Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans cette comédie drôlissime, Guillaume Canet joue avec sa propre image. (...) Assurément rock !
Le Parisien
par Renaud Baronian
Oscillant entre rire et drame, "Rock'n' Roll", étonnante digression sur le jeunisme, la peur de vieillir et l'image que l'on renvoie aux autres, est dynamité par un scénario osé et une formidable liberté de ton.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Closer
par La Rédaction
Une critique drôle et réussie sur le nombrilisme des acteurs et du show-biz.
Elle
par Khadija Moussou
Guillaume Canet a l'intelligence de mettre les pieds dans le plat en s'attaquant à son apparence, son look, son image de gendre idéal auprès du public. Et c'est franchement très drôle !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Portrait d'un artiste en pleine crise de la quarantaine. Mais en vrai. Guillaume Canet s'amuse avec son image et réussit le hold-up parfait. Drôle et surprenant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un projet autocentré qui ne manque ni d’ambition ni d’autodérision, et qui réussit plutôt bien dans une remise en question plus sombre qu’il n’y paraît.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On rit beaucoup, même si le film s'essouffle en cours de route, avant de se rattraper par une dernière partie surprenante.
Paris Match
par Alain Spira
Guillaume Canet nous sert un cocktail aussi explosif qu’hilarant, servi par des comédiens débridés. Gonflé, original, iconoclaste, « Rock’n roll » fait subir un réjouissant lifting à la comédie à la française. Il était temps !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Cet exercice d'autodestruction si peu français fait plaisir à voir, surtout de la part d'un cinéaste-acteur censé incarné l'aristocratie de notre cinéma. Ce Canet laisse augurer le meilleur pour la suite.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Les situations sont cocasses, parfois laborieuses, souvent réussies, surtout quand Marion Cotillard en actrice scrupuleuse révise son québécois jusqu’à la nausée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Plus l'acteur s'égratigne, plus on jubile. (...) Du culot, de l'humour, de la férocité. We love "Rock'n roll" !
Télérama
par Pierre Murat
On aboutit à la jolie satire d'un monde où les hommes et les femmes, aussi ridicules qu'émouvants, poursuivent désespérément leur jeunesse, figés dans une bulle qui les protège. Heureux, seuls et hors d'atteinte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
C’est lorsque la frontière entre fiction et réalité se brouille que son film est le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Voici
par La Rédaction
Une comédie furieuse, avec un twist final carrément dingo.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
(...) une farce originale et grinçante qui, sous couvert de nous amuser des délires d’un artiste sous pression, s’interroge discrètement sur nos peurs et nos aspirations.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Il s’en faut de peu que Guillaume Canet parvienne au film parfait, mais il charge trop la barque. L’acteur-réalisateur n’en reste pas moins à la tête d’un film savoureux. Et impertinent. Comme un "sale gosse".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sur le papier, il y avait tout à craindre de cette autofiction satirique par l’auteur des "Petits Mouchoirs". C’était oublier que Guillaume Canet n’est jamais meilleur que devant la caméra et dans l’autodérision – sa première réalisation, "Mon idole", le prouvait déjà.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Guillaume Canet offre une comédie distrayante mais hésitante, entre satire et absurde.
Première
par Gaël Golhen
Lassé de son statut de genre idéal, Guillaume Canet s'encanaille dans un ego-trip corrosif et très drôle, mais comme effrayé par sa propre noirceur.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Avec son voyeurisme fictionné hilarant, "Rock’n Roll" est aussi drôle qu'irrévérencieux, mais pèche par excès d'humour gras dans son dernier tiers.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Dommage que cet ego-trip masochiste et gonflé (au sens littéral) vire dans sa dernière partie (trop longue) au délire cartoonesque outré. "Rock’n’Roll" n’en demeure pas moins une proposition de cinéma inédite et "couillue" (la crise existentielle de Guillaume Canet s'annonce par une douleur aux testicules).
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Critikat.com
par Alain Zind
"Rock n Roll" épouse la forme racoleuse de la loi de l’offre et de la demande.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Jacques Braunstein
Chaque blague, chaque trouvaille (et elles sont nombreuses) est rejouée plusieurs fois dans la même scène - ou de scène en scène - afin qu’aucun spectateur ne la loupe et au risque que certains, dont nous sommes, s’en lassent. Un peu de légèreté n'aurait pas nui à ce drôle de projet.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Entamé sur les bases d’une réalité-fiction jubilatoire - par son autodérision décalée -, “Rock’n’Roll” s’enlise ensuite dans une métaphore grotesque sur le jeunisme.
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Canet a décidé que ce cassage d'image fictionnel ne pouvait passer qu'en se vautrant dans les stéréotypes de la vulgarité. [...] Reste que dans son dernier mouvement, le film ménage une sortie de route assez surprenante.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Confondant ego trip et cinéma vérité, Rock’n Roll peut être vu comme le démarquage Nouveau Roman de la grande saga néo-beauf : une usine à gags sinistres détricotant les rouages d’un système dont le récent Brice 3 a déjà prouvé qu’il était définitivement ringardisé.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film en forme de thérapie à plusieurs millions d'euros pour un résultat plutôt décevant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Anne Diatkine
Guillaume Canet et ses pitreries autocentrées lassent et laissent pantois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
Dans cette comédie drôlissime, Guillaume Canet joue avec sa propre image. (...) Assurément rock !
