Film s’inscrivant dans la continuité du premier volet. Contrairement à ce qu’il est possible de lire, ce dernier n’est pas forcément redondant. Certes le scénario peut se deviner, néanmoins les scènes d’intrigues sont plutôt bien faites. De la même manière, le message reflétait atteint bien ses spectateurs, puisque sorti de la séance, la première chose que vous voulez faire, c’est de vous dépasser !!!!
Une suite comme on l’entend, du spectacle comme on en veux. La bande son est toujours aussi bien adapté et dans la continuité du Creed I, un peu déçu mais dans la globalité c’est émouvant prenante et boxant.
Avec « Creed l’héritage » Stallone relançait parfaitement sa série de films des Rocky, avec ce « Creed 2 » il confirme sans pour autant totalement convaincre la faute à un manque flagrant de prise de risques.
Si le 1er « Creed » avait sa personnalité propre, ce second opus s’apparente un peu à un pot-pourri de toute la franchise "Rocky" Stallone dépoussière et remet au goût du jour mais ne révolutionne et ne réinvente rien contrairement au « Creed » premier du nom. Son sujet est maîtrisé sur le bout des doigts, ça se sent, mais du coup Stallone se contente de dérouler tranquillement le fil d’une histoire sans surprise, clairement il reste sagement dans ce qu’il sait faire. Mais heureusement il le fait bien et surtout il a la bonne idée de capitaliser sur le 1er opus de « Creed ». Ainsi le duo Adonis Creed-Rocky Balboa (et leur entourage) voit son capital sympathie gonfler à bloc dès le début du film, on n’a pas oublié leur histoire du 1er volet, c’est donc avec grand plaisir que l’on retrouve ce duo si attachant. Attachant Rocky l’est toujours autant, traînant sa carcasse fatiguée mais toujours vaillant, un peu déconnecté du monde réel et maladroit, et pour peu que l’on est suivi ses aventures dès le tout 1er « Rocky » on ne peut qu’être pris de sympathie pour ce personnage. De plus il s’écarte un peu dans le film et laisse la part belle à Creed et son évolution tant sur les rings qu’en dehors. Une belle réussite, le film se révélant intimiste et renforçant notre attachement envers le protégé de Rocky. Dommage que côté Russe on n’est pas bénéficié du même soin. Les Drago sont peu intéressants la faute à une histoire trop convenue, trop banale et trop caricaturale. Du coup si on a aucun mal à s’investir côté privé, on a du mal à s’intéresser au côté dans le ring où tout est bien trop prévisible. Heureusement les combats restent toujours bien filmés et très agréables à suivre et le tout est servi pas une BO très solide.
En définitive Stallone joue ici à fond sur la carte sympathie de sa franchise « Rocky » et du premier « Creed » et ça marche, tout amateur de l’univers « Rocky » sera ravi d’y replonger malgré un manque flagrant d’audace. Emprunter le même chemin peut s’avérer un peu lassant, mais pour peu qu’il soit agréable on y revient. Ne reste plus à Stallone qu'à faire un dernier « Creed » histoire de tirer sa révérence de la franchise en beauté, avec qui sait, le retour d’un autre de ses adversaires emblématiques.
Apres s’être perdu quelques années ( Rocky 5, 6 ) qui sont indignes de la franchise. Creed 1 était déjà un réel nouvel élan. Et ce Creed 2 enfin une vrai suite a ce Rocky 4 légendaire. A voir absolument
C'est un remake de Rocky 4 en fait ce film, avec beaucoup de lenteur et de moments larmoyant, heureusement les combats sont la mais rien d'exceptionnelle. L'acteur qui joue le fils Drago est impressionnant et sera a revoir dans le futur par contre le fils Creed n'a pas la carrure de son "père" et n'est pas un super acteur. Allez Sly range tes moufles et nous fait pas un Creed 3.
