Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le réalisateur iranien Mani Haghighi nous entraîne dans un vrai-faux thriller au milieu des sables, entre insondables mystères et fantômes vivants de l’histoire du pays. La force poétique aimante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Transfuge
par Nathalie Dassa
Dans ce récite entre fiction, mythe et réalité où passé et présent s'entremêlent, la combinaison peut paraître souvent confuse et surchargée, mais "Valley of Stars" reste un objet visuel audacieux, attrayant et original.
Critikat.com
par Benoît Smith
"Valley of Stars" se révèle une tentative de cinéma foisonnant, surréaliste, labyrinthique, invitant l’esprit aux chemins de traverse – expérience stimulante, même si pas tout à fait aboutie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Ce film iranien très audacieux dans sa structure, à la fois déconcertant et poétique, fouille un univers entre mythe et réalité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le cinéaste a un talent certain. Il lui reste à s'attaquer à un sujet moins nébuleux.
Libération
par Marcos Uzal
L’Iranien Mani Haghighi mêle les registres et les genres avec un charme indéniable, à condition qu’on ne s’y perde pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Bien sûr, les subtilités du background politique iranien nous échappent parfois et il faut ouvrir ses chakras pour accepter les ruptures de rythme et de ton, mais si vous en avez assez du ronron contemporain, il faut accepter cette folle proposition de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Jérôme Garcin
Bref, les décors sont fascinants, les comédiens, épatants (l’agent Hafizi en tête), l’image et le son, envoûtants, mais le scénario est une bouillie. De la part du coscénariste de "la Fête du feu", de l’excellent Asghar Farhadi, quelle déception !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est à un genre non encore estampillé du cinéma iranien que nous introduit ce film étrange et non dénué d’un certain charme en dépit des limites vite atteintes de l’exercice : le polar surréaliste.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ça débute façon film d'espionnage. (...) Mais le reste est aussi interminable qu'abscons.
Télérama
par Jérémie Couston
Narration déstructurée, flash-back énigmatiques, musique industrielle : le cinéaste, qui apparaît même à l'écran pour commenter son propre film, s'amuse à brouiller les pistes par tous les moyens. Au risque, parfois, de perdre son spectateur dans le labyrinthe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Le réalisateur iranien Mani Haghighi nous entraîne dans un vrai-faux thriller au milieu des sables, entre insondables mystères et fantômes vivants de l’histoire du pays. La force poétique aimante.
Transfuge
Dans ce récite entre fiction, mythe et réalité où passé et présent s'entremêlent, la combinaison peut paraître souvent confuse et surchargée, mais "Valley of Stars" reste un objet visuel audacieux, attrayant et original.
Critikat.com
"Valley of Stars" se révèle une tentative de cinéma foisonnant, surréaliste, labyrinthique, invitant l’esprit aux chemins de traverse – expérience stimulante, même si pas tout à fait aboutie.
Les Fiches du Cinéma
Ce film iranien très audacieux dans sa structure, à la fois déconcertant et poétique, fouille un univers entre mythe et réalité
Les Inrockuptibles
Le cinéaste a un talent certain. Il lui reste à s'attaquer à un sujet moins nébuleux.
Libération
L’Iranien Mani Haghighi mêle les registres et les genres avec un charme indéniable, à condition qu’on ne s’y perde pas.
Paris Match
Bien sûr, les subtilités du background politique iranien nous échappent parfois et il faut ouvrir ses chakras pour accepter les ruptures de rythme et de ton, mais si vous en avez assez du ronron contemporain, il faut accepter cette folle proposition de cinéma.
L'Obs
Bref, les décors sont fascinants, les comédiens, épatants (l’agent Hafizi en tête), l’image et le son, envoûtants, mais le scénario est une bouillie. De la part du coscénariste de "la Fête du feu", de l’excellent Asghar Farhadi, quelle déception !
Le Monde
C’est à un genre non encore estampillé du cinéma iranien que nous introduit ce film étrange et non dénué d’un certain charme en dépit des limites vite atteintes de l’exercice : le polar surréaliste.
Studio Ciné Live
Ça débute façon film d'espionnage. (...) Mais le reste est aussi interminable qu'abscons.
Télérama
Narration déstructurée, flash-back énigmatiques, musique industrielle : le cinéaste, qui apparaît même à l'écran pour commenter son propre film, s'amuse à brouiller les pistes par tous les moyens. Au risque, parfois, de perdre son spectateur dans le labyrinthe.