Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
(...) il y a des coeurs qui battent la chamade dans «United States of Love», de grandes espérances et de grands désespoirs que l'on noie dans l'alcool ou dans un lac glacé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sur un sujet fort, traité avec un souci constant de la forme, à travers un scénario subtil qui croise quatre destins.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
(…) Tomasz Wasilewski s’est mis en tête de rendre hommage à la condition féminine en pleine Pologne postcommuniste. Le réalisateur, dont c’est le troisième long métrage, ne fait hélas que livrer ses personnages à un pénible sacerdoce censé les ériger en martyres.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le film, très maîtrisé, ne caresse pas le spectateur dans le sens du poil. Il est sans concession, d'un nihilisme étouffant, proche du cinéma d'Ulrich Seidl. L'image, froide, délavée, renforce cette impression. On en sort glacé.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Dans une Pologne à la croisée des chemins, Tomasz Wasilewski tisse les destins de quatre femmes dans "United States of Love". Avec une rigueur impitoyable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cette fédération de femmes touchantes, troublantes, dénuées de résignation, distille une émotion singulière. Un film sensible comme la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce film épuré aux couleurs glaciales, remarquablement interprété, ne ménage ni ses personnages ni les spectateurs.
Voici
par La Rédaction
Portraits croisés de quatre femmes polonaises, dans les années 90, post-chute du mur de Berlin. Petits arrangements avec la morosité, les frustrations et les désirs d'amour, qui se heurtent aux fantasmes d'une liberté possible.
Critikat.com
par Axel Scoffier
Il y aurait quelque chose dans "United States of Love" du dispositif horrifique systématique d’un "Saw" (dans sa succession de vignettes poisseuses) appliqué avec complaisance au cinéma social polonais.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Beau sujet, mais film littéralement frigide : aucune émotion ne filtre, et l’image glaciale (super-soignée, signée Oleg Mutu) ajoute à la distance. Une maquette du grand film que ce "United States of Love" aurait pu être.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Pologne, 1990. Premier an de liberté. Quatre femmes de différents âges décident qu’il est temps de satisfaire leurs désirs. Tout ça filmé par un glauquissime émule de l’Autrichien Ulrich Seidl.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Désolation soulignée par un traitement de l’image pour le coup démodé ; il consiste à traiter la couleur en lui donnant un aspect délavé. Procédé trop signifiant, révélateur du formalisme dans lequel se complaît ce traité d’aliénation cousu de fil blanc, qui n’arrive pas à la cheville du moindre film du réalisateur polonais Krzysztof Kieślowski.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par La Rédaction
Sous couvert de féminisme, un regard glauque et complaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Litanie triste des chairs exténuées, ambiance unanimement déprimée et sordide, pathos retenu mais permanent de la souffrance, personnages tantôt vils (les hommes) tantôt victimisés (les femmes), détachés d’un contexte à peu près inexistant, sans relief ni horizon. La coupe est amère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Tous paraissent filmés d’un œil voyeur et goguenard comme les bestiaux plus ou moins vils ou misérables d’une démonstration sans objet, pris dans les rets glacés d’une mise en scène désespérément cadenassée où s’annihilent toute hauteur de vue et profondeur de champ.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Des naufrages mis en scène avec une froideur sèche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
(...) il y a des coeurs qui battent la chamade dans «United States of Love», de grandes espérances et de grands désespoirs que l'on noie dans l'alcool ou dans un lac glacé.
Le Dauphiné Libéré
Un film sur un sujet fort, traité avec un souci constant de la forme, à travers un scénario subtil qui croise quatre destins.
Les Inrockuptibles
(…) Tomasz Wasilewski s’est mis en tête de rendre hommage à la condition féminine en pleine Pologne postcommuniste. Le réalisateur, dont c’est le troisième long métrage, ne fait hélas que livrer ses personnages à un pénible sacerdoce censé les ériger en martyres.
Studio Ciné Live
Le film, très maîtrisé, ne caresse pas le spectateur dans le sens du poil. Il est sans concession, d'un nihilisme étouffant, proche du cinéma d'Ulrich Seidl. L'image, froide, délavée, renforce cette impression. On en sort glacé.
Transfuge
Dans une Pologne à la croisée des chemins, Tomasz Wasilewski tisse les destins de quatre femmes dans "United States of Love". Avec une rigueur impitoyable.
Franceinfo Culture
Cette fédération de femmes touchantes, troublantes, dénuées de résignation, distille une émotion singulière. Un film sensible comme la mélancolie.
Les Fiches du Cinéma
Ce film épuré aux couleurs glaciales, remarquablement interprété, ne ménage ni ses personnages ni les spectateurs.
Voici
Portraits croisés de quatre femmes polonaises, dans les années 90, post-chute du mur de Berlin. Petits arrangements avec la morosité, les frustrations et les désirs d'amour, qui se heurtent aux fantasmes d'une liberté possible.
Critikat.com
Il y aurait quelque chose dans "United States of Love" du dispositif horrifique systématique d’un "Saw" (dans sa succession de vignettes poisseuses) appliqué avec complaisance au cinéma social polonais.
L'Obs
Beau sujet, mais film littéralement frigide : aucune émotion ne filtre, et l’image glaciale (super-soignée, signée Oleg Mutu) ajoute à la distance. Une maquette du grand film que ce "United States of Love" aurait pu être.
La Voix du Nord
Pologne, 1990. Premier an de liberté. Quatre femmes de différents âges décident qu’il est temps de satisfaire leurs désirs. Tout ça filmé par un glauquissime émule de l’Autrichien Ulrich Seidl.
L'Humanité
Désolation soulignée par un traitement de l’image pour le coup démodé ; il consiste à traiter la couleur en lui donnant un aspect délavé. Procédé trop signifiant, révélateur du formalisme dans lequel se complaît ce traité d’aliénation cousu de fil blanc, qui n’arrive pas à la cheville du moindre film du réalisateur polonais Krzysztof Kieślowski.
Le Figaro
Sous couvert de féminisme, un regard glauque et complaisant.
Le Monde
Litanie triste des chairs exténuées, ambiance unanimement déprimée et sordide, pathos retenu mais permanent de la souffrance, personnages tantôt vils (les hommes) tantôt victimisés (les femmes), détachés d’un contexte à peu près inexistant, sans relief ni horizon. La coupe est amère.
Libération
Tous paraissent filmés d’un œil voyeur et goguenard comme les bestiaux plus ou moins vils ou misérables d’une démonstration sans objet, pris dans les rets glacés d’une mise en scène désespérément cadenassée où s’annihilent toute hauteur de vue et profondeur de champ.
Télérama
Des naufrages mis en scène avec une froideur sèche.