Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
L'Humanité
par Eugénie Barbezat
Le résultat est stupéfiant : un film aussi brutal que la société, aussi humain que celles qui font feu de tout bois pour s’y faire une place au chaud. Au risque de périr dans les flammes d’un enfer dont elles ont préparé le brasier.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Marilyne Letertre
Le film de Houda Benyamina est tout à la fois : un récit d’apprentissage, une éducation sentimentale, sociale et religieuse, une déclaration d’amour à la danse et au cinéma, un thriller féminin sous tension, une histoire d’amitié.... Le tout conté tantôt avec lyrisme et poésie, tantôt avec réalisme et violence. Parfois avec humour. "Divines" est inclassable, en marge, libre. Donc unique.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film coup de poing, en forme de tragédie moderne, sombre et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Bouleversant, le film est porté par l’énergie incroyable de ses comédiennes inconnues, à commencer par la révélation Oulaya Amamra (Dounia), petite sœur de la réalisatrice, époustouflante de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télérama
par Cécile Mury
POUR : À mesure qu'il plonge dans la noirceur du polar, qu'il referme le piège sur ses héroïnes, "Divines" perd un peu de son originalité. Il reste, malgré tout, l'une des révélations de l'année, notamment grâce au talent inouï de ses jeunes interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film qui, en plus d’être humain et bouleversant, nous offre pleinement le charisme, la générosité et le talent de la toute jeune Oulaya Amamra, petite sœur de la réalisatrice. Un duo prometteur que le cinéma a intérêt à ne pas perdre de vue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
La réalisatrice ne masque jamais la dureté de la réalité, mais elle montre aussi les joies que réservent Snapchat et les vidéos tournées entre potesses. Ses "Divines" galvanisantes ont autant d’âme que de clito et c’est pour cela qu’elles restent durablement dans la tête et dans le cœur du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Houda Benyamina adopte un style coup-de-poing, sans répit pour ses protagonistes ou pour les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Laura Boudoux
Si l’on ne peut s’empêcher d’avoir la sensation de se heurter à quelques clichés (...) la réalisatrice signe en tous cas un long-métrage sincère et esthétique qui met en scène la rage de vivre de l’état pur. Un long-métrage rendu absolument bouleversant par un scénario sans faute, mais surtout par un casting bluffant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce film ne constitue pas un énorme drame sur les banlieues, mais dresse le portrait réaliste et plein d'énergie, aussi drôle que bouleversant, de deux nanas épatantes.
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Houda Benyamina réussi son "coup", pétri de sincérité et de la connaissance du milieu qu’elle traite et partage avec art. Divine surprise.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Primé au festival de Cannes, ce premier long métrage tire de la réalisté de la banlieue un drame de bruit et de fureur, mais aussi d'un humanisme bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film fort sur une Rastignaquette d’aujourd’hui, dont le réalisme est dopé aux amphétamines de la liberté et de l’énergie, et dont la mise en scène est pleine de vie et d’ambition, jusqu’à déborder…
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un choc.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Ce film aussi humaniste que féministe, bourré de rythme et d'audace, irrigué de vitalité et de grâce, s'attache, tout en évitant les écueils du genre, aux destins de deux “Divines”. Profond et jubilatoire.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un premier essai d'une énergie folle doublé d'un discours politique et social habile. Un film populaire, au plein sens du terme, combatif et émancipatoire.
Marianne
par Patricia Neves
Comme tant d’autres films, "Divines" emprunte au parcours initiatique du jeune de quartier populaire sa matière brute, ses clichés, pour mieux les tordre cependant, sans angélisme ni bons sentiments.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Soyons honnêtes, il y a quelques défauts. (...) Mais il semble évident qu'un grande réalisatrice est apparue et qu'elle a permis à ces jeunes actrices de trouver grâce.
Positif
par Alain Masson
Les trois protagonistes féminins trouvent des interprètes engagées à fond dans leur jeu. La réalisation est souvent inventive. Malgré son dénouement lugubre, cette oeuvre suscite bien des espérances.
Première
par Sylvestre Picard
(...) ça méritait bien une Caméra d'or à Cannes.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dounia et Maimouna, amies à la vie à la mort, décident de suivre les traces de Rebecca, une dealeuse respectée. Mais Dounia est ébranlée par sa rencontre avec Djigui, un jeune danseur. Vibrant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un film qui oscille entre la chronique adolescente, le polar rugueux et le cri de révolte contre une société injuste et libérale. Dense et puissant, il s'en dégage surtout une énergie sidérante.
