Avis : Creed II - Page 7

Creed 2 est une claque à tout les niveaux. Il est dans la veine des précédents Rocky donc c'est la même recette mais celui-ci a quelque chose en plus. C'est la première dans la saga où l'adversaire de Rocky (et d'Adonis du coup) a une histoire développée et touchante. Ca rajoute tellement de profondeur et d'enjeu au match. On a connu le Ivan Drago froid et brutal de Rocky 4 et la on retrouve un Ivan Drago vieillissant et pauvre, père d'un fils qui n'a rien connu d'autre que la misère et la haine. C'est le scénario le plus puissant de la saga depuis Rocky 4. Le film est riche en émotion mais aussi en action avec la classique phase de préparation avant le combat et puis le combat final qui est le plus intense de la saga depuis le combat Creed vs Rocky dans Rocky 2. On peut aussi évoquer la bande son qui est excellente.
Creed 2 obtient facilement la mention de film de boxe du siècle.

Aussi bien que le 1er. Un chef d’œuvre. La serie des Creeds fait vraiment repenser aux beaux films des années 80/90. Mention spéciale à tous les acteurs qui joue à la perfection��

Ah ben voilà enfin la suite annoncée dans un premier temps pour 2017 ! On n’y croyait plus ! Mais comme le veut l’adage, tout vient à point à qui sait attendre. Encore faut-il que ce "Creed II" arrive au même niveau que "Creed – L’héritage de Rocky Balboa", ce qui n’est pas une mince affaire ! En effet, Ryan Coogler avait montré une telle envie de poursuivre la saga qu’on l’imaginait fort bien à la direction de ce nouvel opus. Que nenni ! Il a laissé le siège vacant, le bougre ! Il a été question un temps que Sylvester Stallone réinvestisse le fauteuil, et puis finalement c’est un illustre inconnu qui a eu la lourde tâche de tourner la suite des aventures du fiston Creed. Et donc ? Ça donne quoi, tout ça ? Eh bien pour être honnête, ce n’est pas un chef-d’œuvre. Mais ça n’en fait pas un film mauvais pour autant. Loin de là même. Regardez donc ma note ! Cela dit j’ai comme une vague impression de déception. En effet, au niveau du scénario, l’option s’est portée sur... on va dire une « réécriture » de l’histoire. On ressort donc les bons vieux méchants du placard pour propulser Adonis Creed vers la gloire... ou sa déchéance… Mais heureusement, Steven Capler Jr a su exploiter les acquis qu’ont laissé Stallone et Ryan Coogler (ils n’étaient pas bien loin), et ainsi poursuivre la saga dans ce retour vers la très forte dimension humaine opérée depuis "Rocky Balboa". Il n’a pas oublié non plus de reprendre la complicité très visible à l’écran entre Sly et Michael B. Jordan, condition sine qua none pour que le duo fonctionne parfaitement et emporte l’adhésion de tous. Et puis il a su filmer aussi les combats, avec une caméra toujours bien placée afin de laisser la vitesse réelle aux nombreux coups portés. Bien sûr il y a quelques ralentis, souvent utilisés pour appuyer les coups les plus dévastateurs. Mais dans tous les cas, les ralentis n’ont pas été utilisés de façon exagérée, et les combats restent très impressionnants. On retrouve aussi la musique particulièrement bien adaptée au monde de la boxe, mais il me semble qu’elle se ferait un petit peu moins remarquer si Bianca (Tessa Thompson) ne poussait pas la chansonnette. C’est donc avec un œil rassuré que nous retrouvons ces éléments-là, y compris la petite pointe d’humour, toujours bienvenue quand elle est utilisée à bon escient. Rocky et Adonis sont donc toujours aussi attachants, tandis que Bianca se fait naturellement une place par le biais de Tessa Thompson grâce à la sensibilité et fragilité qu’elle a réussi à retranscrire. Mais celui qui étonne le plus, c’est