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Votre avis sur Cigarettes et chocolat chaud ?
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Vu en avant première à Nantes.
Un film superbe, tout en finesse, qui aborde parfois des sujets qui pourraient être lourds, mais qui, à travers la vision de la vie portée par la famille Patar, sont surmontables. La réalisatrice a réussi à traiter un sujet de société pas évident, sans tomber dans les clichés et avec beaucoup d'humour. Un très bon moment à partager en famille sans modération.
Un film superbe, tout en finesse, qui aborde parfois des sujets qui pourraient être lourds, mais qui, à travers la vision de la vie portée par la famille Patar, sont surmontables. La réalisatrice a réussi à traiter un sujet de société pas évident, sans tomber dans les clichés et avec beaucoup d'humour. Un très bon moment à partager en famille sans modération.
Un film qui fait du bien en ces temps si moroses. On se prend à rêver comme Denis Patar (magnifique Gustave Kervern) d'un monde éclairé par les lucioles. On passe sans cesse du rire aux larmes et ce grand huit émotionnel nous embarque tout au long de ces 1h38 de film qui passent bien vite. Ce Cigarettes et chocolat chaud sera sans doute la bonne surprise cinéma de cette fin d'année.
Excellent film. Original et chaleureux. Enfin une comédie française drôle et émouvante. Je recommande chaudement en cette période de fêtes.
C'est difficile de condamner un film comme "Cigarettes et chocolat chaud" dont les intentions sont louables, humanistes, et engagées. Car Sophie Reine, dont on perçoit au générique de fin la pudeur à se nommer auteure, parle d'elle, de sa mère, et sans doute de ce dont l'enfance l'a dotée pour lui donner cette belle envie de cirque cinématographique. Car ce film est un véritable cirque cinématographique à l'image de leurs deux héroïnes, et du père, abattu et délicat, avec tous les intérêts dans la joie et la tendresse qu'il dégage, et surtout les points faibles dans la lourdeur du scénario, les raccourcis de la narration et les invraisemblances, qui font craindre au fil du long métrage un sentiment de bazar désarticulé. Le récit flirte à bien des moments avec le grotesque, tant la réalisatrice abuse des clins d'œil émouvants, des animaux en tout genre, et grossit le trait de ses personnages au point de la caricature. Certes, Gustave Kervern joue les papas imbéciles heureux et touchants comme on lui connaît. Certes, les deux filles se donnent avec énergie et intégrité. Mais les dialogues, les situations comiques, les ficelles de la mise en scène ne permettent pas de mettre en valeur ce qui aurait pu être une très jolie œuvre.
Superbe film, émouvant et drôle. On se laisse porter par cette famille attachante qui nous montre d'un regard différent les réalités parfois taboues de la vie. A voir et à revoir!!!!!
Un bijou de cinéma français comme on en voit rarement, surtout dans le genre de la comédie et du film sentimental. Rien n'est larmoyant, rien ne nous oblige à être touchés, rien ne transpire l'émotion, rien n'est transcendant à l'image, il y a simplement une famille qui Est, qui tente de vivre... avec ses hauts et ses bas, et c'est d'une justesse exceptionnelle.
Qu'est-ce que la normalité ? Les "normes" de vie en société s'appliquent-elles vraiment ? Comment juger de la qualité de la vie, déchirée entre le bonheur intense et fugitif d'un mode de vie ou d'une longue errance monotone sans les problèmes qui lui font face ?
Cette réalisation pose toutes ces questions de manière libre, sans nous soumettre à une vision prédéfinie, à un jugement, nous sommes libres de répondre de nous-même aux questionnements de notre existence. C'est un film vrai, la simplicité du scénario et de l'histoire sont la raison de toute la justesse de son propos, car la vie semble simple, la réalité semble être acquise, alors qu'un soudain quelque chose peut submerger toute conscience, toute confiance, toute assurance en un mode de vie, tout système de réel.
Alors certes, le film reste parfois simple, parfois un peu facile, mais tout est à sa place, et l'ensemble est une entité profonde et bouleversante de naturel, de véracité, de vitalité.
Et pour couronner tout cela, il faut tout de même parler des acteurs qui, sont absolument merveilleux, absolument justes, absolument vrais, tout à l'image du film : c'est un film d'absolu.
Qu'est-ce que la normalité ? Les "normes" de vie en société s'appliquent-elles vraiment ? Comment juger de la qualité de la vie, déchirée entre le bonheur intense et fugitif d'un mode de vie ou d'une longue errance monotone sans les problèmes qui lui font face ?
Cette réalisation pose toutes ces questions de manière libre, sans nous soumettre à une vision prédéfinie, à un jugement, nous sommes libres de répondre de nous-même aux questionnements de notre existence. C'est un film vrai, la simplicité du scénario et de l'histoire sont la raison de toute la justesse de son propos, car la vie semble simple, la réalité semble être acquise, alors qu'un soudain quelque chose peut submerger toute conscience, toute confiance, toute assurance en un mode de vie, tout système de réel.
Alors certes, le film reste parfois simple, parfois un peu facile, mais tout est à sa place, et l'ensemble est une entité profonde et bouleversante de naturel, de véracité, de vitalité.
Et pour couronner tout cela, il faut tout de même parler des acteurs qui, sont absolument merveilleux, absolument justes, absolument vrais, tout à l'image du film : c'est un film d'absolu.
Un petit bijou de poésie, de bons acteurs (tous!) et tous menée par une merveilleuse mise en scène et un scénario délicieux. Le film de l'année ! Merci pour ce chef-d'œuvre magique.