La Croix
par Marie Soyeux
Caméra d’or au festival de Cannes, ce premier long-métrage, parfois maladroit, vibre cependant d’une belle et prometteuse énergie, porté par des femmes conquérantes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Entre éducation sentimentale et chronique, Houda Benyamina impose un premier long métrage plutôt réussi, rempli de battements de cœur, d’émotions, d’énergie. Tant pis pour les quelques longueurs. On découvre également de jeunes actrices bluffantes comme Oulaya Amamra, qu’il faudra suivre de près.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Houda Benyamina n'est pas Kechiche, dont les films jouent brillamment avec cette notion d'épuisement. (...) Mais on ne lui enlèvera pas un mérite ; la révélation d'une immense actrice, Oulaya Amamra (...). La caméra paraît comme éblouie par chacun de ses faits et gestes. Nous aussi.
Voici
par Lola Sciamma
Si le film est nettement moins convaincant dans son côté polar que dans son aspect chronique sociale et n'évite pas quelques clichés, la jeune Oulaya Amamra, mélange d'énergie, d'audace et d'innocence, a enflammé la Croisette.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Divines" (puisque c’est son nom céleste qui a été préféré) est un film contradictoire, qui part, très vite, très loin, dans des directions parfaitement incompatibles.
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Avec l’excuse du cinéma populaire – du point de vue des thèmes comme de la production, Divines se rend coupable de la même confusion politique que celle de son héroïne, revendiquant son droit à jouir des plaisirs capitalistes : l’identification aux formes (cinématographiques) du pouvoir.
Critikat.com
par Josué Morel
Dans la dernière ligne droite, le film tombe définitivement le masque en refermant un double verrou : d’abord sur ses protagonistes, ouvertement punis pour leurs exactions, puis ensuite sur lui-même, en se confortant finalement dans ce rôle de « film de banlieues » que laissait augurer ses premières images.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Résultat : un objet désespérément artificiel, opportuniste, comme la bande-annonce géante d’un film qui ne viendra jamais. Et qui désamorce en une séquence ce qu’elle installe dans la précédente.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : Répétitif... (...) Et la mise en scène reste approximative, si on est gentil, ou invisible, si on est lucide. On peut, donc, aller voir "Divines" pour des tas de raisons : sociales, politiques, prophétiques, féministes... Mais sûrement pas cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Le résultat est stupéfiant : un film aussi brutal que la société, aussi humain que celles qui font feu de tout bois pour s’y faire une place au chaud. Au risque de périr dans les flammes d’un enfer dont elles ont préparé le brasier.
LCI
Le film de Houda Benyamina est tout à la fois : un récit d’apprentissage, une éducation sentimentale, sociale et religieuse, une déclaration d’amour à la danse et au cinéma, un thriller féminin sous tension, une histoire d’amitié.... Le tout conté tantôt avec lyrisme et poésie, tantôt avec réalisme et violence. Parfois avec humour. "Divines" est inclassable, en marge, libre. Donc unique.
Le Parisien
Un film coup de poing, en forme de tragédie moderne, sombre et drôle.
Télé 2 semaines
Bouleversant, le film est porté par l’énergie incroyable de ses comédiennes inconnues, à commencer par la révélation Oulaya Amamra (Dounia), petite sœur de la réalisatrice, époustouflante de vérité.
Télérama
POUR : À mesure qu'il plonge dans la noirceur du polar, qu'il referme le piège sur ses héroïnes, "Divines" perd un peu de son originalité. Il reste, malgré tout, l'une des révélations de l'année, notamment grâce au talent inouï de ses jeunes interprètes.
aVoir-aLire.com
Un film qui, en plus d’être humain et bouleversant, nous offre pleinement le charisme, la générosité et le talent de la toute jeune Oulaya Amamra, petite sœur de la réalisatrice. Un duo prometteur que le cinéma a intérêt à ne pas perdre de vue.
20 Minutes
La réalisatrice ne masque jamais la dureté de la réalité, mais elle montre aussi les joies que réservent Snapchat et les vidéos tournées entre potesses. Ses "Divines" galvanisantes ont autant d’âme que de clito et c’est pour cela qu’elles restent durablement dans la tête et dans le cœur du spectateur.
Bande à part
Houda Benyamina adopte un style coup-de-poing, sans répit pour ses protagonistes ou pour les spectateurs.
Elle
Si l’on ne peut s’empêcher d’avoir la sensation de se heurter à quelques clichés (...) la réalisatrice signe en tous cas un long-métrage sincère et esthétique qui met en scène la rage de vivre de l’état pur. Un long-métrage rendu absolument bouleversant par un scénario sans faute, mais surtout par un casting bluffant.
Femme Actuelle
Ce film ne constitue pas un énorme drame sur les banlieues, mais dresse le portrait réaliste et plein d'énergie, aussi drôle que bouleversant, de deux nanas épatantes.
