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Votre avis sur Cigarettes et chocolat chaud ?
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je relaie une critique, avec l'accord de son auteur, Didier Weintraub, que j'ai trouvé sur internet et qui dit (en beaucoup mieux exprimé) ce que je pense de ce film que j'ai vu hier soir et que j'ai totalement kiffé...Enfin une comedie (émouvante parfois) qui change...
"Sous des dehors de fausse chronique chronique familial façon Diabolo Menthe, Cigarettes et Chocolat Chaud , avec tendresse et poésie , convoque la Joie , le Déjanté , dans des scènes décalées avec un amour de la Vie et un sens du burlesque un monde de la famille monoparentale soudée , heureux bricolant avec la survie dans l'allégresse. Des enfants en état de grâce , une Camille Cottin en ange protecteur d'abord revêche puis acquise à la force de la vie et du désir , un pied de nez au regard sur la différence , une acceptation du deuil impossible , David Bowie comme de la famille et image tutélaire , une danse de la réconciliation, les yeux remplis d'étoile avec pour chef de clan un Gustave Kerven allumé , funambule sur un film , donne ses lettres de noblesse au mot Humanité , transcende le quotidien avec poésie et détermination. Ce film est un bonbon nécessaire pour dire oui à la Vie et à la Joie dans une allégresse communicative.
Impertinents les Patar lors des manifs en 1982 et qui le resteront malgré les vicissitudes de la vie . Toujours partants pour dire non aux règles établies , de la fantaisie pleins les yeux , dans des endroits pourris , des décors nases, des couleurs criardes , du bordel partout , ils restent verticaux . Insolent , tendre. Avec son language , le film avance sur un rythme allègre , pour arriver à des sommets émotionnels qui vous submergent à votre insu avec un regard , un baiser , un bout de chanson de Bowie , une possibilité de romance et un oui à la fidélité . De la comédie italienne ,qui aurait fait un tour chez les prolétaires façon créé british cinéma ou US côté Arkansas , pour devenir un film gaulois qui vous hurle de joie , la liberté , la fraternité , la famille , l'acceptation de la différence , le système D et vous dit j'aime parce que c'est toi parce que c'est moi et c'est pour la Vie. Une merveille d'Humanité."
"Sous des dehors de fausse chronique chronique familial façon Diabolo Menthe, Cigarettes et Chocolat Chaud , avec tendresse et poésie , convoque la Joie , le Déjanté , dans des scènes décalées avec un amour de la Vie et un sens du burlesque un monde de la famille monoparentale soudée , heureux bricolant avec la survie dans l'allégresse. Des enfants en état de grâce , une Camille Cottin en ange protecteur d'abord revêche puis acquise à la force de la vie et du désir , un pied de nez au regard sur la différence , une acceptation du deuil impossible , David Bowie comme de la famille et image tutélaire , une danse de la réconciliation, les yeux remplis d'étoile avec pour chef de clan un Gustave Kerven allumé , funambule sur un film , donne ses lettres de noblesse au mot Humanité , transcende le quotidien avec poésie et détermination. Ce film est un bonbon nécessaire pour dire oui à la Vie et à la Joie dans une allégresse communicative.
Impertinents les Patar lors des manifs en 1982 et qui le resteront malgré les vicissitudes de la vie . Toujours partants pour dire non aux règles établies , de la fantaisie pleins les yeux , dans des endroits pourris , des décors nases, des couleurs criardes , du bordel partout , ils restent verticaux . Insolent , tendre. Avec son language , le film avance sur un rythme allègre , pour arriver à des sommets émotionnels qui vous submergent à votre insu avec un regard , un baiser , un bout de chanson de Bowie , une possibilité de romance et un oui à la fidélité . De la comédie italienne ,qui aurait fait un tour chez les prolétaires façon créé british cinéma ou US côté Arkansas , pour devenir un film gaulois qui vous hurle de joie , la liberté , la fraternité , la famille , l'acceptation de la différence , le système D et vous dit j'aime parce que c'est toi parce que c'est moi et c'est pour la Vie. Une merveille d'Humanité."
Un film qui fait du bien !!! Qui n'en voudrait pas ?
J'ai été tentée par la bande-annonce que j'ai vue avant un "plus gros" film. Ce résumé en images était parfait puisqu'il m'a donné envie sans tout montrer.
Quel merveilleux moment de cinéma !