Le Parisien
Oscillant entre rire et drame, "Rock'n' Roll", étonnante digression sur le jeunisme, la peur de vieillir et l'image que l'on renvoie aux autres, est dynamité par un scénario osé et une formidable liberté de ton.
Closer
Une critique drôle et réussie sur le nombrilisme des acteurs et du show-biz.
Elle
Guillaume Canet a l'intelligence de mettre les pieds dans le plat en s'attaquant à son apparence, son look, son image de gendre idéal auprès du public. Et c'est franchement très drôle !
L'Express
Portrait d'un artiste en pleine crise de la quarantaine. Mais en vrai. Guillaume Canet s'amuse avec son image et réussit le hold-up parfait. Drôle et surprenant.
Le Dauphiné Libéré
Un projet autocentré qui ne manque ni d’ambition ni d’autodérision, et qui réussit plutôt bien dans une remise en question plus sombre qu’il n’y paraît.
Ouest France
On rit beaucoup, même si le film s'essouffle en cours de route, avant de se rattraper par une dernière partie surprenante.
Paris Match
Guillaume Canet nous sert un cocktail aussi explosif qu’hilarant, servi par des comédiens débridés. Gonflé, original, iconoclaste, « Rock’n roll » fait subir un réjouissant lifting à la comédie à la française. Il était temps !
Studio Ciné Live
Cet exercice d'autodestruction si peu français fait plaisir à voir, surtout de la part d'un cinéaste-acteur censé incarné l'aristocratie de notre cinéma. Ce Canet laisse augurer le meilleur pour la suite.
Sud Ouest
Les situations sont cocasses, parfois laborieuses, souvent réussies, surtout quand Marion Cotillard en actrice scrupuleuse révise son québécois jusqu’à la nausée.
Télé 7 Jours
Plus l'acteur s'égratigne, plus on jubile. (...) Du culot, de l'humour, de la férocité. We love "Rock'n roll" !
Télérama
On aboutit à la jolie satire d'un monde où les hommes et les femmes, aussi ridicules qu'émouvants, poursuivent désespérément leur jeunesse, figés dans une bulle qui les protège. Heureux, seuls et hors d'atteinte.
VSD
C’est lorsque la frontière entre fiction et réalité se brouille que son film est le meilleur.
Voici
Une comédie furieuse, avec un twist final carrément dingo.
aVoir-aLire.com
(...) une farce originale et grinçante qui, sous couvert de nous amuser des délires d’un artiste sous pression, s’interroge discrètement sur nos peurs et nos aspirations.
Franceinfo Culture
Il s’en faut de peu que Guillaume Canet parvienne au film parfait, mais il charge trop la barque. L’acteur-réalisateur n’en reste pas moins à la tête d’un film savoureux. Et impertinent. Comme un "sale gosse".
L'Obs
Sur le papier, il y avait tout à craindre de cette autofiction satirique par l’auteur des "Petits Mouchoirs". C’était oublier que Guillaume Canet n’est jamais meilleur que devant la caméra et dans l’autodérision – sa première réalisation, "Mon idole", le prouvait déjà.
Le Monde
Guillaume Canet offre une comédie distrayante mais hésitante, entre satire et absurde.
Première
Lassé de son statut de genre idéal, Guillaume Canet s'encanaille dans un ego-trip corrosif et très drôle, mais comme effrayé par sa propre noirceur.
Rolling Stone
Avec son voyeurisme fictionné hilarant, "Rock’n Roll" est aussi drôle qu'irrévérencieux, mais pèche par excès d'humour gras dans son dernier tiers.
Télé Loisirs
Dommage que cet ego-trip masochiste et gonflé (au sens littéral) vire dans sa dernière partie (trop longue) au délire cartoonesque outré. "Rock’n’Roll" n’en demeure pas moins une proposition de cinéma inédite et "couillue" (la crise existentielle de Guillaume Canet s'annonce par une douleur aux testicules).
Critikat.com
"Rock n Roll" épouse la forme racoleuse de la loi de l’offre et de la demande.
GQ
Chaque blague, chaque trouvaille (et elles sont nombreuses) est rejouée plusieurs fois dans la même scène - ou de scène en scène - afin qu’aucun spectateur ne la loupe et au risque que certains, dont nous sommes, s’en lassent. Un peu de légèreté n'aurait pas nui à ce drôle de projet.
Les Fiches du Cinéma
Entamé sur les bases d’une réalité-fiction jubilatoire - par son autodérision décalée -, “Rock’n’Roll” s’enlise ensuite dans une métaphore grotesque sur le jeunisme.
Les Inrockuptibles
Canet a décidé que ce cassage d'image fictionnel ne pouvait passer qu'en se vautrant dans les stéréotypes de la vulgarité. [...] Reste que dans son dernier mouvement, le film ménage une sortie de route assez surprenante.
Cahiers du Cinéma
Confondant ego trip et cinéma vérité, Rock’n Roll peut être vu comme le démarquage Nouveau Roman de la grande saga néo-beauf : une usine à gags sinistres détricotant les rouages d’un système dont le récent Brice 3 a déjà prouvé qu’il était définitivement ringardisé.
Le Figaro
Un film en forme de thérapie à plusieurs millions d'euros pour un résultat plutôt décevant.
Libération
Guillaume Canet et ses pitreries autocentrées lassent et laissent pantois.