Dolph Lundgren qui, en dépit des motivations de son personnage et de sa capacité à manipuler, parvient à ne pas se faire détester complètement par le spectateur. Limite s’il n’inspire pas par moments un peu de peine, voire même un soupçon de pitié. J’ai trouvé aussi le jeu de Florian Munteanu intéressant dans la peau du golgoth qui en ferait fuir plus d’un par sa carrure. Là, il y a bestiole ! Alors quand en plus il nous gratifie de son regard méchant, mélange subtil de rage et de détermination… euuuuuh moi désolé mais perso je fais demi-tour direct lol ! Et pour couronner le tout, l’ex de Stallone a eu la gentillesse de nous rendre une petite visite. Perso (encore), je ne sais pas bien ce qu’on lui trouve. Mais en tout cas, elle n’a rien perdu de sa superbe pour incarner une femme qui n’a absolument rien d’intéressant… mis à part le fait qu’elle, elle est intéressée. Une femme vénale dans toute sa splendeur ! Alors certes de la voir partir est choquant, mais au moins on se surprend à lui souhaiter bon vent de la façon la plus ironique qui soit. Pour en revenir au scénario, c’est clairement du plus ou moins déjà vu. Et après, on dit que la foudre ne tombe jamais deux fois au même endroit… J’attendais autre chose. Du style… bah écoutez, lors de "Creed – L’héritage de Balboa", nous avions quitté Creed qui s’était fait un nom et Rocky engagé dans un combat contre la maladie. Alors j’avais imaginé que ce combat inégal allait se poursuivre, et qu’Adonis allait organiser des combats à but lucratif pour lever des fonds afin d’essayer de sauver celui qu’on appelait "L’étalon italien" avec grand renfort de médiatisation. Mais certainement pas un combat Creed vs Drago, deuxième du nom une trentaine d'années après le premier. Car cela a un inconvénient, et de taille : c’est qu’on devine très vite les grandes lignes. Mais au moins, on apprend une chose : c’est que la boxe n’est pas seulement un sport de combat. C’est aussi un combat contre soi-même. Et cela, nous l’apprenons par Rocky, interprété par notre Sylvester Stallone qui continue de nous surprendre par son aptitude tant il fait preuve de sérénité et de sagesse. Deux notions qui viennent souvent avec l’expérience, à condition de savoir tirer les leçons qui s’imposent en toutes circonstances, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Encore faut-il être capable de se remettre en question. C’est en cela que Rocky fait un coach exceptionnel. Ses mots justes, son humilité, son influence et bien d'autres choses forcent le respect. Et je crois qu’au moment du générique de fin parsemé de magnifiques photos, on peut se lever et applaudir Sly pour avoir su porter ce personnage à l’état d’icône, ce qui semble être le bon moment puisque l’acteur a déclaré ne plus vouloir l’incarner. Mais quand on sait qu’il voulait déjà ne plus porter le costume de Rocky à l’issue de "Rocky Balboa"… Donc oui, ce "Creed II" est bon, très bon même mais pas tout à fait au même niveau que le film de 2016. Vous pouvez donc aller voir ce film, ne serait-ce que pour savoir si l’hymne Rocky va retentir ou pas. Dans tous les cas, les 130 minutes passent sans ennui, et rien que pour ça, "Creed II" remplit parfaitement son contrat de divertissement. Et en plus, il donne à réfléchir sur des aspects essentiels de la vie. Alors que demander de plus ?

Pas un chef d'oeuvre, mais un film attachant, captivant, et toujours aussi punchy car dans la mouvance Rocky. On sent la volonté de vouloir faire la passation et on se dit "pourquoi pas ?". Véritable suite à Creed et Rocky 4, les moments clés comme la rencontre Drago / Rocky est prennante. Du pur pop corn, mais on en redemande ..

