Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
L'Humanité
par Magali Jauffret
C’est fort, juste, féministe, insoutenable et rigolo. Ça crie fort ou doux. C’est la galère des invisibles. Et si ces confessions intimes étaient plus politiques qu’il n’y paraît ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C’est bien simple, le film dure une heure vingt-cinq et ce n’est pas assez, on en reprendrait bien encore quelques heures.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Pauline Machard
Une pépite.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"Les habitants" est un drôle de film, sidérant de simplicité, qui propose de manière inédite et intelligente de restituer une parole.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Une somme de paroles, qui offre un portrait saisissant de la France et des Français, de leurs préoccupations.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Un film éphémère et terriblement présent.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce documentaire plein de charme, Raymond Depardon poursuit son émouvante exploration de l’Hexagone en recueillant les conversations de ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Voilà un beau film de combat, invitant à relever la tête, à ne pas baisser les bras !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ce pourrait être étouffant, et c’est sans doute pour cela que Raymond Depardon a ménagé de petits interludes qui montrent les routes de France, travellings champêtres portés par une musique d’Alexandre Desplat. Surtout, il a disposé quelques séquences qui permettent de reprendre son souffle, et – pour la dernière – espoir.
Libération
par Luc Chessel
Le cœur de l’espace public, Depardon affirme déjà qu’il n’est pas là où on le scrute chaque jour, mais là où il palpite de ses battements irréguliers, dans les rues, sur les places, dans les conversations.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
Non seulement "Les Habitants" ressemble à un voyage alternatif, fourmillant d'"instants décisifs" si chers à Cartier-Bresson ; non seulement il abolit jugement et hauteur, privilégiant l'immersion ; mais il sonne et résonne, à bien des égards.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Par sa simplicité et son naturel, "Les Habitants" nous interpelle.
Télérama
par Bruno Icher
Le film apporte le luxe suprême du doute à cet instantané d'un pays que tout le monde prétend comprendre, mais que peu de gens écoutent vraiment. Alors, pourquoi eux ? Sans doute parce que eux, c'est nous.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Cette expérience de « ciné-réalité » intrigue, amuse, émeut et captive tour a tour, mais elle brosse surtout le tableau d’une France confite dans le malaise du présent, la terreur de l’avenir et le désespoir des amours impossibles.
Bande à part
par Jo Fishley
Dans sa caravane, Raymond Depardon a fait entrer la vie des gens. Est-ce parce qu’ils nous ressemblent ? Dans leurs paroles familières, on a reconnu la vie de tous. Banale et extraordinaire. Nous sommes Les Habitants. Un beau voyage, simplement.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
"Les Habitants" marque du fait que l’impression d’évidence qui le précède se voit peu à peu effacée par le trouble inattendu qu’il laisse dans son sillage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Le réalisateur signe un documentaire dont la banalité lumineuse passionnera les historiens.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
À l’heure où tout le monde parle du « peuple », Raymond Depardon l’écoute et l’observe en s’effaçant, recueille ses paroles et ses pensées pour en faire un beau sujet de cinéma.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'échantillon constitué par la force des choses est non représentatif, il n'empêche, sans se prévaloir d'une vertu sociologique, le film en dit beaucoup sur notre territoire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
On y trouve plutôt des Français qui badinent ou pleurent leurs histoires personnelles, dans une apparente banalité de ton, celle de conversations de rue qu’on leur demande de poursuivre à bord de cet authentique lieu de cinéma, où le metteur en scène s’octroie le final-cut. Le choix des protagonistes fera autant la force que la faiblesse de cette aventure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Portrait sur le vif, un peu systématique et éclaté, de la France d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
“Journal de France” avait déçu nombre d'admirateurs de Depardon. Avec ce film hélas plus proche des brouillons de “cinéma-vérité” qui purent un temps fleurir que de ses chefs-d'œuvres, il nous plonge plus encore dans l'expectative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Face à une telle absence de mise en perspective, le malaise grandit.
L'Humanité
C’est fort, juste, féministe, insoutenable et rigolo. Ça crie fort ou doux. C’est la galère des invisibles. Et si ces confessions intimes étaient plus politiques qu’il n’y paraît ?
