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    Divines
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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    90 abonnés 1 751 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2018
    Pas mal. Une sorte de La haine pour filles. Le problème c'est que le sujet a été depuis maintes fois traité au cinéma. Dommage la mise en scène est inspirée et les actrices débutantes assez convaincantes mais le film n'étonne pas et finira pour ma part par s'oublier...
    Olivier P.
    Olivier P.

    6 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 janvier 2018
    Film époustouflant ! L'héroïne joue admirablement bien. Beaucoup d'émotion qui s'en dégage. On ne peut pas rester indifférent devant un tel film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 décembre 2017
    Surement le pire film sur la banlieue. le plus racoleur, le plus fantasmé par ceux et celles à qui l'on montre les méchants garçons d'un côté et les gentils filles de l'autre. Ce film mérite son césar remis par l'académie de la bien-pensance pour le reste... On deteste.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    113 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 décembre 2017
    C'est l'histoire d'une société qui tombe et qui se répète sans cesse pour se rassurer: "jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien...". Si la moralité de cet emprunt au leitmotiv du film de Kassovitz consiste dans le fait que ce n'est pas la chute qui importe mais l'atterrissage, force est de constater que près de 20 ans après "La Haine", plus on se rapproche du sol plus les choses se précisent en terme d'infamie d'une politique sociale qui n'aura jamais retenu les leçons du passé, préférant accélérer une fuite en avant quitte à s'enfoncer encore plus dans la tartufferie et les faux semblants.

    Chronique d'un système victime de sa propre hypocrisie, voilà venue la nouvelle mutation sociologique plébiscitée par le culturo-mondain bien pensant, persuadé de sa bienveillance à l'égard des "beurettes" suffisamment intelligentes pour donner les "bons" gages de "bonne intégration" en lui offrant la caméra d'or d'un festival jet set ayant depuis belle lurette capitulé face à un progressisme rimant d'avantage avec totalitarisme qu'avec égalitarisme républicain.

    En cela, inutile de dire à quel point Houda Benyamina semble avoir parfaitement intégré tous les codes en vigueur pour passer du statut de prolo à celui de bourgeoise (y compris celui du népotisme, sa soeur tenant le rôle principal de ce film), le misérabilisme côtoyant ici comme à l'accoutumée le rejet inconditionnel du Musulman pratiquant sa religion (dans la même cave que celle des trafiquants de drogue, forcément) dans un environnement exclusivement peuplé de Noirs et d'Arabes (forcément tous délinquants qui plus est) MAIS où le féminisme à la Elisabeth Badinter aura malgré tout donné le droit aux femmes d'êtres des racailles et des beauf(ette)s (écriture inclusive oblige) comme les autres (et ça tu vois, c'est bien!).

    Ainsi donc, c'est avec un dégout pour le moins prodigieux que nous assistons à cet étalage de grotesque, cumulant les pires clichés qu'il soit possible de montrer pour mieux servir les vues d'une réalisatrice ne faisant que réinterpréter son propre parcours pour mieux le faire correspondre aux standards idéologiques du moment, ou comment conceptualiser de la manière la plus caricaturale qui soit le parcours d'une apprentie michetonneuse justifiant sa bassesse morale (voir la façon dont elle méprise l'un des seuls personnages s'efforçant d'aider dignement mais modestement cette jeunesse en péril) par du pathos à ne plus savoir quoi en faire (ben ouais quoi, la fin justifie les moyens t'as vu!), quitte à passer successivement par la case délinquance (le modèle semi-rappeuse), la case prostitution (le modèle Zahia ou Nabilla) ou la case plus chic justement du culturo mondain (le modèle "femme de" mari de bonne famille aux débouchés autrement plus juteux à la N. V. B.) visiblement retenue par la réalisatrice sur les traces des pionnières à la Saphia Azzedine dont le "confidence à Allah" fait étrangement "écho à ce "Divines" dans sa propension à compter au final sur une miséricorde céleste pour mieux se faire pardonner un péché à la Marie Madeleine!