Creed II manque un petit peu d'âme. On ne retrouve pas ce qui avait fait la magie de Rocky IV, l'esprit de revanche n'est pas vraiment palpable et on a dû mal à croire au second combat... Bien sûr, la technique est meilleure et le réalisme aussi, mais aucune montée d'adrénaline ne parvient aux spectateurs. La romance avec sa femme était inutile, soit on l'exploite au maximum ou soit on ne l'exploite pas du tout, mais jamais à demi-teinte comme on l'a vu là. Prévisible et pas indispensable, uniquement pour les fans !

Ce n’est pas un film sur la boxe, ni sur Rocky, ni même sur Stallone. C’est un film sur la brutalité, sur la peur, sur l’humanité. C’est un film simple, juste et émouvant, qui donne du punch, de la joie de vivre, mais aussi de la mélancolie. Le joli Michael Jordan qui joue Creed et qui appelle "tonton" le pauvre vieux Stallone donnent le la de la joie de vivre ; l’excellent Dolph Lundgren et son orc de fils donnent le la opposé, celui de la mélancolie (c’est tout aussi humain). C’est le huitième Rocky. On s’attend à un nouveau clash de titans, mais ce n’est pas ça, sauf pour le spectateur habitué à l’intelligence artificielle des jeux vidéo (et pour le personnage du film qui se prend effectivement pour un titan). Tout marche dans ce film. La musique est bonne. Tout est équilibré. Sauf pour certains critiques de films, dénicheurs professionnels du cliché, du "cousu de fil blanc" et des "ficelles psychologiques pas finaudes". C’est justement cette simplicité qui fait la richesse de l'univers Rocky. On s’attend pourtant à du déjà vu (une sorte de remake de Rocky 4), mais le déjà vu c’est juste dans les faits. La recette tient dans ce qu’il y a derrière les faits et gestes, dans le cœur des personnages et dans leurs têtes. C’est d’ailleurs étonnant qu’un réalisateur aussi jeune et inexpérimenté que Steven Caple ait réussi à faire un tel film (c’était peut-être un ingrédient de la recette) –que certains critiques trouvent "fade". Le scénario est évidemment de Stallone. Il excelle pour exprimer l’inexprimable chez certains. Il dit des lapalissades qui n’en sont pas, et que tout le monde capte instantanément, comme par exemple "quand on veut changer des choses importantes il faut des changements importants". La dernière scène avec son fils (joué par Milo Ventimiglia) et son petit-fils est éloquente à ce sujet. De même quand il appelle la mairie (en vain depuis des mois) pour qu’elle remplace une ampoule dans sa rue. Stallone incarne celui qui ne sait pas parler, et qui s’en tient à ça en général (il ne va pas chercher à embêter les autres avec ses mots). Mais il ne s’en tient pas toujours à ça! Contrairement au non-sens de l’affiche disant "l’élève de Rocky dépasse le maître", c’est bien Rocky qui conceptualise le sens d’un objectif, qui rappelle le sens des valeurs humaines, et surtout de celles de chacun. Un moment est toutefois décevant et ne colle pas avec Stallone ni avec son personnage (c’est la même chose!), quand ce dernier dit à Drago (son adversaire en 1985 joué par Dolph Lundgren) "dans mon pays, les chiens errants, on les euthanasie" –c’est quasiment une erreur de script!