A peine digne d'un téléfilm de France 2. Pas très bien filmé. Pas très bien joué. Bourré de "bonnes intentions". Pas crédible du tout. Ni drôle ni émouvant. Limite ennuyeux. Bref, une sorte d'arnaque cinématographique.
Ce film est un vrai chef d’œuvre. C'est une bouffée d'air de bonheur. A la fois réaliste, émouvant et humain. Même avec peu de moyen de réalisation, les acteurs et les images sont juste magique ! Je conseille vivement de voir ce film ! Je compte sur vous parce que ça vaut vraiment le coup.
A voir absolument ... émouvant, tendre, drôle, vrai ....
un film dont on ressort sensible aux différences ....
un film dont on ressort sensible aux différences ....
Super film plein de vie, habité par l'esprit de Bowie, qui m'a aussi fais pleuré...foncez foncez voir Cigarettes et Chocolat Chaud car c'est un film qui rend heureux et fait réfléchir; entre autre sur la société, sur l'enfance et l'éducation... avec beaucoup de justesse et d'humour!!!! donc encore une fois LET'S GOOOO! :) xxxx
Freakin Geek
L’histoire de Cigarettes Et Chocolat donne l’impression que la réalisatrice avait en tête un film très semblable à l’excellent Captain Fantastic se posant la question de savoir s’il est possible d’élever ses enfants en dehors des conventions. Là où le film de Matt Ross est une grande réussite, celui de Sophie Reine est en revanche trop maladroit et mal écrit pour nous convaincre. C’était courageux de lui donner carte blanche pour son premier film mais il aurait été certainement plus profitable de l’accompagner pour parfaire les quelques bonnes idées et se débarrasser des lourdeurs. [lire la critique complète sur le site]
Vu en avant première à Brides les Bains (Savoie). Film dynamique, drôle et tendre. Rôles impeccablement emmenés avec finesse et justesse. Moi, je rêve de l'univers Patar. Héloïse Dugas (Jeanine) est juste magnifique. Bravo.
Yves G.
Denis Patar élève seul ses deux filles, Janin et Mercredi, depuis le décès de leur mère. Bohême, mais vraiment pas bourgeois, il doit exercer deux boulots, le jour dans une jardinerie, la nuit dans un sex-shop, pour joindre les deux bouts. Lorsqu’il oublie une fois de trop ses enfants à l’école, la police transmet son dossier à la protection de l’enfance. Il est convoqué à un stage d’apprentissage parentale. S’il ne le suit pas avec succès, ses filles seront placées en famille d’accueil.
« Cigarettes et chocolat chaud » a deux qualités et un énorme défaut.
Commençons par l’énorme défaut : ce scénario de téléfilm mièvre qui nous annonce, dès sa lecture, l’enchaînement de scènes convenues. Le joyeux bordel de la famille Patar. La convocation devant l’assistante sociale, moins méchante qu’elle n’essaie de s’en donner l’air. Le stage débile où l’administration tente d’apprendre à des parents débordés leur boulot. La conclusion prévisible où le père aimant réussira à démontrer à une administration obtuse le bien-fondé de ses méthodes pédagogiques …. et à emballer la jolie assistance sociale.
Mais soulignons les deux qualités de ce « Captain Fantastic » à la française.
La tendresse et la cocasserie des situations et des personnages. Dans la même scène, on passe du rire aux larmes. On rit et on pleure de l’espièglerie de ces enfants et de leur tristesse rentrée face à la mort de leur mère. Que celui qui n’a pas versé une larme lors de l’éloge funèbre du cochon d’inde (Ziggy 7) se dénonce immédiatement !
L’interprétation de Gustave Kervern, qui creuse son sillon, de films absurdes co-réalisés avec Benoît Delépine (« Avida », « Aaltra »), en comédies tristes, où sa silhouette de gros nounours aux cheveux en pétard fait merveille (« Dans la cour » avec Catherine Deneuve).
« Cigarettes et chocolat chaud » a deux qualités et un énorme défaut.
Commençons par l’énorme défaut : ce scénario de téléfilm mièvre qui nous annonce, dès sa lecture, l’enchaînement de scènes convenues. Le joyeux bordel de la famille Patar. La convocation devant l’assistante sociale, moins méchante qu’elle n’essaie de s’en donner l’air. Le stage débile où l’administration tente d’apprendre à des parents débordés leur boulot. La conclusion prévisible où le père aimant réussira à démontrer à une administration obtuse le bien-fondé de ses méthodes pédagogiques …. et à emballer la jolie assistance sociale.
Mais soulignons les deux qualités de ce « Captain Fantastic » à la française.
La tendresse et la cocasserie des situations et des personnages. Dans la même scène, on passe du rire aux larmes. On rit et on pleure de l’espièglerie de ces enfants et de leur tristesse rentrée face à la mort de leur mère. Que celui qui n’a pas versé une larme lors de l’éloge funèbre du cochon d’inde (Ziggy 7) se dénonce immédiatement !
L’interprétation de Gustave Kervern, qui creuse son sillon, de films absurdes co-réalisés avec Benoît Delépine (« Avida », « Aaltra »), en comédies tristes, où sa silhouette de gros nounours aux cheveux en pétard fait merveille (« Dans la cour » avec Catherine Deneuve).
Touchant et rafraîchissant de spontanéité et d'authenticité pour papa... et fifille la fois
Meme si j'ai un moment cru que les 12 ans de fifille étaient un peu justes.
Meme si j'ai un moment cru que les 12 ans de fifille étaient un peu justes.
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