obs
Le film ne cesse de nous rappeler que cette histoire est inspirée de faits réels. Indispensable précaution pour nous persuader que le scénario vaut mieux que la succession de clichés inhérents à un genre maintes fois visité. Heureusement que la réalisation de Paco Plaza maîtrise avec délice l’art de la terreur, provoquant chez le spectateur sueurs froides et sursauts.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré d’une histoire réelle, où l’enquête policière a conclu à l’existence de phénomènes paranormaux inexpliqués, le film de Paco Plaza joue sans surprise la carte du film de genre et accumule les gros effets visuels et sonores : de l’épouvante de série.
Le Monde
Découverte de la sexualité, angoisse face au père mort et incestueux, etc., tous ces éléments sont présents, mais jamais assenés. Telle est sans doute la qualité d’un film qui dès lors invente habilement des situations terrifiantes.
Les Fiches du Cinéma
Sans révolutionner le genre, Paco Plaza s’approprie un fait divers habilement et met en scène une héroïne du quotidien.
Télérama
Dans ses meilleurs moments, le film rappelle L’Exorciste, de William Friedkin : âpreté quasi documentaire, partition musicale à base d’orgue. Les apparitions grand-guignolesques sont bien moins convaincantes, hélas, que celles des formes ténébreuses qui évoquent les effets d’optique du théâtre d’ombres.
aVoir-aLire.com
Paco Plaza rate encore son coup avec ce mélange de clichés surnaturels américains, gonflé aux "jump scares", qui semble avoir deux modes de retard. Ronflant.
Positif
(...) "Veronica" déroule sa quincaillerie de symboles. Le lait, le sang, les cendres. Vas-y Paco... sauf que rien de tout ça ne s'articule vraiment.