Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un drame machiavélique inspiré de très loin - et non sans cynisme - par une pièce de BHL. Intelligent et stimulant.
Libération
par Marcos Uzal
Le cinéaste contrebalance la lourdeur allégorique en créant un présent haletant, parvenant par la fluidité de sa mise en scène d’un «temps réel» à accumuler les situations et à changer de registre (de la comédie, on bascule dans le film noir) avec un certain brio.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Anne Dastakian
Un excellent thriller sur la Bosnie d'aujourd'hui, mêlant social, mafia, histoire et politique, avec talent et l'humour. Ebouriffant !
Télérama
par Pierre-Julien Marest
On assiste à une étonnante effusion visuelle, un film à part, d’une belle intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par A. L. F.
Si Danis réussit assez bien son film choral - lutte des classes, des identités, du pouvoir -, qu'il réussit à dynamiser au moyen de scènes courtes, il loupe quelque peu le coche en tombant dans un didactisme qui tire l'histoire vers le manuel scolaire.
Le Figaro
par La Rédaction
Cent ans après la Première Guerre mondiale, dans le huis clos de l'Hôtel Europe, le film inspiré de la pièce de Bernard-Henri Lévy suit avec fluidité plusieurs actions que la mort va lier. Des interprètes excellents, dont Jacques Weber, et un rythme soutenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Bernard Génin
L'Europe, morte à Sarajevo en 1914, pourrait-elle y renaître ? Quel est l'avis des jeunes générations ? Toutes ces questions sur l'état des lieux en Bosnie aujourd'hui sont bien posées, mais dans une oeuvre qui souffre par moments de son côté théorique et démonstratif.
L'Obs
par François Forestier
L'ensemble est artificiel : on comprend les enjeux historiques, la gravité du sujet. Et l'émotion ? Malgré la virtuosité un peu scolaire de la mise en scène, elle est absente.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un dispositif symbolique pour mettre en résonance l’Histoire d’hier et la situation d’aujourd’hui non dépourvu de pertinence, mais qui sent un peu trop sa théâtralité.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Caméra à l’épaule, on suit les personnages au cœur de cet hôtel dans une course dont on sort un peu essoufflé. Ces derniers portent le fardeau presque entier de la société. Ce sont finalement les moments de silence, bien réalisés, qu’on assimile le mieux.
Le Monde
par Murielle Joudet
Si "Mort à Sarajevo" captive dans sa manière d’enchevêtrer les intrigues et de créer un sentiment d’urgence, le dispositif mis en place apparaît vite artificiel faute d’arriver à se faire oublier au profit de ses personnages.
Paris Match
par Yannick Vely
A l'écran, le résultat reste ainsi beaucoup trop théorique même si une leçon d’histoire est toujours bonne à recevoir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Alain Zind
La déflagration attendue finit par se produire, ne laissant place qu'à un spectacle désolant de pessimisme et de fatalisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
Un drame machiavélique inspiré de très loin - et non sans cynisme - par une pièce de BHL. Intelligent et stimulant.
Libération
Le cinéaste contrebalance la lourdeur allégorique en créant un présent haletant, parvenant par la fluidité de sa mise en scène d’un «temps réel» à accumuler les situations et à changer de registre (de la comédie, on bascule dans le film noir) avec un certain brio.
Marianne
Un excellent thriller sur la Bosnie d'aujourd'hui, mêlant social, mafia, histoire et politique, avec talent et l'humour. Ebouriffant !
Télérama
On assiste à une étonnante effusion visuelle, un film à part, d’une belle intelligence.
L'Express
Si Danis réussit assez bien son film choral - lutte des classes, des identités, du pouvoir -, qu'il réussit à dynamiser au moyen de scènes courtes, il loupe quelque peu le coche en tombant dans un didactisme qui tire l'histoire vers le manuel scolaire.
Le Figaro
Cent ans après la Première Guerre mondiale, dans le huis clos de l'Hôtel Europe, le film inspiré de la pièce de Bernard-Henri Lévy suit avec fluidité plusieurs actions que la mort va lier. Des interprètes excellents, dont Jacques Weber, et un rythme soutenu.
Positif
L'Europe, morte à Sarajevo en 1914, pourrait-elle y renaître ? Quel est l'avis des jeunes générations ? Toutes ces questions sur l'état des lieux en Bosnie aujourd'hui sont bien posées, mais dans une oeuvre qui souffre par moments de son côté théorique et démonstratif.
L'Obs
L'ensemble est artificiel : on comprend les enjeux historiques, la gravité du sujet. Et l'émotion ? Malgré la virtuosité un peu scolaire de la mise en scène, elle est absente.
Le Dauphiné Libéré
Un dispositif symbolique pour mettre en résonance l’Histoire d’hier et la situation d’aujourd’hui non dépourvu de pertinence, mais qui sent un peu trop sa théâtralité.
Le Journal du Dimanche
Caméra à l’épaule, on suit les personnages au cœur de cet hôtel dans une course dont on sort un peu essoufflé. Ces derniers portent le fardeau presque entier de la société. Ce sont finalement les moments de silence, bien réalisés, qu’on assimile le mieux.
Le Monde
Si "Mort à Sarajevo" captive dans sa manière d’enchevêtrer les intrigues et de créer un sentiment d’urgence, le dispositif mis en place apparaît vite artificiel faute d’arriver à se faire oublier au profit de ses personnages.
Paris Match
A l'écran, le résultat reste ainsi beaucoup trop théorique même si une leçon d’histoire est toujours bonne à recevoir.
Critikat.com
La déflagration attendue finit par se produire, ne laissant place qu'à un spectacle désolant de pessimisme et de fatalisme.
Ouest France
Un pensum théorique et indigeste.