Le film est une merveille une histoire qui tien la route et Stalone qui est énorme dans se rôle sincèrement sa fessais un moment que j avais pas passer un bon moment devant un film je le recommande a tous d’aller le voir même si vous êtes pas fan de boxe !!!
Excellent film qui transmet les valeurs de la boxe et de la vie! Le film accroche et nous fait vivre chaque moment comme si c’était nous qui étions Adonis Creed
CREED 2 vous fait passer par toutes les émotions c'est un excellent cru ROCKY avec une bonne dose d'adrénaline le sentiment principal qui se dégage est l'émoi que suscite les acteurs c'est même parfois très triste... a voir et même revoir
Plutôt sympas j’ai passé un bon moment! Pour les amoureux de Rocky 4 (qui est le meilleur opus pour ma part) vous y trouverais votre compte. La boucle est bouclée comme on dit...
Pas le meilleur Rocky, un peu trop de sentiments et pas assez de sport, déçu surtout par la BO, trop de rap... Toujours le même cliché , le gentil US contre le mechant Russe ..
Ce n’est pas un film sur la boxe, ni sur Rocky, ni même sur Stallone. C’est un film sur la brutalité, sur la peur, sur l’humanité. C’est un film simple, juste et émouvant, qui donne du punch, de la joie de vivre, mais aussi de la mélancolie. Le joli Michael Jordan qui joue Creed et qui appelle "tonton" le pauvre vieux Stallone donnent le la de la joie de vivre ; l’excellent Dolph Lundgren et son orc de fils donnent le la opposé, celui de la mélancolie (c’est tout aussi humain). C’est le huitième Rocky. On s’attend à un nouveau clash de titans, mais ce n’est pas ça, sauf pour le spectateur habitué à l’intelligence artificielle des jeux vidéo (et pour le personnage du film qui se prend effectivement pour un titan). Tout marche dans ce film. La musique est bonne. Tout est équilibré. Sauf pour certains critiques de films, dénicheurs professionnels du cliché, du "cousu de fil blanc" et des "ficelles psychologiques pas finaudes". C’est justement cette simplicité qui fait la richesse de l'univers Rocky. On s’attend pourtant à du déjà vu (une sorte de remake de Rocky 4), mais le déjà vu c’est juste dans les faits. La recette tient dans ce qu’il y a derrière les faits et gestes, dans le cœur des personnages et dans leurs têtes. C’est d’ailleurs étonnant qu’un réalisateur aussi jeune et inexpérimenté que Steven Caple ait réussi à faire un tel film (c’était peut-être un ingrédient de la recette) –que certains critiques trouvent "fade". Le scénario est évidemment de Stallone. Il excelle pour exprimer l’inexprimable chez certains. Il dit des lapalissades qui n’en sont pas, et que tout le monde capte instantanément, comme par exemple "quand on veut changer des choses importantes il faut des changements importants". La dernière scène avec son fils (joué par Milo Ventimiglia) et son petit-fils est éloquente à ce sujet. De même quand il appelle la mairie (en vain depuis des mois) pour qu’elle remplace une ampoule dans sa rue. Stallone incarne celui qui ne sait pas parler, et qui s’en tient à ça en général (il ne va pas chercher à embêter les autres avec ses mots). Mais il ne s’en tient pas toujours à ça! Contrairement au non-sens de l’affiche disant "l’élève de Rocky dépasse le maître", c’est bien Rocky qui conceptualise le sens d’un objectif, qui rappelle le sens des valeurs humaines, et surtout de celles de chacun. Un moment est toutefois décevant et ne colle pas avec Stallone ni avec son personnage (c’est la même chose!), quand ce dernier dit à Drago (son adversaire en 1985 joué par Dolph Lundgren) "dans mon pays, les chiens errants, on les euthanasie" –c’est quasiment une erreur de script!
Un Rocky comme on aime le regarder et dans sa trame habituelle. Calme au début, mise à l'épreuve, remise en question et, reprise de confiance, entraînement à la dure et combat. C'est le genre de film, ou il ne faut pas réfléchir pour comprendre et c'est plaisant