C'est drôle, touchant (mais pas gnan-gnan du tout), inventif. J'ai tout aimé.
Gustave Kervern y est parfait de justesse. On a envie de le prendre dans nos bras ♥
Ses filles de cinéma sont excellentes et Camille Cottin est tout en subtilité.
Vraiment, allez voir ce film qui mérite un beau public !
J'ai été tentée par la bande-annonce que j'ai vue avant un "plus gros" film. Ce résumé en images était parfait puisqu'il m'a donné envie sans tout montrer.
Quel merveilleux moment de cinéma !
C'est drôle, touchant (mais pas gnan-gnan du tout), inventif. J'ai tout aimé.
Gustave Kervern y est parfait de justesse. On a envie de le prendre dans nos bras ♥
Ses filles de cinéma sont excellentes et Camille Cottin est tout en subtilité.
Vraiment, allez voir ce film qui mérite un beau public !
un film bourré de poésie, où tristesse et drôlerie font bon ménage. Gustave Kervern incarne un père un peu paumé, sonné par la mort de sa femme. Il élève comme il peut ses deux filles (merveilleuses comédiennes) quand il se trouve confrontée à la protection de l'enfance jouée par la très bonne Camille Cottin.
A travers un "stage d'éducation à la parentalité" on touche de près l'humanité du héros. Le film se termine par un message d'espoir.
A travers un "stage d'éducation à la parentalité" on touche de près l'humanité du héros. Le film se termine par un message d'espoir.
C'est difficile de condamner un film comme "Cigarettes et chocolat chaud" dont les intentions sont louables, humanistes, et engagées. Car Sophie Reine, dont on perçoit au générique de fin la pudeur à se nommer auteure, parle d'elle, de sa mère, et sans doute de ce dont l'enfance l'a dotée pour lui donner cette belle envie de cirque cinématographique. Car ce film est un véritable cirque cinématographique à l'image de leurs deux héroïnes, et du père, abattu et délicat, avec tous les intérêts dans la joie et la tendresse qu'il dégage, et surtout les points faibles dans la lourdeur du scénario, les raccourcis de la narration et les invraisemblances, qui font craindre au fil du long métrage un sentiment de bazar désarticulé. Le récit flirte à bien des moments avec le grotesque, tant la réalisatrice abuse des clins d'œil émouvants, des animaux en tout genre, et grossit le trait de ses personnages au point de la caricature. Certes, Gustave Kervern joue les papas imbéciles heureux et touchants comme on lui connaît. Certes, les deux filles se donnent avec énergie et intégrité. Mais les dialogues, les situations comiques, les ficelles de la mise en scène ne permettent pas de mettre en valeur ce qui aurait pu être une très jolie œuvre.
Le sujet pose la question : entre,d’une part, le milieu chaleureux et désordonné
spoiler:
(bordélique)
de la relation père veuf, aimant, entièrement voué à ses deux filles et, d’autre part, la rationnalité froide de l’institution psycho-judicaire, qu’est-ce qui est le plus apte à préparer les deux enfants à leur future vie d’adulte ? La tonalité déjantée et saugrenue de l’équipe pères/filles est réjouissante et contraste fortement avec la raideur mécanique de l’administration, pas si capable qu’elle devrait l’être et voudrait le faire croire.Le film est trop brouillon et caricatural pour traiter la gravité du sujet avec la subtilité qu'elle mérite, mais il offre quelques pépites remarquables, entre autres l’interprétation des deux fillettes. Dans l'ensemble, même quelque peut franchouillard par la réalisation, c'est un bon moment de cinéma.
de la relation père veuf, aimant, entièrement voué à ses deux filles et, d’autre part, la rationnalité froide de l’institution psycho-judicaire, qu’est-ce qui est le plus apte à préparer les deux enfants à leur future vie d’adulte ? La tonalité déjantée et saugrenue de l’équipe pères/filles est réjouissante et contraste fortement avec la raideur mécanique de l’administration, pas si capable qu’elle devrait l’être et voudrait le faire croire.Le film est trop brouillon et caricatural pour traiter la gravité du sujet avec la subtilité qu'elle mérite, mais il offre quelques pépites remarquables, entre autres l’interprétation des deux fillettes. Dans l'ensemble, même quelque peut franchouillard par la réalisation, c'est un bon moment de cinéma.
