Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce deuxième opus réussi offre un beau choc des générations sur le ring comme en dehors.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Saïd El Abadi
S’il y a bien une continuité du premier opus "Creed", avec beaucoup d’émotion, la nostalgie des retrouvailles entre Rocky et Drago fera grand plaisir aux fans de la première heure.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une suite qui s’impose grâce à sa richesse dramaturgique, sa justesse émotionnelle et un Michael B. Jordan des grands jours.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par Michael Gardenzio
En résumé, Creed 2 a du coffre mais manque parfois de coeur. Il n'en reste pas moins pas un film de boxe percutant qui ravira les amateurs de grosses patates en pleine poire. Sans oublier ce plaisir de revoir Stallone et Lundgren ensemble avec leurs gueules cassées d'inoxydables guerriers.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Qu’importe si le scénario est cousu de fil blanc, la jubilation de retrouver l’univers de Rocky est intacte.
Voici
par Daniel Blois
Une franche réussite.
Ecran Large
par Simon Riaux
Michael B. Jordan a bien du mal à porter sur ses épaules cette suite trop mécanique, sauvée par Dolph Lundgren et Sylvester Stallone, inoxydables vétérans en quête de transmission.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Creed II" est un film sur la figure du père, absent, en devenir ou de substitution. Un mélo sportif au premier degré peu finaud mais bienvenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le 7e opus de la sage Rocky, en salle ce mercredi, se déroule avec une prévisibilité reposante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
En 1985, Ivan Drago tuait Apollo Creed sur le ring. 30 après, le fils du premier revient défier celui du second. Renaître et décevoir : c’est l’éternel cycle dans lequel tourne la série des Rocky. "Creed" avait étonné, sa suite inévitablement déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Sylvestre Picard
Le film n'est pas d'une originalité folle mais offre de très beaux combats de boxe.
Première
par Sylvestre Picard
Une suite qui ne retient pas ses coups mais joue la sécurité : très plaisant à regarder, Creed II pèche par manque d’audace.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Certains y verront une succession de clichés désespérément prévisible. D'autres y verront une intelligente manière d'apporter davantage de poids à l'arc narratif de Balboa et d'unir passé et présent sous une même bannière étoilée.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Si on oublie des ficelles psychologiques pas très finaudes, ce deuxième spin-off de la saga Rocky convainc par ses combats impressionnants.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le capital de sympathie pour les personnages demeure, mais le script enfile les clichés sur la filiation et ne suscite jamais l’engouement. La faute à des formules et archétypes usés dont on connaît toujours le dénouement et le destin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Anthony Moreira
Le programme du film de boxe reprend cependant le dessus dans la dernière partie du film et finit d’entériner le cap paradoxal de cette suite, qui ne fait que filmer une reconquête symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
GQ
par Jérémy Patrelle
Dans "Creed 2", tout est cousu de fil blanc. On surfe sur le velours des Rocky des années 70-80 avec des longueurs infinies, entre personnages plongés dans leurs méandres psychologiques, disputes attendues et revirements prévisibles sur fond de rap et piano mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Christophe Carrière
Soit une photocopie de tous les épisodes précédents, avec les mêmes effets de mise en scène, les mêmes recettes de montage...
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’inventivité apportée par Ryan Coogler à la franchise « Rocky » n’est plus qu’un souvenir dans cette suite qui, sur un scénario de Stallone, aligne les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si l’on peut à la rigueur pardonner à Steven Caple Jr. la médiocrité de sa mise en scène et sa direction d’acteur approximative, il est en revanche plus difficile d’avaler sa morale : cette reconduction joviales des humiliations du passé, les perdants étant toujours les mêmes, sans que l’on s’en émeuve au-delà d’une pauvre ligne de dialogue faux-cul.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Nicolas Didier
Ni bon cru ni nanar, ce huitième Rocky — le dernier avec Sylvester Stallone — est le plus fade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce deuxième opus réussi offre un beau choc des générations sur le ring comme en dehors.