L'Obs
C’est bien simple, le film dure une heure vingt-cinq et ce n’est pas assez, on en reprendrait bien encore quelques heures.
Ouest France
Une pépite.
Studio Ciné Live
"Les habitants" est un drôle de film, sidérant de simplicité, qui propose de manière inédite et intelligente de restituer une parole.
Franceinfo Culture
Une somme de paroles, qui offre un portrait saisissant de la France et des Français, de leurs préoccupations.
L'Express
Un film éphémère et terriblement présent.
La Croix
Dans ce documentaire plein de charme, Raymond Depardon poursuit son émouvante exploration de l’Hexagone en recueillant les conversations de ses habitants.
La Voix du Nord
Voilà un beau film de combat, invitant à relever la tête, à ne pas baisser les bras !
Le Monde
Ce pourrait être étouffant, et c’est sans doute pour cela que Raymond Depardon a ménagé de petits interludes qui montrent les routes de France, travellings champêtres portés par une musique d’Alexandre Desplat. Surtout, il a disposé quelques séquences qui permettent de reprendre son souffle, et – pour la dernière – espoir.
Libération
Le cœur de l’espace public, Depardon affirme déjà qu’il n’est pas là où on le scrute chaque jour, mais là où il palpite de ses battements irréguliers, dans les rues, sur les places, dans les conversations.
Positif
Non seulement "Les Habitants" ressemble à un voyage alternatif, fourmillant d'"instants décisifs" si chers à Cartier-Bresson ; non seulement il abolit jugement et hauteur, privilégiant l'immersion ; mais il sonne et résonne, à bien des égards.
Transfuge
Par sa simplicité et son naturel, "Les Habitants" nous interpelle.
Télérama
Le film apporte le luxe suprême du doute à cet instantané d'un pays que tout le monde prétend comprendre, mais que peu de gens écoutent vraiment. Alors, pourquoi eux ? Sans doute parce que eux, c'est nous.
VSD
Cette expérience de « ciné-réalité » intrigue, amuse, émeut et captive tour a tour, mais elle brosse surtout le tableau d’une France confite dans le malaise du présent, la terreur de l’avenir et le désespoir des amours impossibles.
Bande à part
Dans sa caravane, Raymond Depardon a fait entrer la vie des gens. Est-ce parce qu’ils nous ressemblent ? Dans leurs paroles familières, on a reconnu la vie de tous. Banale et extraordinaire. Nous sommes Les Habitants. Un beau voyage, simplement.
Critikat.com
"Les Habitants" marque du fait que l’impression d’évidence qui le précède se voit peu à peu effacée par le trouble inattendu qu’il laisse dans son sillage.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur signe un documentaire dont la banalité lumineuse passionnera les historiens.
Les Inrockuptibles
À l’heure où tout le monde parle du « peuple », Raymond Depardon l’écoute et l’observe en s’effaçant, recueille ses paroles et ses pensées pour en faire un beau sujet de cinéma.
Sud Ouest
L'échantillon constitué par la force des choses est non représentatif, il n'empêche, sans se prévaloir d'une vertu sociologique, le film en dit beaucoup sur notre territoire.
aVoir-aLire.com
On y trouve plutôt des Français qui badinent ou pleurent leurs histoires personnelles, dans une apparente banalité de ton, celle de conversations de rue qu’on leur demande de poursuivre à bord de cet authentique lieu de cinéma, où le metteur en scène s’octroie le final-cut. Le choix des protagonistes fera autant la force que la faiblesse de cette aventure.
Le Dauphiné Libéré
Portrait sur le vif, un peu systématique et éclaté, de la France d’aujourd’hui.
Les Fiches du Cinéma
“Journal de France” avait déçu nombre d'admirateurs de Depardon. Avec ce film hélas plus proche des brouillons de “cinéma-vérité” qui purent un temps fleurir que de ses chefs-d'œuvres, il nous plonge plus encore dans l'expectative.
Cahiers du Cinéma
Face à une telle absence de mise en perspective, le malaise grandit.