Franceinfo Culture
Houda Benyamina réussi son "coup", pétri de sincérité et de la connaissance du milieu qu’elle traite et partage avec art. Divine surprise.
L'Express
Primé au festival de Cannes, ce premier long métrage tire de la réalisté de la banlieue un drame de bruit et de fureur, mais aussi d'un humanisme bouleversant.
Le Dauphiné Libéré
Un film fort sur une Rastignaquette d’aujourd’hui, dont le réalisme est dopé aux amphétamines de la liberté et de l’énergie, et dont la mise en scène est pleine de vie et d’ambition, jusqu’à déborder…
Le Figaro
Un choc.
Les Fiches du Cinéma
Ce film aussi humaniste que féministe, bourré de rythme et d'audace, irrigué de vitalité et de grâce, s'attache, tout en évitant les écueils du genre, aux destins de deux “Divines”. Profond et jubilatoire.
Les Inrockuptibles
Un premier essai d'une énergie folle doublé d'un discours politique et social habile. Un film populaire, au plein sens du terme, combatif et émancipatoire.
Marianne
Comme tant d’autres films, "Divines" emprunte au parcours initiatique du jeune de quartier populaire sa matière brute, ses clichés, pour mieux les tordre cependant, sans angélisme ni bons sentiments.
Ouest France
Soyons honnêtes, il y a quelques défauts. (...) Mais il semble évident qu'un grande réalisatrice est apparue et qu'elle a permis à ces jeunes actrices de trouver grâce.
Positif
Les trois protagonistes féminins trouvent des interprètes engagées à fond dans leur jeu. La réalisation est souvent inventive. Malgré son dénouement lugubre, cette oeuvre suscite bien des espérances.
Première
(...) ça méritait bien une Caméra d'or à Cannes.
Sud Ouest
Dounia et Maimouna, amies à la vie à la mort, décident de suivre les traces de Rebecca, une dealeuse respectée. Mais Dounia est ébranlée par sa rencontre avec Djigui, un jeune danseur. Vibrant.
Télé 7 Jours
Un film qui oscille entre la chronique adolescente, le polar rugueux et le cri de révolte contre une société injuste et libérale. Dense et puissant, il s'en dégage surtout une énergie sidérante.
La Croix
Caméra d’or au festival de Cannes, ce premier long-métrage, parfois maladroit, vibre cependant d’une belle et prometteuse énergie, porté par des femmes conquérantes.
Le Journal du Dimanche
Entre éducation sentimentale et chronique, Houda Benyamina impose un premier long métrage plutôt réussi, rempli de battements de cœur, d’émotions, d’énergie. Tant pis pour les quelques longueurs. On découvre également de jeunes actrices bluffantes comme Oulaya Amamra, qu’il faudra suivre de près.
Studio Ciné Live
Houda Benyamina n'est pas Kechiche, dont les films jouent brillamment avec cette notion d'épuisement. (...) Mais on ne lui enlèvera pas un mérite ; la révélation d'une immense actrice, Oulaya Amamra (...). La caméra paraît comme éblouie par chacun de ses faits et gestes. Nous aussi.
Voici
Si le film est nettement moins convaincant dans son côté polar que dans son aspect chronique sociale et n'évite pas quelques clichés, la jeune Oulaya Amamra, mélange d'énergie, d'audace et d'innocence, a enflammé la Croisette.
Le Monde
"Divines" (puisque c’est son nom céleste qui a été préféré) est un film contradictoire, qui part, très vite, très loin, dans des directions parfaitement incompatibles.
Cahiers du Cinéma
Avec l’excuse du cinéma populaire – du point de vue des thèmes comme de la production, Divines se rend coupable de la même confusion politique que celle de son héroïne, revendiquant son droit à jouir des plaisirs capitalistes : l’identification aux formes (cinématographiques) du pouvoir.
Critikat.com
Dans la dernière ligne droite, le film tombe définitivement le masque en refermant un double verrou : d’abord sur ses protagonistes, ouvertement punis pour leurs exactions, puis ensuite sur lui-même, en se confortant finalement dans ce rôle de « film de banlieues » que laissait augurer ses premières images.
L'Obs
Résultat : un objet désespérément artificiel, opportuniste, comme la bande-annonce géante d’un film qui ne viendra jamais. Et qui désamorce en une séquence ce qu’elle installe dans la précédente.
Télérama
CONTRE : Répétitif... (...) Et la mise en scène reste approximative, si on est gentil, ou invisible, si on est lucide. On peut, donc, aller voir "Divines" pour des tas de raisons : sociales, politiques, prophétiques, féministes... Mais sûrement pas cinématographiques.