CNews
S’il y a bien une continuité du premier opus "Creed", avec beaucoup d’émotion, la nostalgie des retrouvailles entre Rocky et Drago fera grand plaisir aux fans de la première heure.
CinemaTeaser
Une suite qui s’impose grâce à sa richesse dramaturgique, sa justesse émotionnelle et un Michael B. Jordan des grands jours.
Filmsactu
En résumé, Creed 2 a du coffre mais manque parfois de coeur. Il n'en reste pas moins pas un film de boxe percutant qui ravira les amateurs de grosses patates en pleine poire. Sans oublier ce plaisir de revoir Stallone et Lundgren ensemble avec leurs gueules cassées d'inoxydables guerriers.
Le Journal du Dimanche
Qu’importe si le scénario est cousu de fil blanc, la jubilation de retrouver l’univers de Rocky est intacte.
Voici
Une franche réussite.
Ecran Large
Michael B. Jordan a bien du mal à porter sur ses épaules cette suite trop mécanique, sauvée par Dolph Lundgren et Sylvester Stallone, inoxydables vétérans en quête de transmission.
L'Obs
"Creed II" est un film sur la figure du père, absent, en devenir ou de substitution. Un mélo sportif au premier degré peu finaud mais bienvenu.
Le Figaro
Le 7e opus de la sage Rocky, en salle ce mercredi, se déroule avec une prévisibilité reposante.
Les Fiches du Cinéma
En 1985, Ivan Drago tuait Apollo Creed sur le ring. 30 après, le fils du premier revient défier celui du second. Renaître et décevoir : c’est l’éternel cycle dans lequel tourne la série des Rocky. "Creed" avait étonné, sa suite inévitablement déçoit.
Ouest France
Le film n'est pas d'une originalité folle mais offre de très beaux combats de boxe.
Première
Une suite qui ne retient pas ses coups mais joue la sécurité : très plaisant à regarder, Creed II pèche par manque d’audace.
Rolling Stone
Certains y verront une succession de clichés désespérément prévisible. D'autres y verront une intelligente manière d'apporter davantage de poids à l'arc narratif de Balboa et d'unir passé et présent sous une même bannière étoilée.
Télé Loisirs
Si on oublie des ficelles psychologiques pas très finaudes, ce deuxième spin-off de la saga Rocky convainc par ses combats impressionnants.
aVoir-aLire.com
Le capital de sympathie pour les personnages demeure, mais le script enfile les clichés sur la filiation et ne suscite jamais l’engouement. La faute à des formules et archétypes usés dont on connaît toujours le dénouement et le destin.
Critikat.com
Le programme du film de boxe reprend cependant le dessus dans la dernière partie du film et finit d’entériner le cap paradoxal de cette suite, qui ne fait que filmer une reconquête symbolique.
GQ
Dans "Creed 2", tout est cousu de fil blanc. On surfe sur le velours des Rocky des années 70-80 avec des longueurs infinies, entre personnages plongés dans leurs méandres psychologiques, disputes attendues et revirements prévisibles sur fond de rap et piano mélancolique.
L'Express
Soit une photocopie de tous les épisodes précédents, avec les mêmes effets de mise en scène, les mêmes recettes de montage...
Le Monde
L’inventivité apportée par Ryan Coogler à la franchise « Rocky » n’est plus qu’un souvenir dans cette suite qui, sur un scénario de Stallone, aligne les clichés.
Les Inrockuptibles
Si l’on peut à la rigueur pardonner à Steven Caple Jr. la médiocrité de sa mise en scène et sa direction d’acteur approximative, il est en revanche plus difficile d’avaler sa morale : cette reconduction joviales des humiliations du passé, les perdants étant toujours les mêmes, sans que l’on s’en émeuve au-delà d’une pauvre ligne de dialogue faux-cul.
Télérama
Ni bon cru ni nanar, ce huitième Rocky — le dernier avec Sylvester Stallone — est le plus fade.