Une saga aussi réussie et riche que Rocky se devait d avoir un spin off et celui ci est centré sur le fils d Apollo Creed : Adonis ( parfaitement interpréter par Mickaël B Jordan en grande forme ).
Vu le succés critique et financier du premier opus , une suite fut vite mise en chantier ; suite qui vient déterrer les fantômes du passés ,.
Ici , c est donc l illustre Yvan Drago , redoutable machine a tuée et responsable de la mort de D Apollo , de retour avec sa progéniture ( son fils Viktor ) pour prendre leur revanche sur le ring.
Un nouveau défi donc pour Creed et son mentor Rocky , qui réveille notre fibre nostalgique en ressortant du placard ( et de nos mémoires ) les ennemis d autrefois , les regrets du passé , avec de nouveaux enjeux.
Si il y a bien une chose qu on peut mettre au crédit de cette suite , c est la manière très intéressante que l histoire a de faire évoluer le personnage d Adonis.
D abord confiant dans son potentiel , c est sans réel danger qu il pense affronter son nouvel adversaire , malgré les réticences de Rocky pour ce combat.
Les erreurs du passé sont destinées a etre reproduites , et c est l abus de confiance en lui qui vas faire chuter Creed , exactement là où son père a échouer.
La relation que le personnage entretien avec Rocky est également bien développé.
Rocky plus qu un entraîneur , est un véritable mentor pour Adonis , un exemple a suivre.
On comprend aisément sa déception quand celui ci refuse de l entrainer pour la rencontre contre Drago , se sentant trahit par une de ses seuls personne qui le fait avancer.
Le traitement des personnages a toujours etait un atout de la saga Rocky , et ici la direction d acteurs et leurs jeu sont d une justesse parfaite.
On affronte ici deux adversaires aux motivations et aux buts différents.
L un c est deja fait un nom , et doit conjuguer sa montée en puissance ( ainsi que ses défaites ) avec sa vie de famille et ses responsabilités.
L autre est une machine de guerre, dur et froid comme un morceau de métal , n ayant jamais connu la lumière et décidé a reprendre ce qu il pense mérité , lui et son père .

Succédant a Ryan Coogler sur le premier opus , Steven Caple Jr fait ici aussi du bon travail que soit aussi bien lors des combats ( les rencontres sont toujours d une réelle intensité et réalistes ) , que dans les séquences d émotions où Adonis est en proie a ses doutes.
La grammaire cinématographique du réal est basique ( Gros plans sur les visages pour retranscrire avec justesse la douleur et la peine ressenti lors d une défaite , contre plongée sur Drago pour montrer a quel point il peut etre un adversaire de taille pour Creed ) , rien de révolutionnaire en ce qui concerne la réalisation , pourtant le reàl est a l aise lorsqu il s agit de donner de l ampleur et de la lisibilité lors de ses scènes de combat de boxe.
Au centre du métrage , la thématique de l héritage et de ce que l on transmet sont au coeur du récit.
Si les deux personnages doivent combattre c est en quelque sorte en résonnance du passé , du combat qui a opposé leurs pères il y a 30 ans. L ' un par fierté pour venger en quelque sorte une injustice , l autre pour rentre fier son père et retrouver une vie décente.
Le film se veut inscrit dans les années 2010 avec des sonorités rap et hip hop qui parsément le film et qui donnent a certaines scènes une dimension plus dramatiques.
Pourtant le film a selon moi un seul défaut principal : son déroulement trop attendu et sans réel surprises.
Reprenant la trame narrative d une bonne partie des opus de la saga originale , le film ne fait que remplir un cahier des charges que trop connus des amateurs de la saga.
Adonis en pleine gloire vas affronter un nouvel adversaire ( comme Apollo ou Rocky précédemment ) , vas échouer par excés de confiance .
Detruit mentalement et physiquement , rempli de doutes , il vas devoir se reconstruire petit a petit ( avec l aide de sa femme et son enfant ) pour retrouver gout au combat , et remonter sur le ring.
Voila , la finalité est prévisible , le déroulé en est de même. Pas de place a la surprise ici , nous sommes en terrain ( trop) connu pour réellement etre surpris.

Le film se rattrape bien heureusement par la caractérisation de ses personnages , de bons moments de bravoure et une émotion bien présente qui nous rappellent que la saga Rocky ( et en extension Creed ) ce sont bien plus que des films sur la Boxe.

Après une franchise “Rocky” un peu trop en dents de scie (selon moi), et un quatrième opus axé trop sur la propagande nationale, je trouve que ce film sur le retour de Drago est un bon renouveau. A présent, j’ai une nette préférence pour la saga centré sur le fils d’Apollo Creed, et pour moi, ce second film est mieux que le premier ; il est très franchement excellent et ne manque pas d'immersion.

