Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Transfuge
par Nathalie Dassa
Entre guerre et amour, Ivo M. Ferreira fait ainsi vibrer la plume de cet écrivain en devenir, à travers une lecture intimiste qui sublime la beauté des paysages africains, des soldats au front et surtout cet amour à distance qui lui donne l'espoir et le maintient en vie.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une superbe lecture en images inspirée des lettres passionnées qu’envoie à sa femme le futur écrivain Lobo Antunes, sur le front de la guerre coloniale en Angola.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Pour le spectateur, le choc n’est pas seulement visuel, il est aussi physique. L’expérience est d’ores et déjà inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
À travers ce journal intime, se révèle tout un pan de l’histoire que certains préféreraient oublier. Et l’auteur de désacraliser certaines sacro-saintes valeurs (famille, catholicisme, patriotisme) piliers de la société portugaise et des valets du régime salazariste.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Appelé en Angola en 1971, l’écrivain António Lobo Antunes adressa à sa femme 280 lettres. Elles sont le socle de cette illustration raffinée des dégâts psychologiques générés par un conflit honteux.
Marianne
par Grégoire Chertok
(...) un bien joli film (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
La monotonie guette, mais la beauté visuelle finit par envoûter.
Télérama
par Jacques Morice
Noir et blanc soyeux, peu de dialogues, mais des mouvements fluides de caméra, autour de diverses silhouettes : un capitaine cultivé avec lequel António joue aux échecs, un griot, une fillette perdue... Pour ce premier film, le cinéaste a trouvé une forme envoûtante, concrète et surréelle à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ainsi que l’a voulu le réalisateur, ce sont donc les lettres, lues par les deux acteurs formant le couple (Miguel Nunes et Margarida Vila-Nova) qui donnent véritablement corps à ce film poétique et contemplatif. Le spectateur trouve sa place au cœur de cette intimité épistolaire, pour un moment de cinéma suspendu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Davantage de dialogues auraient atténué le côté linéaire et illustratif de ce film en noir et blanc empreint de mélancolie qui nous plonge dans l’intimité d’un homme confronté à l’absence, l’ennui et la peur. Ses plans n’en restent pas moins d’une authentique beauté, comme les épîtres récités en voix off.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On pense par flashes à "Apocalypse Now", à "Non ou la vaine gloire de commander", et surtout au "Tabou" de Miguel Gomes dont on retrouve la puissance littéraire et mélancolique. Cette ressemblance est la qualité (c’est magnifique) et la limite de ce film (ça a déjà été fait).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une idée de cinéma, séduisante sans doute, mais qui laisse sur sa faim. L’influence du Tabou (2012), de Miguel Gomes, est par ailleurs évidente, et rend la comparaison d’autant plus cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
par La Rédaction
Des images en noir et blanc des lettres de l'écrivain portugais Antonio Lobo Antunes, du temps où il était militaire en Angola, entre 1971 et 1973. Ennuyeux et prétentieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Transfuge
Entre guerre et amour, Ivo M. Ferreira fait ainsi vibrer la plume de cet écrivain en devenir, à travers une lecture intimiste qui sublime la beauté des paysages africains, des soldats au front et surtout cet amour à distance qui lui donne l'espoir et le maintient en vie.
L'Humanité
Une superbe lecture en images inspirée des lettres passionnées qu’envoie à sa femme le futur écrivain Lobo Antunes, sur le front de la guerre coloniale en Angola.
L'Obs
Pour le spectateur, le choc n’est pas seulement visuel, il est aussi physique. L’expérience est d’ores et déjà inoubliable.
La Voix du Nord
À travers ce journal intime, se révèle tout un pan de l’histoire que certains préféreraient oublier. Et l’auteur de désacraliser certaines sacro-saintes valeurs (famille, catholicisme, patriotisme) piliers de la société portugaise et des valets du régime salazariste.
Les Fiches du Cinéma
Appelé en Angola en 1971, l’écrivain António Lobo Antunes adressa à sa femme 280 lettres. Elles sont le socle de cette illustration raffinée des dégâts psychologiques générés par un conflit honteux.
Marianne
(...) un bien joli film (...).
Studio Ciné Live
La monotonie guette, mais la beauté visuelle finit par envoûter.
Télérama
Noir et blanc soyeux, peu de dialogues, mais des mouvements fluides de caméra, autour de diverses silhouettes : un capitaine cultivé avec lequel António joue aux échecs, un griot, une fillette perdue... Pour ce premier film, le cinéaste a trouvé une forme envoûtante, concrète et surréelle à la fois.
La Croix
Ainsi que l’a voulu le réalisateur, ce sont donc les lettres, lues par les deux acteurs formant le couple (Miguel Nunes et Margarida Vila-Nova) qui donnent véritablement corps à ce film poétique et contemplatif. Le spectateur trouve sa place au cœur de cette intimité épistolaire, pour un moment de cinéma suspendu.
Le Journal du Dimanche
Davantage de dialogues auraient atténué le côté linéaire et illustratif de ce film en noir et blanc empreint de mélancolie qui nous plonge dans l’intimité d’un homme confronté à l’absence, l’ennui et la peur. Ses plans n’en restent pas moins d’une authentique beauté, comme les épîtres récités en voix off.
Les Inrockuptibles
On pense par flashes à "Apocalypse Now", à "Non ou la vaine gloire de commander", et surtout au "Tabou" de Miguel Gomes dont on retrouve la puissance littéraire et mélancolique. Cette ressemblance est la qualité (c’est magnifique) et la limite de ce film (ça a déjà été fait).
Le Monde
Une idée de cinéma, séduisante sans doute, mais qui laisse sur sa faim. L’influence du Tabou (2012), de Miguel Gomes, est par ailleurs évidente, et rend la comparaison d’autant plus cruelle.
Le Figaro
Des images en noir et blanc des lettres de l'écrivain portugais Antonio Lobo Antunes, du temps où il était militaire en Angola, entre 1971 et 1973. Ennuyeux et prétentieux.