    Exit donc le courage, l'abnégation, le modèle positif propre à susciter l'empathie puisque qu'au final, il ne s'agit pas véritablement de transmettre quelque valeur que ce soit mais bien de permettre à une réalisatrice de se dédouaner dans les choix honteux que son ambition lui aura fait commettre. C'est dire l'état de délabrement moral d'un pays aussi bienveillant envers de telles personnes...
    gzit
    gzit

    107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    Un film sur des ados des cités pour des ados des cités mais... celui-ci apporte une certaine pointe d’originalité avec une dose de musique classique en décalage (ou pas !) volontaire apportée par la réalisatrice. Et une certaine dose de sensibilité dans un contexte d’une rare dureté. Parce que pour une fois c’est une femme derrière la caméra ? Très souvent immoral, le film gêne un peu. Ou peut-être même beaucoup.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2017
    « Divines » est un film coup de poing, ce n’est pas un véritable choc dans la figure, mais il bouscule et préoccupe bien l’esprit. Pourtant rien de nouveau sous le ciel désenchanté des cités de la région parisienne. Je ne trouve aucun cliché car non seulement la vie est remplie de clichés mais pour fréquenter des élèves dans un collège difficile, dans un quartier difficile, je peux assurer que les comportements vus dans ce film correspondent bien à une réalité. Quand je dis rien de nouveau, nous avons encore une fois affaire à des personnages fracassés, largués, livrés à eux-mêmes, sans repère familial, en perte d’éducation, d’instruction, plongés dans une jungle en béton, d’argent sale, de combines et de rêves ou d’espoir aussi épais qu’une feuille de papier cigarette. Ici, Dounia, beurette, petit bout de femme au caractère bien trempé, livrée à elle-même, victime d’une mère qui semble avoir démissionné et son amie Maimouna, black, grande et ronde, qui semble bien cadrée par ses parents vont servir une dealeuse, Rebecca, un modèle de réussite aux yeux de Dounia. Houda Benyamina nous propose un parcours balisé et pour le coup "cliché" : présentation, preuves à faire et réussies pour gagner la confiance, argent qui comble les désirs et la chute. Et quelle chute, sorte de jugement de Dieu ! Dieu, qui à un moment donné du récit, est évoqué par le père de Maimouna et lors d’une conversation nocturne entre Dounia et son amie. La scène finale, Dounia porte son visage vers le ciel et demande « pardon ». Pardon à la société, à la famille de Maimouna, à sa mère évidemment, mais aussi à Dieu dont elle a remis (ou osé remettre) en question son existence. Et cette scène finale pose nécessairement question. Qui de l’oeuf ou la poule est venu en premier ? Qui de la police ou les habitants des cités banlieusardes a commencé ? Que l’on caillasse la police peut se comprendre, mais caillasser les pompiers est difficilement acceptable. Les pompiers ne sont pas des policiers. Seulement pour quelques énergumènes, c’est une des représentations de l’Etat. Des quartiers qui sont devenus pour certains des zones de non droits. Par leur faute, non seulement ils décrédibilisent ces quartiers mais leurs méfaits mettent tous les habitants dans le même sac ! Autrement comment s’étonner de l’immobilisme des pompiers dans cette séquence ? Elle fait froid dans le dos. Dounia ne s’est pas contentée de passer par la voie illégale pour gagner de l’argent facile « money, money, money », elle est une des figures qui ont provoqué cette situation tragique. N’a-t-elle pas mis le feu à une voiture ? Ensuite provoqué la police ? Par son action, attisée la colère des jeunes qui en ont profité sans savoir vraiment le pourquoi de son acte ? Seulement les faits sont là : un quartier d’une cité qui s’enflamme et avec elle les préjugés qui vont avec. La force de ce film, c’est l’objectivité de la réalisatrice qui ni n’encense ni ne condamne ses personnages. Ils sont comme ils sont et seule la société se chargera de punir leurs actes. La société ou Dieu ? Ce film repose sur l’interprétation impressionnante de Oulaya Amamra, elle est presque de tous les plans ; Houda Benyamina, sa grande soeur se révèle être une bonne directrice d’acteurs puisque les deux «Divines » ont été récompensées aux Cesar. Autre tour de force, Dounia et Maimouna sont sympathiques et il y a des moments de grâce comme ce rêve dans une Ferrari et à travers Djigui, ce danseur qui veut s’en sortir par son talent d’artiste danseur. Oui, on nous dit en substance qu’il y a aussi une voie dans cette société des cités pour s’en sortir légalement : l’art.
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2017
    Excellent film avec 2 héroïnes qui crèvent l'écran. J'ai été bluffé par l'interprétation de l'actrice Oulaya Amamra dans le rôle de cette jeune fille rebelle qui n'a peur de rien pour arriver à son but. Actrice à suivre de très près.
    De belles scènes d'amitiés ainsi que des scènes choc qui nous montre la violence dans ces quartiers.
    De jolis tableaux également de danse contemporaine .
    Un film émouvant et tellement vrai
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2022
    Un récit d apprentissage de jeunes filles du guetto. Même si la première partie a peu d’intérêt et pas mal de clichés, la mise en scène est superbe, l’interprétation magistrale, et la dernière partie du film est folle.
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    Vous avez peut-être entendu parler lors du festival de Cannes de ce film qui a fait sensation avec le prix de la caméra d’or (prix remis au meilleur premier film parmi plusieurs sélectionnés dans diverses compétitions du festival). Le premier long métrage de Houda Benyamina s’annonce donc comme une petite bombe du cinéma français. Pour ce premier film également pour les comédiens, les superlatifs qu’on lit sur les affiches ne mentent pas, et n’exagèrent encore moins. Dans ce drame émouvant, Dounia, jeune lycéenne en BEP accueil vivant dans un bidonville avec sa famille a soif de richesse et d’ascension. Epaulée par sa meilleure amie, elle va suivre Rebecca, la dealeuse du quartier en tombant également sous le charme d’un jeune danseur.DIVINES est sans doute le drame émouvant, touchant et fort de l’année 2016 du cinéma Français
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 octobre 2017
    Waou. Je viens de prendre une claque. L'interprétation est juste incroyable. La musique parfaite. La mise en scène magnifique. Ça fait longtemps que je n'avais pas été si bouleversée par un film !
    Je ne l'ai pas trouvé clichés, bien au contraire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 octobre 2017
    C'est beau, puissant.
    Brillant.
    Belle rencontre du théâtre , de la danse et du cinéma au service de la vie
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 octobre 2017
    Emotion, authenticité, larmes, joie, peurs, amour, amitié, tant d'émotions en un seul film. Divines un film troublant vous redonnant vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 octobre 2017
    Excellent film qui ne nous laisse pas indifférent! J'ai été prise du début à la fin.
    Très bien joué! Je vous le conseille fortement !
    Jérémy J
    Jérémy J