Au niveau de la réalisation, elle gagne en réalisme ; nous suivons non seulement Creed dans son combat notamment grâce aux mouvements de caméra et à la proximité qu’on entretient avec le protagoniste. Mais les entraînements aussi nous plongent dans une immersion la plus totale avec un montage ultra dynamique reprenant des plans de la saga d’origine. D’ailleurs les plans similaires à la saga “Rocky” ou au précédent film sont extrêmement symboliques. D’autant plus que le film a su s’abolir de la musique ; effectivement, la nouvelle bande originale est vraiment innovante et très moderne et les clins d'œil musicaux aux vieux films ne sont pas là pour rien. Le traitement du son est beaucoup plus en corrélation avec le point de vue de Bianca.

En ce qui concerne le scénario, je le trouve plus original que le précédent, encore plus prenant et moins prévisible. Le fait de reprendre des personnages de “Rocky IV” est un peu trop du fan service mais en y réfléchissant c’est vraiment cohérent. L’évolution des personnages est super cool à suivre et vraisemblablement bien écrite ; c’est rempli de détail important sans pour autant prendre le spectateur pour un idiot. Les séquences d’entraînements aussi sont plutôt originales par le lieu et les exercices et durant le combat, on sent réellement les coups des boxeurs. Le final est d’ailleurs assez imprévisible et super bouleversant.

Je recommande, évidemment, ce deuxième opus car le scénario est touchant et la mise en scène ne manque clairement pas de réalisme. La saga sur la boxe va crescendo en qualité pour l’instant.

Les spin-off sont à la mode et bien souvent, ils ne sont pas à la hauteur et ne servent qu’à capitaliser sur la sympathie et le succès des films originaux tout en tentant de combler le vide créatif abyssal des scénaristes…
Dans le genre très prisé et souvent raté, Creed avait été une très bonne surprise. Il n’est donc vraiment pas surprenant de voir débarquer sa suite... Le pari n’est pas si simple et prend des allures suicidaires en faisant revenir Drago. PAF, nous voilà revenu au divertissement typique des années 80 : USA V.S. Russie, le bien contre le mal, les couleurs chaudes et la vie de consommation face à la grisaille des travailleurs Soviétiques qui gagnent durement quelques roubles. La caricature a finalement très peu évoluée depuis la guerre froide !
Alors ce nouveau Creed est-il percutant comme un K.O. ou simplement un poids lourd façon repas de Noël indigeste ?
D’emblée, le film est moins surprenant que le premier opus, tout va assez vite, tout semble facile et sans beaucoup de panache, même si l’ensemble reste agréable.
Vient la première surprise (pour les fans de la saga) : revoir le bon vieux Drago (Dolph Lundgren) que l’on avait adoré détester à l’époque et que l’on prendrait volontiers en pitié s’il ne traitait pas son fils de cette façon. Et quel fils ! Viktor est une montagne de muscle, véritable boxeur incarné par le très impressionnant Florian Munteanu qui aurait pu figurer au casting de Game Of Thrones !
Autre petit bonus, revoir furtivement Brigitte Nielsen qui a quitté Drago après sa défaite contre Rocky pour vivre avec un Oligarque. Si sa prestation laisse sans voix, c’est bien parce qu’elle ne dit absolument rien !!!
Trop simpliste et manichéen, le film fait la part belle aux motivations familiales avec l’envie d’en remontrer à sa mère d’un côté et l’envie de venger son père de l’autre. Au milieu se situe Rocky Balboa qui aimerait renouer avec son fils…
Les seules subtilités viennent des handicaps. Qu’ils soient émotionnels, ou bien liés à la surdité, ou encore et surtout sur les mauvaises raisons qui nous poussent à agir. Bref, rien de bien nouveau sous le soleil du nouveau Mexique.
Malgré quelques longueurs et un scénario à l’égal d’un gant de boxe : cousu de fil blanc ; la sauce fini par prendre de nouveau.
Une fois la bonne motivation retrouvée, une fois la raison d’être et de combattre en tête, les dernières scènes sur le ring sont une explosion tant attendue et sont filmées très efficacement avec des ralentis bien sentis sur des coups biens sonnés !
Et que dire lorsque l’on entend les fameuses notes du thème principal (livrées avec trop de parcimonie) : à l’égal du thème de Star Wars, on vibre comme si l’on écoutait un hymne national avant une rencontre sportive de grande envergure !
En boxe, il faut savoir trouver la motivation, s’entrainer sans faillir, pousser ses limites, aller plus loin que ses handicaps mais aussi savoir jeter l’éponge au bon moment.
Une leçon qui, malheureusement, risque peu de s’appliquer aux spin-off.
Ne boudez pas pour autant votre plaisir, d’autant plus qu’il semblerait que ça soit la dernière apparition de Sylvester Stallone dans la saga. Si tel est le cas, son humilité (à l’écran) et sa voix si particulière vont bien nous manquer.