Gustave Kervern incarne un homme vivant seul avec ses deux filles 3 ans après le décès de sa femme et ayant une éducation extrêmement permissive. Suite à une information préoccupante transmise par le commissariat, une travailleuse social incarnée par Camille Cottin est chargée d'évaluer sa situation.
J'ai trouvé que ce film se laissait agréablement suivre, mais qu'il demeurait perfectible. L’interprétation est bonne et le scénario est digne d'intérêt. J'ai apprécié la manière dont les personnages du travailleur social et du parent sont développés, de manière assez égale. Toutefois j'estime que l'histoire se perd parfois dans les thématiques abordée que sont la monoparentalité, la vie marginale et la maladie de gilles de la tourette. L'ensemble de ces thèmes m'a laissé un sentiment plutôt confus et je n'ai pas toujours compris où le scénario voulait en venir. De plus, j'ai eu un petit peu de mal à cerner le cadre d'intervention du personnage de Camille Cottin qui m'a semblé éloigné de la manière dont procèdent réellement les travailleurs sociaux.
J'ai trouvé que ce film se laissait agréablement suivre, mais qu'il demeurait perfectible. L’interprétation est bonne et le scénario est digne d'intérêt. J'ai apprécié la manière dont les personnages du travailleur social et du parent sont développés, de manière assez égale. Toutefois j'estime que l'histoire se perd parfois dans les thématiques abordée que sont la monoparentalité, la vie marginale et la maladie de gilles de la tourette. L'ensemble de ces thèmes m'a laissé un sentiment plutôt confus et je n'ai pas toujours compris où le scénario voulait en venir. De plus, j'ai eu un petit peu de mal à cerner le cadre d'intervention du personnage de Camille Cottin qui m'a semblé éloigné de la manière dont procèdent réellement les travailleurs sociaux.
Yves G.
Denis Patar élève seul ses deux filles, Janin et Mercredi, depuis le décès de leur mère. Bohême, mais vraiment pas bourgeois, il doit exercer deux boulots, le jour dans une jardinerie, la nuit dans un sex-shop, pour joindre les deux bouts. Lorsqu’il oublie une fois de trop ses enfants à l’école, la police transmet son dossier à la protection de l’enfance. Il est convoqué à un stage d’apprentissage parentale. S’il ne le suit pas avec succès, ses filles seront placées en famille d’accueil.
« Cigarettes et chocolat chaud » a deux qualités et un énorme défaut.
Commençons par l’énorme défaut : ce scénario de téléfilm mièvre qui nous annonce, dès sa lecture, l’enchaînement de scènes convenues. Le joyeux bordel de la famille Patar. La convocation devant l’assistante sociale, moins méchante qu’elle n’essaie de s’en donner l’air. Le stage débile où l’administration tente d’apprendre à des parents débordés leur boulot. La conclusion prévisible où le père aimant réussira à démontrer à une administration obtuse le bien-fondé de ses méthodes pédagogiques …. et à emballer la jolie assistance sociale.
Mais soulignons les deux qualités de ce « Captain Fantastic » à la française.
La tendresse et la cocasserie des situations et des personnages. Dans la même scène, on passe du rire aux larmes. On rit et on pleure de l’espièglerie de ces enfants et de leur tristesse rentrée face à la mort de leur mère. Que celui qui n’a pas versé une larme lors de l’éloge funèbre du cochon d’inde (Ziggy 7) se dénonce immédiatement !
L’interprétation de Gustave Kervern, qui creuse son sillon, de films absurdes co-réalisés avec Benoît Delépine (« Avida », « Aaltra »), en comédies tristes, où sa silhouette de gros nounours aux cheveux en pétard fait merveille (« Dans la cour » avec Catherine Deneuve).
« Cigarettes et chocolat chaud » a deux qualités et un énorme défaut.
Commençons par l’énorme défaut : ce scénario de téléfilm mièvre qui nous annonce, dès sa lecture, l’enchaînement de scènes convenues. Le joyeux bordel de la famille Patar. La convocation devant l’assistante sociale, moins méchante qu’elle n’essaie de s’en donner l’air. Le stage débile où l’administration tente d’apprendre à des parents débordés leur boulot. La conclusion prévisible où le père aimant réussira à démontrer à une administration obtuse le bien-fondé de ses méthodes pédagogiques …. et à emballer la jolie assistance sociale.
Mais soulignons les deux qualités de ce « Captain Fantastic » à la française.