    30 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2017
    Un film touchant et poignant par moment. Oulaya Amamra est juste magnifique dans son rôle. Un film d'actualité également. Le concept d’identité est bien abordé. Un film qui pourrait être mal interprété à la fin. Le film est toutefois inégale, par moment le film est magnifique et à d'autre très lent et tombe légèrement dans le cliché. L'histoire d'amour n'étais pas forcément utile, et le côté "danse" par contre pour moi n'étais vraiment pas plaisant et utile à l'histoire
    Caine78
    Caine78

    6 798 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    J'ai essayé de mettre de côté l'insupportable discours d'Houda Benyamina pour ce même film au Festival de Cannes, où les mots « classe » et « distinction » n'étaient manifestement pas de rigueur. D'ailleurs, je ne doute pas de sa sincérité dans sa vision de la banlieue et des personnages qu'elle y décrit, et elle dirige bien ses actrices, notamment la talentueuse Oulaya Amamra (qui est accessoirement sa sœur!), quelques répliques bien senties prêtant à sourire. Mais franchement... Ça recevant une caméra d'or ?? Mais qu'est-ce qui la justifie ?? Je savais la grand messe cannoise en perdition, mais à ce point... Sincèrement, je ne sais même pas quoi vraiment écrire sur « Divines ». Je le trouve creux, bruyant, voire démago ou en perdition spoiler: (sous prétexte que l'héroïne est une rebelle sans repères, on nous offre une insoutenable humiliation subie par une enseignante qui nous donne juste envie de haïr la première ? Et que faut-il comprendre dans ce discours ? Que le seul moyen de s'en sortir dans ces milieux pourris c'est le vol et la violence ?
    Dans le meilleur des cas c'est ambigu). Le film m'a paru souvent vide, non sans une certaine énergie (du désespoir?) et un regard parfois sombre, pessimiste, mais tellement éloigné de l' « art » cinématographique que celui-ci m'a quasiment laissé indifférent. Heureusement, au milieu de tout ça, une (vraie) jolie scène où spoiler: Dounia et Maimouna s'imaginent roulant en voiture en tenue chic : un bel éloge à l'imagination et au rêve
    , et à la rigueur le dénouement, discutable voire peu crédible, mais au moins inattendu et permettant (enfin) à « Divines » d'opter pour un discours « social » clair et pour le coup assez spoiler: désespéré
    . Bref, une œuvre reçue en (très) grande pompe à Cannes, alors que sa sélection officielle était déjà une énorme erreur de casting : je n'en veux même pas au film, simplement au tapage médiatique pour un titre qui aurait dû susciter une (quasi) indifférence polie.
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