Trois ans après le premier "Creed" qui était vraiment très bon arrive la suite, mais est-ce que ça valait le coup de faire une suite ? Et bah je dirais oui ! et même un grand oui, car "Creed 2" se révèle tout aussi bon que son prédécesseur, en tout cas c'est mon ressenti. "Creed 2" est le premier film que j'ai vu en 2019, et je suis content d'avoir commencé l'année avec un bon film. Pour résumer, "Creed 2" développe beaucoup plus le personnage de Creed, toujours joué par Michael B. Jordan, dans son parcours en tant qu'élève de Rocky Balboa, rôle iconique de Sylvester Stallone, mais cette fois, l'histoire du film apporte plus de nouveauté. Le premier "Creed" nous faisait découvrir le personnage, sa relation envers Rocky et son entourage, sa volonté de vouloir faire honneur à son père et son parcours en tant que boxeur professionnel. "Creed 2" apporte beaucoup plus de choses, toujours sur la relation entre Creed et son entourage, que ce soit avec Rocky ou sa petite-amie, mais aussi sa rivalité avec son nouvel adversaire d'origine Russe, joué par Florian Munteanu, qui est le fils d'Ivan Drago, le boxeur responsable de la mort d'Apollo Creed dans "Rocky 4", toujours interprété par Dolph Lundgren, et qui là renforce le film de manière puissante aussi bien en terme de drame qu'en terme de violence, car le personnage de Creed s'en prend plein la gueule, voir même plus que dans le premier. J'ai trouvé que "Creed 2" avait plus d'humour que dans le premier, et un humour pas lourd, mais également plus de dramaturgie, et surtout assez émouvante notamment sur la romance entre Creed et sa petite-amie, mais aussi sur sa relation envers Rocky qui là est assez complexe. La mise en scène, en tout cas, est vraiment forte et peut rappeler beaucoup les précédents films "Rocky". Le film garde bien son côté punch au sens littéral, avec quelques traits de violence et même des scènes assez impressionnantes. Les personnages nous sont attachants, les rebondissements du film sont excellents et c'est bien chargé en terme de tension. Après, ce que je pourrais reprocher au film, c'est que le personnage de Rocky est assez mis en retrait. Vous allez me dire que c'est normal vu que c'est Creed qui est le personnage central, je sais, mais Rocky est vraiment bien mis en retrait, et je m'attendais à ce qu'il le soit mais à ce point-là quand même... Le film souffre quand même de certaines longueurs, mais ça à la rigueur, c'est plutôt normal, car ça développe pas mal de choses. En tout cas, les scènes de combat sont toujours aussi fortes, épiques et impactantes, et pour moi, ça fait parti des points vraiment forts du film. Au niveau de la musique, on entend que très peu les thèmes de la saga "Rocky", mais ça fait plaisir de les entendre, et le film nous passe aussi du Lil Wayne, du Kendrick Lamar ou encore du Bon Iver pour bien alimenter les scènes qui arrivent à être marquantes. Au niveau du casting, Michael B. Jordan dans le rôle d'Adonis Creed est toujours aussi bon, même plus performant que dans le premier. Là, son personnage évolue encore plus, est confronté à de nouveaux obstacles et est prêt à tout pour les surmonter, succéder à Rocky et ainsi rendre hommage à lui et à son défunt père. Sylvester Stallone qui reprend encore une fois (et la dernière fois !) son rôle de Rocky Balboa, est toujours super sympa de revoir dans un de ses plus grands rôles, mais comme je disais, il est de plus en plus mis en retrait dans le film, mais finit par regagner de l'importance (no spoil). On retrouve également Tessa Thompson, qui joue Bianca Porter, la petite amie de Creed, et qui a toujours autant de charme, surtout que sa romance avec Creed est largement plus émouvante. Phylicia Rash�d, toujours dans le rôle de la mère adoptive de Creed, est également très agréable à retrouver. À noter le retour de Dolph Lundgren dans le rôle d'Ivan Drago, et qui est toujours aussi inquiétant qu'il l'était dans "Rocky 4", bien que cette fois, c'est son fils, joué par Florian Munteanu, qui prend la relève et qui est bien badass. Les autres acteurs, Brigitte Nielsen, Milo Ventimiglia, Andre Ward, Wood Harris... sont bons aussi, à noter aussi les caméos de Roy Jones Jr. et de Michael Buffer dans leur propre rôle à chacun. En conclusion, si le premier "Creed" vous a emballé, vous allez aimer "Creed II", car il développe plus de choses, avec plus d'enjeux forts, plus de situations dramatiques, c'est un film qui a beaucoup de punch (blague subtile !), bref, vous allez beaucoup kiffé, surtout si vous êtes fans de la franchise "Rocky".