La tendresse et la cocasserie des situations et des personnages. Dans la même scène, on passe du rire aux larmes. On rit et on pleure de l’espièglerie de ces enfants et de leur tristesse rentrée face à la mort de leur mère. Que celui qui n’a pas versé une larme lors de l’éloge funèbre du cochon d’inde (Ziggy 7) se dénonce immédiatement !
L’interprétation de Gustave Kervern, qui creuse son sillon, de films absurdes co-réalisés avec Benoît Delépine (« Avida », « Aaltra »), en comédies tristes, où sa silhouette de gros nounours aux cheveux en pétard fait merveille (« Dans la cour » avec Catherine Deneuve).
SebLefr3nch
Les feel-good movies à la française arrivent de plus en plus sur nos écrans. Avec "Cigarettes et Chocolats Chauds" on se laisse gentiment bercer par ce père veuf qui essaie d'élever ses filles par tous les moyens. C'est très touchant malgré les imperfections de réalisation et parfois scénaristique. Le duo de jeunes comédiennes nous séduit tellement et la justesse de Gustave Kervern nous les font oublier pour juste garder l'essentiel : la beauté de cette belle histoire de famille. La réalisation est sympathique avec des petits moments animés. Un joli film a prendre tel qu'il est afin de l'apprécier pleinement.
Tres joli film!!!! Remarquable interprétation des acteurs!!! Un TRES bon moment !!!! À voir . Aucun "misérabilisme"
Irréaliste, au pire une telle famille se trouve dans les BD.....aucune émotion, et les situations ne sont même pas drôle car très prévisibles.
beaucoup trop caricatural et plutôt lourd dans l'excès burlesque... Pourtant, la tendresse au coeur du récit et le beau message sous jacent d'un père très aimant mais irresponsable est d'une grande bienveillance.. Préserver ses enfants d'un monde injuste, cruel et impitoyable... le thème central est intéressant mais les personnages et les situations surtout manquent de justesse, de crédibilité... scènes trop farfelues etc Les personnages centraux sont interprétés par de très bons acteurs que j'apprécie pourtant beaucoup mais pas suffisant pour me faire accrocher à cette histoire dont les scènes me sont trop "pénible" de niaiserie etc trop détaché du récit pour aller au bout de la projection. En somme, une histoire tendre dans le fond mais assez "lourde" et caricatural
Très émouvant bravo ! Une relation père filles magnifique et un vrai façon de montrer l'enfance au cinéma
vive la différence !
vive la différence !
Touchant et rafraîchissant de spontanéité et d'authenticité pour papa... et fifille la fois
Meme si j'ai un moment cru que les 12 ans de fifille étaient un peu justes.
Meme si j'ai un moment cru que les 12 ans de fifille étaient un peu justes.
Voici l’histoire de Denis Patar et de ses filles, veuf et père qui a du mal à gérer le quotidien de ses enfants qu’il adore.
« Cigarettes et chocolat chaud » est un film superbement bien joué par les 2 enfants et leur ami, par Gustave Kervern et Camille Cottin. Les dialogues font mouche, les décors (appartement de la famille en l’occurence) et vêtements hauts en couleur sont pensés jusque dans les détails. Les personnalités des 5 protagonistes, réalistes, originales, touchantes entraînent le film au fond pourtant grave et triste, dans un tourbillon d’énergie qui fait du bien.
J’ai juste regretté certains points peu plausibles, comme la fin un peu farfelue et à côté de la plaque.
Néanmoins je surnote peut-être l’ensemble, mais j’ai vraiment adoré l’ambiance dégagée par les acteurs, les situations, les décors.
« Cigarettes et chocolat chaud » est un film superbement bien joué par les 2 enfants et leur ami, par Gustave Kervern et Camille Cottin. Les dialogues font mouche, les décors (appartement de la famille en l’occurence) et vêtements hauts en couleur sont pensés jusque dans les détails. Les personnalités des 5 protagonistes, réalistes, originales, touchantes entraînent le film au fond pourtant grave et triste, dans un tourbillon d’énergie qui fait du bien.
J’ai juste regretté certains points peu plausibles, comme la fin un peu farfelue et à côté de la plaque.
Néanmoins je surnote peut-être l’ensemble, mais j’ai vraiment adoré l’ambiance dégagée par les acteurs, les situations, les décors.
Film a ne pas louper ,plein d énergie , de poésie d'émotions et de pudeur... Un film qui fait du bien .!
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