Plutôt séduit par le premier volet, j avoue être quelque peu déçu sur ce second opus.. Un film de plus de 2h qui nous montre très peu de boxe. J'attend d'un film qu'il me surprenne et malheureusement dés le 1er quart d'heure j'avais déjà deviné la fin du film.. Je reste content de l'avoir vu car grand fan de la saga Rocky mais celui là ne sera pas mon préféré.. on y voit pas assez Sly..

CREED II (2019): Les générations se suivent et se ressemblent, se sera le cas avec ce nouvel épisode où le passé rejoindra le présent. Un passé douloureux qui alimentera un nouveau défi, le combat du fils d'Apollo Creed face au fils de Drago, l'ennemi juré de Rocky. Un scénario qui prendra soin de s'attarder sur l'esprit de famille qui entoure cette passion qu'est la boxe. Une histoire qui se calquera dans les empreintes de la série Rocky, passion, courage, le dépassement de soi mêlé à de forts sentiments. Bref! Encore un Rocky qui nous montrera que la sueur du travail peut rapporter, et sera d'une façon ou d'une autre toujours gagnante (on l'a compris Monsieur Stallone, mais pour vous faire plaisir, le prochain épisode on ne l'aura toujours pas compris). Un film qui se regarde, qui divertit par ses combats intenses, mais soyons honnête, si vous regardez tous les Rocky à suivre, cet épisode deviendra très bavard, plan-plan, pour arriver à cette conclusion: vu et revu.

Le combat final est vraiment magnifique, l’histoire l’es tout autant. Les creed reste les plus forts.

J’espérais que ce film serait bien mais j’ai vraiment été déçu.
Je n’ai pas apprécié le jeu des acteurs

Petit film pas mal... Pour creed 2....ben il es génial... Bcp d'action tres reussi on retrouve lambiance des rocky version 2019 rocky passe le flambeau a creed